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Guerre civile en Syrie


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Syrie: les Kurdes appellent à prendre les armes contre les jihadistes

RTBF

La principale milice kurde en Syrie a appelé mardi à la mobilisation générale contre les groupes jihadistes, à la suite de l'assassinat d'un dirigeant kurde dans le nord-est du pays.

"Les Comités de protection du peuple kurde (YPG) ont appelé tout ceux qui peuvent porter des armes à se joindre à leurs rangs pour protéger les zones qu'ils contrôlent des attaques de l'État islamique d'Irak et du Levant (EIIL) et du Front AL-Nosra", a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), citant un communiqué de la milice kurde.

Les YPJ sont globalement considérés comme la branche armée du Parti de l'union démocratique (PYD). Celui-ci est l'émanation syrienne du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), considéré comme "terroriste" en Turquie.

"Les YPG sont prêts à repousser les attaques dans les territoires qui sont sous leur contrôle", d'après le communiqué cité par l'OSDH.

Cet appel sans précédent dans la guerre en Syrie intervient quelques heures après l'assassinat à Qamichli (nord-est) d'un dirigeant kurde membre du PYD. Il intervient aussi alors que les milices kurdes affrontent depuis deux semaines des combattants jihadistes pour le contrôle de localités dans le nord-est de la Syrie, et ont affirmé leur intention de constituer une région autonome temporaire.

Isa Huso, membre du Conseil suprême kurde, une plateforme réunissant la plupart des mouvements kurdes de Syrie, venait de monter dans sa voiture pour se rendre au travail, vers 03H00 GMT, quand une bombe dissimulée à l'avant du véhicule a explosé, selon l'agence de presse kurde Firat.

Le Congrès national kurde (KNK), qui regroupe des associations kurdes à travers le monde, a condamné l'attentat. "Le meurtre d'Isa Huso est un message de haine adressé par les ennemis des Kurdes et du Kurdistan. (...) C'est une attaque immonde contre Rojava" (le territoire kurde de Syrie), affirme le KNK.

Belga.

Le père Paolo enlevé par des islamistes en Syrie

Le père Paolo Dall'Oglio, fondateur du monastère de Deïr Mar Moussa en Syrie, a été enlevé lundi par des islamistes proches d'Al Qaïda dans la ville syrienne de Rakka, annonce l'agence Reuters. L'information n'est pas confirmée par le Vatican, ni par ses proches qui parlent, pour le moment, d'une disparition.

Un enquêteur de l'ONU déplore des milliers d'enlèvements en Syrie

Ces détentions "sont, pour la commission d'enquête, la porte ouverte à d'autres crimes, comme la torture".

Le président de la commission d'enquête de l'ONU sur la Syrie a dénoncé lundi à New York la situation désespérée de milliers de personnes enlevées dans le pays, où le conflit a fait plus de 100.000 morts en 28 mois. "L'un des aspects les plus insidieux du conflit syrien est la disparition de milliers de personnes, (enlevées) chez elles, à des barrages ou dans la rue", a déploré Paulo Sergio Pinheiro, devant l'Assemblée générale.

http://www.lalibre.be/actu/international/un-enqueteur-de-l-onu-deplore-des-milliers-d-enlevements-en-syrie-51f6c3053570ebbf8e024e9c

Une quinzaine de journalistes disparus en Syrie

Parmi les journalistes qui manquent à l'appel, au moins deux Français : Didier François et Edouard Elias, deux journalistes qui travaillaient pour Europe 1. Sur le terrain, l'armée loyaliste a annoncé avoir repris un quartier clés de Homs.

http://www.franceinter.fr/depeche-une-quinzaine-de-journalistes-disparus-en-syrie

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Pardon ? C'est a cause du " :oops: " ?! :rolleyes:  ,je comprend pas trop la....

Je me suis trompé apparemment c'est Abou Sakkar le nom du cannibale syrien qui vient de se faire tué a Homs...

Sa mort avait déjà été annoncée dans le passé puis démentie par lui même et perso je ne trouve pas la photo de son cadavre très ressemblant mais avec la cervelle éparpillée et une botte sur la gueule c'est difficile à le dire. D'ailleurs, d'après Syrian Reports, c'est une vieille photo.

Ce qu'on sait c'est qu'il était originaire de Bab Amr de Homs, qu'il était dans la brigade Omar Al Farouq, brigade notamment active à Homs, et qu'il a été vu pour la dernière fois blessé à Qusayr. Il est donc probable qu'il puisse trouver la mort à Homs mais sa mort ne peut pour l'instant pas être vérifiée

Si non, une nouvelle qui peut faire sourire.La Syrie des rebelles islamistes sera Croissant Free. En effet, un comité Islamique d'Alep vient d'interdire la consommation des croissants qui est une insulte à l'Islam car traditionnellement consommés en Europe suite à la victoire des Européens sur les troupes ottomanes.

http://english.alarabiya.net/en/variety/2013/07/30/Aleppo-rebel-religious-committee-forbids-colonial-croissants.html

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Sa mort avait déjà été annoncée dans le passé puis démentie par lui même et perso je ne trouve pas la photo de son cadavre très ressemblant mais avec la cervelle éparpillée et une botte sur la gueule c'est difficile à le dire. D'ailleurs, d'après Syrian Reports, c'est une vieille photo.

Ce qu'on sait c'est qu'il était originaire de Bab Amr de Homs, qu'il était dans la brigade Omar Al Farouq, brigade notamment active à Homs, et qu'il a été vu pour la dernière fois blessé à Qusayr. Il est donc probable qu'il puisse trouver la mort à Homs mais sa mort ne peut pour l'instant pas être vérifiée

C'est pour toute ces raison que je prête plus de crédibilité a cette information...
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Sur le front Kurde, les combats entre les forces Kurdes et les Islamistes+ASL+clans arabes locaux continue toujours. Un article du journal Assafir expose la cause principale de ces clashs. Ce qui a tout déclenché c'est le souhait des Kurdes d'établir une région autonome qui contrôlerait la majorité des puits de pétrole Syrien à l'est. Les forces qui y sont engagées sont relativement conséquentes selon l'échelle locale. Par exemple Nusra aurait engagé 500 combattants dans l'attaque contre le site de Rmeilan, ce qui représente +-10% de ses combattants. On apprend aussi que les Européens ont fortement insisté au près des Kurdes pour qu'ils cèdent leurs puits de pétrole à l'ASL et au CNS afin que ces derniers puisse financer leurs opérations. La décision Européenne de lever l'embargo sur le pétrole Syrien exporté par les rebelles (alors que les rebelles ne maitrisaient pas de site pétrolier) a eu un effet très négatif sur l'opposition, ça les a lancée dans une course pour contrôler les champs de pétrole et a débouché sur la crise actuelle entre Kurde et rebelles islamistes.

http://www.al-monitor.com/pulse/security/2013/07/battle-oil-north-syria-kurds-jihadists.html

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Une interview pertinente et intéressante de Georges Corm sur l'opposition syrienne : "Le Monde arabe doit s’inspirer des tigres asiatiques s’il veut sortir de la crise."

GEORGES CORM. Économiste, historien et spécialiste du Monde arabe : «Le Monde arabe doit s’inspirer des tigres asiatiques s’il veut sortir de la crise»

Propos recueillis Par Zine Cherfaoui pour le journal Al Watan.

http://www.tayyar.org/Tayyar/Touch/NewsDetails.aspx?_guid={6D9486A4-8A48-4CFD-A1A5-B7BD21670855}

ZC : Pourquoi, d’après vous, l’opposition syrienne éprouve du mal à s’entendre sur un

«smig» politique et donc à former un front uni ?

GC : Le problème majeur est dans l’opposition de l’extérieur, hétéroclite, diverse et sous la haute influence des Etats arabes ou européens intervenants ; elle est devenue totalement dépendante du financement de ces Etats et donc ses composantes sont entièrement prisonnières d’eux. Je ne pense pas qu’elle ait acquis une notoriété à l’intérieur de la Syrie ; je pense que c’est le contraire. Plus intéressante est l’opposition de l’intérieur dont une partie dialogue avec le régime et dont certains éléments ont même intégré le gouvernement, le régime ayant accompli une ouverture sur cette opposition, ouverture totalement ignorée des médias à l’extérieur de la Syrie, pour mieux diaboliser le régime.

Ces éléments de l’opposition intérieure ont tiré les leçons de ce qui s’est passé en Irak après l’invasion américaine et ne veulent pas un «remake» du chaos sanglant qui dure jusqu’aujourd’hui dans ce pays, dix ans après l’effondrement de l’Etat et la «débaathification» du pays.

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Pardon ? C'est a cause du " :oops: " ?! :rolleyes:  ,je comprend pas trop la....

Je me suis trompé apparemment c'est Abou Sakkar le nom du cannibale syrien qui vient de se faire tué a Homs...

Si t'as posté la photo du pauvre type avec la cervelle explosé et la botte sur le visage, c'est normal qu'elle soit supprimé. C'est le genre de photo pas trés utilie sur ce forum. Mais sinon pour en venir a Abou Sakkar, c'est pas lui sur la photo. J'ai vue cette photo (certain sur liveleak s'amuse a mettre cette photo en profil...) bien avant que la vidéo ou l'on voit Abou Sakkar croquer un coeur apparaissent sur la toile.

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La polio éteinte 1995 en Syrie est de retour et risque de se propager aux autres pays de la région avec le flux des réfugiés ce qui ramène la Syrie au même niveau que l'Afghanistan, le Pakistan et le Nigeria. Malheureusement, pour l'instant la priorité est à l'armement des rebelles et des islamistes.

http://blog.foreignpolicy.com/posts/2013/07/30/eu_commissioner_refugee_crisis_horrifying_as_polio_returns_to_syria

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Les USA ont dépensé plus de 10 Millions de dollars pour la défection de policier syrien, ces policier ont été payé 150 dollars/ mois selon un diplomate américain

L'information nous vient de voltaire.net (ne me taper pas svp  :-X )

http://www.voltairenet.org/article179627.html

J'ai trouvé la vidéo ou l'on voit ce diplomate parler de ça:

Quelqu'un confirme les propos tenue par ce diplomate ? Je comprend l'anglais mais parfois quand il est parlé par certaine personne je ne comprend plus rien. Sur cette vidéo j'ai par contre entendu "150 dollars".

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Syrie : des djihadistes retiennent en otage 200 civils kurdes

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/07/31/syrie-des-djihadistes-retiennent-en-otages-200-civils-kurdes_3455987_3218.html

Des groupes djihadistes liés au réseau Al-Qaida ont pris en otage environ 200 civils kurdes après de violents combats avec des combattants kurdes dans deux villages du nord-est de la Syrie, selon une ONG syrienne.

MORT DE 16 KURDES

Les djihadistes ont alors lancé un assaut contre le siège d'un bataillon de cette brigade à Tall Hassel, tuant son chef, a-t-il précisé. L'assaut a provoqué de violents combats entre kurdes et djihadistes dans ces deux villages qui ont coûté la vie, jusqu'à mercredi, à "16 kurdes dont 11 combattants" et à 10 djihadistes dont un dirigeant d'Al-Nosra, selon l'OSDH qui s'appuie sur un large réseau de militants et sources médicales en Syrie.

Bientôt, les djihadistes auront toute la population syrienne (y compris les minorités)  ^-^ contre eux mais malheureusement toujours soutenus par les "amis de la Syrie"  :P c'est-à-dire les pétro-monarchies du Golfe, + États-Unis et certains vassaux occidentaux tels que la France, l'Angleterre, ...(livraisons d'armes qui tomberont tôt ou tard aux mains des terroristes) et + indirectement pour des raisons économiques (vente d'armement, pétrole, gaz, PSG (foot : investissement qatari), ...) aux pays du Golfe.

Syrie: Assad est "sûr de la victoire"

Le président syrien Bachar el-Assad a affirmé être "sûr de la victoire" de ses troupes dans la guerre qui les oppose aux rebelles depuis plus de deux ans, dans un message adressé aujourd'hui à l'occasion de la fête de l'armée.

"Si en Syrie nous n'étions pas sûrs de la victoire, nous n'aurions pas la capacité de résister et nous n'aurions pas pu poursuivre (la bataille) après plus de deux ans d'agression", a indiqué le chef de l'Etat dans ce message rapporté par l'agence officielle Sana.

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@Mani: bof c'est déjà fait. Je remet en lien déjà publié: http://www.worldtribune.com/2013/05/31/nato-data-assad-winning-the-war-for-syrians-hearts-and-minds/ Sinon comment une rébellion peut espérer l'emporter ou même se maintenir avec si peu de soutien populaire? Même financée et avec des étrangers djihadistes ça m'a pas l'air simple...

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Quelqu'un me confirme que c'est bien de la farine ?

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=QcTYFBTpyUI

@Mani: bof c'est déjà fait. Je remet en lien déjà publié: http://www.worldtribune.com/2013/05/31/nato-data-assad-winning-the-war-for-syrians-hearts-and-minds/ Sinon comment une rébellion peut espérer l'emporter ou même se maintenir avec si peu de soutien populaire? Même financée et avec des étrangers djihadistes ça m'a pas l'air simple...

Je veut pas être méchant, mais ce rapport de l'OTAN personne n'a réussi a mettre la mains dessus. Bref cet article pue et je pense qu'il est a évité.

Les rebelles ont encore du soutient tout comme l'armée mais moi je pense que une trés trés grosse majorité des civils en Syrie n'ont n'en rien à foutre de qui gagnera cette guerre et ce qu'il veulent c'est revivre normalement. On le voit bien avec ces millions et millions de syrien qui partent trouvé refuge et tranquilité dans les pays voisins.

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Ca peut être du plâtre également.

Oui ça pourrait et c'est pour ça que je demande.

Si c'est de la farine ça serait vraiment ironique quand on voit que 12 rebelles ont été tué il y a quelque jour alors qu'il était entrain de voler de la farine dans un moulin tenue par le gouvernement.

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Reportage de Haaretz sur le commandant de la division qui gère le Golan avant son départ, ou la guerre civile syrienne vue par les militaires de l'autre coté de la frontière.

Rebels are weakening Assad, but Israel sees a threat worthy of utmost attention

While events unfolding in Syria do not pose an acute risk to Israel at the present time, the army units stationed along the border are working hard to convince the rest of the IDF and the government that the danger of escalation is indeed very real. A conversation with an outgoing commander.

At around noon this past Wednesday, a few hours before the end of his tenure as commanding officer of the Israel Defense Forces' 36th Division in the Golan Heights, Brig. Gen. Tamir Haiman went to the observation point at the Tel Saki outpost overlooking the southern part of Israel's border with Syria. This coming October will mark 40 years since the Yom Kippur War battle over Tel Saki, in which 35 soldiers from the Nahal Brigade's paratroopers unit and from several Armored Corps units were killed. The outpost hasn't been manned in years. A small memorial has been erected at the site.

On Haiman's last morning on the job, the media were busy with a photograph taken the previous day not far from this spot. Several Haredi families visiting the site commemorating the 1997 helicopter disaster at She'ar Yashuv, which saw two Yasur helicopters colliding and killing all 73 soldiers on board, turned the memorial pool into an improvised swimming hole, demonstratively ignoring the pleas of other visitors to show some respect for the fallen. Predictably, the incident served as fodder for a concerted attack on the ultra-Orthodox.

This week, Tel Saki was also filled with Haredi travelers taking advantage of the traditional three-week summer break from yeshiva study that lasts from the end of Tisha B'av to the beginning of the month of Elul, but no untoward incident took place here. The Haredi families listened raptly to the division commander speaking with journalists at the site, some going up to Haiman and shaking his hand.

Haiman is concluding an unusual two-year tour of duty. When he came to the north, the sector was just beginning to heat up, as a delayed reaction to the civil war raging in Syria. Two months earlier, in May 2011, the IDF was caught unprepared on Nakba Day – the day on which Palestinians commemorate the "catastrophe" of Israel's independence, declared on May 15, 1948 – when hundreds of Palestinian demonstrators from Syria broke through the rickety fence near Majdal Shams and crossed over to the Israeli side of the border. Since then, the war in Syria has, at varying levels of intensity, been knocking on Israel's northern door. IDF troops stationed in the Golan are observing the changes, prepared for the possible ramifications of the war, while also trying not to intervene in events east of the border.

The most important occurrences tend to happen outside the immediate area of responsibility of the division commander, such as anonymous air strikes on weapons convoys within Syria, attributed by foreign sources to Israel. At least four such incidents have been documented since the start of 2013. This year, the IDF established a small field hospital at one of the outposts located right on the border. More than 100 Syrians, mostly civilian victims of the fighting, have passed through the hospital's doors on their way to more extensive medical treatment in Israeli hospitals. Despite pleas from the media, the military will not allow photography, for political reasons: Jerusalem is afraid of any public documentation of involvement in Syrian affairs.

Haiman is proud of the medical assistance provided by the military: "The decision to allow injured in is made on the spot. Often, the decision is up to a junior commander in the field. The consideration is a moral one. It's good for our soldiers to know that they are helping the wounded," he said in an interview with Haaretz.

They know in their bones

In the meantime, the IDF must face a paradox in the Golan. The potential risks of the new situation are great and range from escalation with the Syrian army to the rise of an enclave of radical Islamic terror on the border. So far, none of these concerns have materialized. Haiman, and from now on Brig. Gen. Itzik Turgeman, his successor as commander of the 36th Division, are preparing for a threat they know in their bones is going to become a reality.

But as long as it isn't happening, they have to persuade everyone - the government, the General Staff, the soldiers stationed in the Golan and the civilians residing in the north - that the danger requires the utmost attention now.

The new situation is already instigating fundamental change in the division commander's schedule. The 36th Division is an especially large army division and is in charge of training some of the IDF's top brigades, including Golani and the 7th and 188th Armored Brigades. Haiman estimates that his predecessors had to devote some 15 percent of their time to border events and the rest of their time to building the force, whereas now the two tasks take up about the same amount of their time.

Recently, IDF Chief of Staff Lt. Gen. Benny Gantz launched an effort to erect a reserve division command center in the north. It would be put in charge of border incidents, so that the 36th Division would be free to focus on building up the force. Haiman thinks such a change is necessary, but is still trying to convince his superiors that his division should remain in charge of the border and take advantage of the knowledge the division staff have gained over the past two years.

Haiman identifies several stages in the fighting on the Syrian side of the border. Soon after the start of the war in March 2011, the citizens shed their fear of the regime. The Palestinians who came to the border on Nakba Day had not planned to engage in a confrontation with Israel; nor were they, in Haiman's view, operating at the behest of the Assad regime. Rather, they were swept up by emotion. A month later, the Syrian regime sought to exploit the success of the earlier demonstration and organized another protest on Naksa Day (the anniversary of the Six-Day War). This time, the IDF responded with massive force, taking the lives of nearly 20 Palestinian demonstrators who tried to cross the border. Damascus became nervous, also because of a violent clash at the Yarmouk refugee camp near Damascus. Since then, President Bashar Assad has generally tried to keep the border calm.

During the second stage, toward the end of 2011, the regime ramped up its use of violence against rebel organizations in an attempt to smash the urban uprisings. But Assad made a serious mistake. He neglected his nation's borders, so that the rebels were able to assume control of the border areas, turning them into a source for volunteer reinforcements, weapons and logistical help streaming in from Jordan, Iraq and Turkey.

The dramatic stage of actual fighting on the Golan Heights started in the summer of 2012. The rebels gradually conquered a large part of the buffer zone near the Israeli border, establishing three growing enclaves, one in the southern Golan (the largest of the three, where the most radical of the rebels, described as Al-Qaida inspired global jihadists, have gathered), and two in the center and north, on both sides of the border town of Quneitra. The northern enclave is already nibbling at the foothills of the Syrian part of Mt. Hermon, bordering on the Druze village of Hadarm whose residents are still aligned with the regime. Lately, the conflict has spilled over into Lebanon, too, where Israel, Syria and Lebanon meet: Syrian rebel forces have attacked Hezbollah operatives at Mt. Dov.

At the third and current stage, the balance between the sides is fairly even, though its exact nature is something of a mystery. The rival camps are digging into their strongholds, emerging from time to time to attack. According to Haiman, the Syrian army has gained a great deal of experience in fighting, even though in terms of conventional warfare (operating tanks, divisions and brigades), it is weaker than the Israeli military. "Friction results in learning, and the Syrians are better fighters today than they were two years ago. At the beginning, the army was calcified and rigid. Today, both sides are more flexible. Quneitra is a good example. A few weeks ago, the Syrian military lost the town in a battle that lasted two hours, and then recaptured it within 30 minutes. At the end of the day, each side tells the story of its victory [there], which may or may not have anything to do with physical reality on the ground."

Among the rebels in the Golan, the capability of global jihad organizations has risen. This is a mishmash of groups, Syrians and Sunni Muslims from various countries, including professional terrorists and Al Qaeda veterans of the war in Iraq, as well as Syrian teenagers who identify with them, although they lack any outward sign of being jihadist fighters and not necessarily committed to the idea of an Islamic revolution. According to Haiman, the number of global jihadist rebels in the southern Golan has gone from a mere 300 to almost 10,000. "They have a clear set of priorities: toppling the Assad regime and making sharia, religious Muslim law, the law of the land in every location of which they wrest control. Israel is currently fairly low on their agenda, but who's to say they can't operate simultaneously and target us too? It's important to keep an eye on them."

Israel's preparations have included rebuilding the border fence (more than 60 of the 84 kilometers have already been completed), the addition of observation posts other and intelligence-gathering means, and upgrading the quality of the forces deployed along the border. One may also assume that Israel has increased its intelligence activities in the region. Every few weeks or so, there is a "trickle of fire," with the Syrian army shooting at rebel positions and hitting Israel instead, usually by accident. "When the intensity becomes questionable, we shoot back proportionately," says the outgoing division commander. This happened both in May and in June this year, after Assad threatened to open "an opposition front" in the Golan in response to Israeli air force attacks. Currently, the border is calm. "I very much hope that President Assad understands the potential harm that could come to him should he decide to attack us here," says Haiman.

Last summer, when most of Israel's intelligence community still shared former Defense Minister Ehud Barak's view forecasting the rapid demise of the Syrian regime, the Northern Command maintained a healthy dose of skepticism. In the north, the impression was of a brutal, resolute Syrian dictator who is managing to maintain control of most of his forces despite having lost his grip on more than half of Syria's territory. Haiman is cautious, but he doesn't foresee the collapse of the regime anytime soon. The map of control is still spotty, with each side entrenching itself in the areas it controls.

"A forecast of this kind is a little bit above the pay grade of this division," says Haiman. "I'm speaking on the basis of what I can actually see." There has been a clear increase in the number of deserters from the Syrian military, and the mandatory draft is taking in only 15 percent of eligible youngsters. But the regime conducts itself with horrific yet fairly effective force, making use of Hezbollah forces and armed civilian militias, mostly Alawi, serving as a cruel expeditionary force in areas where the regime has retaken control.

"The Syrian army is alive and well. It is not breaking up, and it is still too early to write its obituary. We love American stories: Stuff starts and then it's over in an hour and a half or two, a done deal. But the predictions about Assad's imminent collapse were all based on a Western interpretation of a Middle Eastern economy. It's still an agrarian society dependent mostly on water supplies and the preservation of tradition. The devaluation of the currency doesn't concern most Syrians very much and wouldn't necessarily lead to the collapse of the regime. There is a much deeper narrative at work, one that provides the foundation for mutual blood vengeance that can last for decades. Tens of thousands of people have died in these battles. There isn't going to be peace and quiet there anytime soon."

Haiman is 46; in the last two years, his hair has grayed a lot, not surprising for someone in charge of the sector that rapidly went from including the calmest border to being the place with the most worrisome potential for a crisis. He is an armored corps commander who found himself having to deal primarily with infantry fighting. It's not the first time it hs happened to him. He served as a territorial brigade commander in the West Bank during the Second Intifada. In another three weeks, he will start his new job as head of the doctrine and training brigade at the General Staff. If all goes well, he is expected to be promoted to the rank of major general at some point in the future. As for the last two years, Haiman says his feelings are mixed: "The challenge keeps you up at night, but there are tremendous professional rewards. Events develop in surprising directions and do so very quickly, and you have to be skilled enough to respond rapidly and correctly." 

Amos Harel

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Quelqu'un me confirme que c'est bien de la farine ?

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=QcTYFBTpyUI

Je veut pas être méchant, mais ce rapport de l'OTAN personne n'a réussi a mettre la mains dessus. Bref cet article pue et je pense qu'il est a évité.

Les rebelles ont encore du soutient tout comme l'armée mais moi je pense que une trés trés grosse majorité des civils en Syrie n'ont n'en rien à foutre de qui gagnera cette guerre et ce qu'il veulent c'est revivre normalement. On le voit bien avec ces millions et millions de syrien qui partent trouvé refuge et tranquilité dans les pays voisins.

  En effet, on peut quand même se poser pas mal de question sur toutes ces infos ces derniers temps autour de la popularité ou non des rebellions syriennes ... Sur la base de quoi ? Otan ou pas : Quelqu'un serait allé faire du porte a porte en Syrie pour "sonder" ?

  De fortes chances surtout qu'on a a faire a du sondage au doigt mouillé, mouillé des convictions de ceux qui les rédigent bref ... Inutile

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Témoignage d'un journaliste franco-américain récemment libérée:

http://www.dailymotion.com/video/x12jnu4_ils-ont-fait-semblant-de-m-executer-plusieurs-fois_news

Il y a un truc qui me tue dans cette histoire. Le type s'est carrément fait faire payé sa rançons par un homme d'affaire pro-gouvernement:

Conduit dans une villa de Damas, il affirme avoir rencontré "l'homme d'affaires" qui a payé sa "rançon" aux rebelles. L'homme "figure sur la liste noire des dignitaires syriens" et aurait payé 450.000 dollars, selon Jonathan Alpeyrie.

http://lci.tf1.fr/monde/moyen-orient/otage-pendant-81-jours-en-syrie-jonathan-alpeyrie-raconte-sa-8240319.html

Donc si j'ai bien compris, l'homme d'affaire syrien aurait payé la rançons pour qu'ensuite son nom soit viré des nom de la liste noires des dignitaire syrien ?

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Peut être... Mais aussi c'est possible qu'il ait payé pour améliorer l'image de son pays, le journaliste allant sûrement maintenant être anti rébellion et les 450 000$ ça peut être moins je pense pas qu'ils aient laisser le journaliste compter les billets et donc que le pro gouv ait exagérer un peu. Mais tout ça reste des suppositions

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Peut être... Mais aussi c'est possible qu'il ait payé pour améliorer l'image de son pays, le journaliste allant sûrement maintenant être anti rébellion et les 450 000$ ça peut être moins je pense pas qu'ils aient laisser le journaliste compter les billets et donc que le pro gouv ait exagérer un peu. Mais tout ça reste des suppositions

Les rebelles n'ont pas besoin de ces excès de générosité pour détruire leur image.  Une nouvelle vidéo d'un général de l'asl montre comment ils insistent pour éradiquer les kurdes. Message reçu par les combattants rebelles qui ont entrepris une destruction systématique des maisons de civils kurdes dans les zones de frictions avec les kurdes.  L'armée syrienne vas se retrouver avec un allié puissant pour neutraliser la frontière Nord et assécher Les voies d'approvisionnent des rebelles /islamistes.
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