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[LPM] Loi Programmation Militaire


xav
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une question idiote .

le budget ne bouge pas ,mais le livre blanc s'est pas que le budget de la défense ,s'est aussi une réorganisation de l'outil militaire non ?

donc on aura quand même des unités qui vont fermé et on redistribuera le budget en fonction de cette réorganisation ,non ?

moi quand je vois que les opérations au Mali ou nos gars ont eu du mal à trouver des rangers de rechange car le terrain est horrible ,et que certains se sont servi chez les barbus ou ont "retapé" leur pompes ,et qu'on lit qu'on s'aperçois que nos treillis ne sont pas solide ,sa fait peine à voir ...

bon s'est sûr les rangers actuelles ont plus la qualité des anciennes ,mais je me demande si une paire de pompes higtech aurait tenu le choc aussi ,et donc faut voir le soutien logistique aussi pour se genre de besoins quand même important (à pied nu s'est pas facile ...) .

sa va faire tache mes histoires de pompe et de treillis m'enfin sa la fout mal quand même ...

doit bien avoir un peu de budget quand même pour les fringues et pompes merde ...

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http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/debat/0202673933842-la-defense-remporte-une-bataille-pas-encore-la-guerre-553989.php

En déclarant jeudi soir que la Défense dépensera en 2014 « le même montant qu'en 2013 » et qu'il en sera de même jusqu'à la fin de la loi de programmation militaire, en 2019, François Hollande a incontestablement arbitré en faveur de la communauté militaire dans le débat qui l'oppose à Bercy. Le risque de sabordage de l'armée française est écarté, de même que celui d'un déclassement de la Nation sur la scène internationale. Tous ceux -parlementaires PS ou UMP, officiers généraux en retraite, industriels ou experts -qui ont déclenché ces dernières semaines une campagne de lobbying comme on en a rarement vu en France ne vont pas manquer de claironner victoire, fiers d'avoir rendu gorge aux affreux « budgétaires » du ministère des Finances.

Les réactions de satisfactions n'ont d'ailleurs par tardé. « Face à une logique purement comptable, le Président de la République a su faire prévaloir l'intérêt supérieur de la Nation. Cette décision de bon sens permet de maintenir ce qui constitue les fondations de notre sécurité, de notre indépendance et donc de notre prospérité », a par exemple déclaré la commission des Affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat, très en pointe dans le combat.

Pour autant, le triomphalisme ne saurait être de mise. Même s'il a évité le pire, et même s'il sera en position de force dans les arbitrages à venir vis-à-vis de Bercy, le ministère de la Défense sait parfaitement qu'il n'échappera pas à un nouveau serrage de ceinturon. Pour comprendre pourquoi, il faut se plonger dans les chiffres. Loin de belles analyses géostratégiques que va nous servir le prochain livre blanc de la Défense nationale, c'est d'eux seuls que dépendront la capacité de l'armée française à tenir son rang et de son industrie à surnager.

Camouflet pour Bercy

Quand il a été voté, le budget 2013 hors pensions de la Défense prévoyait 31,4 milliards d'euros de crédits. A la lecture au mot près des propos du Président de la République, on peut en déduire qu'il en sera de même l'année prochaine. C'est un camouflet pour Bercy qui ne voulait lâcher que 29 milliards. A confirmer. Pourquoi ? Parce qu'à peine voté, le budget 2013 a subi une encoche de quelques centaines de millions, gelés sur ordre de Matignon pour réduire les dépenses de l'Etat. Cette année, la Défense ne dépensera donc pas la totalité des crédits qui lui ont été alloués.

Mais l'essentiel n'est pas là. Toujours sur les 31,4 milliards prévus en 2013, 1,2 milliard proviennent de recettes exceptionnelles, tirées essentiellement du reliquat de la vente de fréquences hertziennes. Les « vrais » crédits budgétaires sont donc de 30,2 milliards. François Hollande n'est sans doute pas au fait de ce niveau de détail, et lui en faire le reproche relèverait d'un mauvais procès. N'empêche, la précision est importante : en 2014, les militaires seront-ils autorisés à dépenser 31,4 milliards ou 30,2 milliards d'euros ?

Au ministère de la Défense, on veut croire que c'est le premier chiffre qui l'emportera. C'est probable. Restera alors à préciser d'où viendra cet argent. Autrement dit, comme en 2013, quelle sera la part des « vrais » crédits budgétaires et celle des recettes exceptionnelles, car il en faudra, cela ne fait aucun doute, pour boucler les fins de mois. D'aucuns pourraient croire que la question relève du sexe des anges. A tort car elle est fondamentale.

« Continuer le combat »

Le niveau des crédits budgétaires pour 2014, c'est la « vraie » base de départ pour la suite de la loi de programmation militaire. C'est à partir de ce chiffre que seront déduits les budgets des années suivantes par application du principe imposé par Matignon à tous les ministères du « zéro valeur », c'est-à-dire de la non prise en compte de la hausse des prix. C'est mathématique : en 2015, les crédits budgétaires seront égaux à ceux de 2014 moins l'inflation ; en 2016, ils seront égaux à ceux de 2015 moins l'inflation ; et ainsi de suite d'une année à l'autre jusqu'en 2019.

Autrement dit, plus on fixe la barre haut en 2014, et plus les militaires auront d'argent sur la durée de la loi de programmation. Moins on part de haut, et moins ils en auront au total. Quelques centaines de millions en plus ou en moins au départ, quand on ne compense pas l'inflation, font une grosse différence à l'arrivée.

Pour Bernard Cazeneuve, le ministre du Budget, tout l'enjeu maintenant va donc être de lâcher le moins de crédits possible pour 2014, quitte à obliger Jean-Yves Le Drian, son homologue de la Défense, à trouver des recettes exceptionnelles pour tenir l'objectif fixé par François Hollande. Vu du ministère des Finances en effet, l'armée « DOIT », d'une manière ou d'une autre, prendre sa part l'année prochaine à l'objectif de réductions des dépenses de l'Etat de 5 milliards.

La bataille est donc loin d'être achevée. Christian Mons, le président du Cidef, le conseil des Industries de défense, ne s'y est pas trompé. « Il faut continuer le combat », affirme-t-il. Sous-entendu vis à vis de Bercy qui ne va sans doute pas rendre les armes comme cela. Verdict à l'été quand la loi de programmation sera déposée devant le Parlement. Même si François Hollande leur a donné du baume au coeur, militaires et industriels savent que ce sera dur. Compte tenu des besoins de trésorerie, on n'évitera pas des milliers de suppressions de postes supplémentaires dans les rangs. Les programmes d'armement vont encore être rognés. Et les nouvelles commandes réduites à la portion congrue.

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Parce qu'à peine voté, le budget 2013 a subi une encoche de quelques centaines de millions, gelés sur ordre de Matignon pour réduire les dépenses de l'Etat.

A titre indicatif c'est vrai pour toutes les structures de l'Etat

Ainsi les universités ont perdus entre 120 et 180 000 euros chacune pour "contribution au redressement de l'état"

Et la même somme pour "enveloppe d'anticipation et de prévoyance budgétaire" a été gelée sur un compte "particulier"

Dans les 2 cas ca fait entre 1,5 à 3 % du budget qui saute (et pas la peine de compter revoir ces enveloppes)

Pour d'autres structures Pascal et Loki pourront peut être nous en dire plus

Tout ca pour dire que des moyens sémantiques pour récuperer de l'argent c'est pas ca qui manque

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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130327trib000756331/defense-francois-hollande-ne-baisse-pas-la-garde-face-aux-menaces-pesant-sur-la-france.html

"Bercy a caché la copie jusqu'au dernier moment"

Des coupes faciles, estimaient alors Bercy et Matignon, qui passeraient inaperçues dans l'opinion publique. Les projets de Bercy allaient même au-delà de la fameuse trajectoire Z, qui déjà faisait tant peur dans les rangs des armées et chez les industriels de l'armement. C'est ce qu'a découvert au tout dernier moment le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, quand il a rencontré le 18 mars le ministre délégué chargé du Budget, Jérôme Cahuzac, quelques jours avant sa démission. Selon plusieurs sources concordantes, le rendez-vous s'est très mal passé entre les deux hommes car Bercy était vraiment prêt à casser l'outil de défense sur l'autel des économies budgétaires exigées par Matignon. "Bercy a caché la copie jusqu'au dernier moment", assure une source proche du dossier. Pourquoi ? Pour mieux surprendre l'Hôtel de Brienne, qui n'aurait pas eu le temps d'organiser un contre argumentaire. Car initialement un conseil de défense était prévu le lendemain de cette rencontre, soit le 19 mars. Finalement pour des raisons d'agenda, il a été reporté au vendredi.

Le ministère de la Défense a gagné mais...

Aujourd'hui, tous les scénarios les plus noirs sont rangés dans les cartons de Bercy. Il n'en était plus question à l'Elysée, qui a d'ailleurs été très surpris tout comme Bercy par la virulence des articles de presse sur un éventuel démantèlement de l'outil de défense (militaire et industriel). Jean-Marc Ayrault a été le premier à siffler la fin de la partie jeudi dans la journée au Sénat même si les arbitrages restent à faire. Le modèle d'armée qui découlera des travaux du nouveau Livre Blanc de la défense "sera conforme aux ambitions de la France, en Europe et dans le monde", a-t-il déclaré lors de la séance des questions au Sénat. "Protéger notre territoire et la population française, préserver nos forces de dissuasion dans ses deux composantes, et assurer nos capacités d'intervention, seuls ou avec nos alliés", a-t-il énuméré. Du coup, la réduction du budget de la défense sera raisonnable, expliquaient plusieurs sources concordantes. Ce qui ne veut pas dire qu'elles seront indolores. Loin de là mais elles permettront de limiter la casse et de permettre de faire le gros dos aux militaires et aux industriels en attendant des jours meilleurs.

Bercy a donc perdu mais... peut encore gagner. Car au sein de la défense, on veut rester vigilant et rester sur le pont pour se mobiliser contre la prochaine guérilla budgétaire technique que va imposer Bercy à l'hôtel de Brienne. "Au-delà des intentions, il y aura les budgets votés. Et au-delà des budgets votés, il y aura les budgets réalisés (annulation de crédits en cours d'exercice...)", rappelle un très bon connaisseur de la défense. Et cela a d'ailleurs déjà commencé. Outre les futures économies que Bercy tente d'imposer à la défense en 2014 (1 milliard d'euros sur les 5 milliards demandés par Matignon), le budget tente de faire financer, selon des sources concordantes, le fonds de démantèlement des installations nucléaires militaires par le budget de la Défense. Ce qui n'était pas le cas jusqu'ici. Soit une dépense annuelle de 400 à 500 millions d'euros. Soit l'équivalent des ressources exceptionnelles qu’espéraient obtenir il y a peu Jean-Yves Le Drian. Enfin quid des reports de crédits qui s'élèvent à plus de trois milliards d'euros, selon nos informations ?

Un conseil de défense décisif le 10 avril

C'est donc le 10 avril, date du dernier conseil de défense, que la future doctrine de défense de la France sera validée par le président de la République... ou quelques jours plus tard s'il demande un délai de réflexion. L'Elysée devrait donc accorder plus de 30 milliards d'euros par an à la Défense, ou plus de 188 milliards d'euros (hors gendarmerie et pensions) sur la période de la future Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, dont le projet de loi devrait être déposé à l'Assemblée nationale fin mai, début juin, selon nos informations. Soit beaucoup plus que la trajectoire Y (29 milliards d'euros) défendue par le ministre de la Défense plus un bonus de ressources exceptionnelles, dont l'essentiel pourrait venir de la cession de participations de l'Etat dans les groupes de défense. Jean-Yves Le Drian se battait pour 1 milliard d'euros supplémentaires par an. Mais avant l'intervention de François Hollande, la tendance, c'était plutôt 500 millions d'euros. Soit 3 milliards d'euros sur la période de la LPM. Avec 180 milliards sur six ans, les bureaux d'études de Nexter sont par exemple sauvés, expliquait-on à La Tribune. Avec cette somme, le groupe d'armement terrestre aurait été pourtant impacté par des diminutions d'activité avec d'inévitables conséquences sur l'emploi. "La casse est minimisée", assurait-il. Ce qui n'était pas le cas avec seulement 177 milliards d'euros (29 milliards par an).

Le ministère de la Défense en cessation de paiement en 2014 ?

Le ministère de la Défense avait également une très grosse inquiétude. Comment passer le cap de 2014 et 2015 ? Car avec 29 milliards et même 30 milliards l'année prochaine, le ministère de la Défense était en cessation de paiement dès 2014. L'Hôtel de Brienne, qui aurait été alors confronté à un problème de trésorerie, n'aurait plus été en mesure de payer les industriels au titre des contrats passés, qui auraient pu être cassés. Ce qui impliquait de lourdes pénalités à l'Etat. Au ministère, on militait pour disposer en 2014 et 2015 de ressources exceptionnelles bien au-delà des 500 millions prévus pour assurer le paiement des contrats déjà signés (Rafale, frégates Fremm, sous-marins barracuda, hélicoptères NH90...). "La défense est comme un grand navire lancé à 32 milliards d'euros : on ne peut pas réduire sa vitesse aussi rapidement qu'on le voudrait", avait expliqué à l'automne dernier le chef d'état-major des armées, l'amiral Guillaud.

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Donc des contrats style Fremm grecs risque d'arriver souvent. Adieu les Fredas !!!!

Rien n'est acté, sauf que Au total, le programme devrait coûter 8,6 Mds € (2012). Le prix moyen d’une frégate s’établit à 592 M € (2012) (hors coût de développement) pour onze frégates, à raison d’une cadence de livraison de une frégate par an pour la France. Lors de la cérémonie de mise à l’eau de la « Normandie », le ministre de la défense, M. Jean-Yves le Drian a déclaré, en compagnie du ministre de l’économie et des finances, M. Pierre Moscovici, que le programme des frégates irait à son terme. Sachant que la commande des huit premières frégates, inscrite dans la loi de programmation 2003-2008 a été notifiée en 2005. La commande des trois dernières FREMM est intervenue en 2009. On les commande à un industriel français et non chez les concurrents allemands, espagnols ou italiens.

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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130327trib000756331/defense-francois-hollande-ne-baisse-pas-la-garde-face-aux-menaces-pesant-sur-la-france.html

Pour notre budget, c'est bien ce que je pensais, le départ de cet xxxxx de Cahuzac aura été une divine surprise, et d'autre part la bronca des milieux de Défense, relayée par députés, sénateurs et journaux aura payé!

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Ce qui douter de Mr le Drian mais il s'est bien battu ...

Mais bon la plus grosse bataille est gagné mais la guerre est pas fini

Certes mais il a été bien aidé par le buzz lancé par les milieux de Défense, car ce n'est pas un poids lourd politique et dans le passé ce genre de MinDef sans pouvoir de nuisance politicien ça ne nous a pas porté bonheur question budget.
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Rien n'est acté, sauf que Au total, le programme devrait coûter 8,6 Mds € (2012). Le prix moyen d’une frégate s’établit à 592 M € (2012) (hors coût de développement) pour onze frégates, à raison d’une cadence de livraison de une frégate par an pour la France. Lors de la cérémonie de mise à l’eau de la « Normandie », le ministre de la défense, M. Jean-Yves le Drian a déclaré, en compagnie du ministre de l’économie et des finances, M. Pierre Moscovici, que le programme des frégates irait à son terme. Sachant que la commande des huit premières frégates, inscrite dans la loi de programmation 2003-2008 a été notifiée en 2005. La commande des trois dernières FREMM est intervenue en 2009. On les commande à un industriel français et non chez les concurrents allemands, espagnols ou italiens.

Bien sur Philippe, le programme ira à son terme, mais à 1,2 M€ les deux Fremm, on se fera un plaisir d'en louer à la Grèce , comme le note LBP !
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Certes mais il a été bien aidé par le buzz lancé par les milieux de Défense, car ce n'est pas un poids lourd politique et dans le passé ce genre de MinDef sans pouvoir de nuisance politicien ça ne nous a pas porté bonheur question budget.

J'ai même des étudiants ingénisurs agronomes qui ont spamé pour râler  :lol:

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Certes mais il a été bien aidé par le buzz lancé par les milieux de Défense, car ce n'est pas un poids lourd politique et dans le passé ce genre de MinDef sans pouvoir de nuisance politicien ça ne nous a pas porté bonheur question budget.

Je compare surtout avec se que l'on avait avant et il s'est bien clacher avec le Cazuac :lol:

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Maintenant avec ce budget, quelles sont les possibilités pour l'avenir ?

- 50 A400M

- 11 FREMM

et après ?

Je ne suis pas assez connaisseur des coûts.

Quelques-uns qui me viennent à l'esprit.

Si Bercy a une grille de lecture purement comptable.Voici ce qu'ils lisent en premier.

11 FREMM = 8,3 milliards d'€

50 A400M = 8,8 milliards d'€ coût unitaire hors D = 150M€

BPC n°3 Dixmude= 451,6M€

NH90 = coût total 8397M€ en 2012.

6 SNA = 9,5 milliards d'€ ,un seul = 1192M€ hors D

Coût total du programme Tigre en 2010 = 6 milliards d'€ R&D comprise.

Minimum 2,7 milliards d'€ pour 14 MRTT.

rénovation pour 10M€ par Mirage 2000D

rénovation ATL2 Atlantique, 18 = 1 milliard d'€

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Bien sur Philippe, le programme ira à son terme, mais à 1,2 M€ les deux Fremm, on se fera un plaisir d'en louer à la Grèce , comme le note LBP !

Sauf que la Grèce n'a pas l'intention de payer 592M€ (moins HT ) une FREMM, et avant de la louer et bien il faut la lancer et donc la financer. ;) Qui sera le fournisseur qui loue ? DCNS ou EMA/EMM? Ce n'est pas pareil, en plus on est juste en personnel et à flux tendus pour ceux qui seront affectés aux FREMM.Tu veux aussi qu'on fournisse les marins  :lol:

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Ce qui douter de Mr le Drian mais il s'est bien battu ...

Mais bon la plus grosse bataille est gagné mais la guerre est pas fini

En effet, Jean Guisnel en parle http://www.lepoint.fr/editos-du-point/jean-guisnel/budget-de-la-defense-ce-n-est-pas-l-apocalypse-mais-ce-n-est-pas-le-perou-30-03-2013-1647890_53.php

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une question idiote .

le budget ne bouge pas ,mais le livre blanc s'est pas que le budget de la défense ,s'est aussi une réorganisation de l'outil militaire non ?

donc on aura quand même des unités qui vont fermé et on redistribuera le budget en fonction de cette réorganisation ,non ?

moi quand je vois que les opérations au Mali ou nos gars ont eu du mal à trouver des rangers de rechange car le terrain est horrible ,et que certains se sont servi chez les barbus ou ont "retapé" leur pompes ,et qu'on lit qu'on s'aperçois que nos treillis ne sont pas solide ,sa fait peine à voir ...

bon s'est sûr les rangers actuelles ont plus la qualité des anciennes ,mais je me demande si une paire de pompes higtech aurait tenu le choc aussi ,et donc faut voir le soutien logistique aussi pour se genre de besoins quand même important (à pied nu s'est pas facile ...) .

sa va faire tache mes histoires de pompe et de treillis m'enfin sa la fout mal quand même ...

doit bien avoir un peu de budget quand même pour les fringues et pompes merde ...

Les treillis de l'armée FR sont fabriqué en Tunisie je crois. Mais il n'y a pas des normes françaises équivalantes au NSN américain ? :rolleyes:

Quant aux rangers, les anciennes (les modèles 64) se les taper dans le désert par +45°, autant s'emputer les pieds tout de suite. Comment des gens peuvent être nostalgique de ces outils de torture médiéval conçus par un fabriquant de gaze moutarde ? :-[

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Les treillis de l'armée FR sont fabriqué en Tunisie je crois. Mais il n'y a pas des normes françaises équivalantes au NSN américain ? :rolleyes:

Quant aux rangers, les anciennes (les modèles 64) se les taper dans le désert par +45°, autant s'emputer les pieds tout de suite. Comment des gens peuvent être nostalgique de ces outils de torture médiéval conçus par un fabriquant de gaze moutarde ? :-[

nostalgique ?

ben non mais en attendant on a que sa ,et apparemment les meindl mis en dotation dans l'armée de terre (enfin qui commence seulement à arriver ) s'est plutôt pour un climat largement moins chaud que l'Afrique ,alors si s'est pour suer encore + dedans je préfère encore les rangers  =)

être en rangers par des hautes températures sur un terrain de merde sans ombres chargé comme une mule (certes moins chargé si on enlève le gilet pare-balle ) j'ai connu et j'en suis pas mort  ;)

se qui semble être aussi le cas pour nos gars au Mali  ;)

maintenant je ne suis pas contre du matos récent en terme de pompes ,mais au vu de l'emploi dans cette configuration de terrain et en terme de climat  ,si des rangers "explosent" même si elle ne sont plus de la ma même qualité que celle que j'ai connu ,on peu se permettre d'avoir des doutes sur du plus high-tech qui ne sera peut-être pas forcément aussi solide ,enfin en fonction des modèles .

je me demande se qu'aurait donné les pompes réglementaire de l'army ou de l'USMC sur un terrain aussi merdique qui est le massif des hadrar qui semble beaucoup plus dur que celui de l'Afghanistan surtout .

sur GAO ou Tombouctou sa passerait mais dans le massif j'ai des doutes .

un truc con ,mais un gars de la biffe que connaît le fiston et qui a perçus FELIN trouvait que les meindl ,s'était pas pratique pour une marche commando en comparaison des rangers ,alors certes on va me dire que la marche commando s'est pas la finalité mais sa reste intéressant à savoir .

enfin bref ,pas de nostalgie mais faut pas non plus dire que la rangers s'est la pire des choses  =)

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maintenant je ne suis pas contre du matos récent en terme de pompes ,mais au vu de l'emploi dans cette configuration de terrain et en terme de climat  ,si des rangers "explosent" même si elle ne sont plus de la ma même qualité que celle que j'ai connu ,on peu se permettre d'avoir des doutes sur du plus high-tech qui ne sera peut-être pas forcément aussi solide ,enfin en fonction des modèles.

Le problème au mali c'est que le massif en question c'est du bloc de roche assez abrasive, et que donc ca détruit les chaussures. La seule parade faire super gaffe en marchant - ce qu'on ne peut pas vraiment faire quand on combat - ou avoir des chaussure spécifique typé montagne/rocher genre pompe d'approche avec pare pierre intégral semelle vibram rigide etc. Le reste des pompe quelques soit la qualité va morfler et encore plus avec les lourd portage. Ici pas de miracle la BMJA ou les Meindl Army ne sont pas adaptées ... ce sont des chaussure de marche en pleine, pas des pompe de montagne, et encore moins de la chaussure pour jouer le cabri dans le bloc. La seul réponse adaptée, c'est soit de demander aux alpins de leur "prêter" leur pompe de montagne - souvent des Asolo ou Scarpa -, soit de faire avec les rangers et de les changer des qu'elle sont nases.

Les pompe US a la mode qui coute la peau du cul ne dureraient probablement pas plus de temps ... ce pourrait même être pire avec leur semelle tendre et molle.

C'est tout le problème d'équiper une armée avec un seul paquetage qui doit en théorie résoudre tous les problème de vêture, de l'Antarctique au désert de Gobi. C'est juste pas possible, ou du moins pas a cout raisonnable. D'où le besoin de polyvalence des achats, d'une capacité a mettre en place rapidement des approvisionnement en produit spécifique etc. On a vu que ca a mis plusieurs année pour l'Afghanistan fallait pas espérer que ca se règle en quelques semaine au Mali. Au Mali on fera avec le matos qu'on a ... quitte a le tuer sur place.

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Le problème au mali c'est que le massif en question c'est du bloc de roche assez abrasive, et que donc ca détruit les chaussures. La seule parade faire super gaffe en marchant - ce qu'on ne peut pas vraiment faire quand on combat - ou avoir des chaussure spécifique typé montagne/rocher genre pompe d'approche avec pare pierre intégral semelle vibram rigide etc. Le reste des pompe quelques soit la qualité va morfler et encore plus avec les lourd portage. Ici pas de miracle la BMJA ou les Meindl Army ne sont pas adaptées ... ce sont des chaussure de marche en pleine, pas des pompe de montagne, et encore moins de la chaussure pour jouer le cabri dans le bloc. La seul réponse adaptée, c'est soit de demander aux alpins de leur "prêter" leur pompe de montagne - souvent des Asolo ou Scarpa -, soit de faire avec les rangers et de les changer des qu'elle sont nases.

Les pompe US a la mode qui coute la peau du cul ne dureraient probablement pas plus de temps ... ce pourrait même être pire avec leur semelle tendre et molle.

C'est tout le problème d'équiper une armée avec un seul paquetage qui doit en théorie résoudre tous les problème de vêture, de l'Antarctique au désert de Gobi. C'est juste pas possible, ou du moins pas a cout raisonnable. D'où le besoin de polyvalence des achats, d'une capacité a mettre en place rapidement des approvisionnement en produit spécifique etc. On a vu que ca a mis plusieurs année pour l'Afghanistan fallait pas espérer que ca se règle en quelques semaine au Mali. Au Mali on fera avec le matos qu'on a ... quitte a le tuer sur place.

effectivement ,tu as expliques très bien la situation  =) ;)
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Celà dit, 15j de randos dans le massif de Belledonne, les Meindl ont bien tenu (encore que je ne m'explique toutjours pas l'absence de parre-pierre). Et leur semelle m'a semblé assez adaptée (moins glissante sur pierre humide que mes salomon GX, parailleurs infiniment plus légères).

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Celà dit, 15j de randos dans le massif de Belledonne, les Meindl ont bien tenu (encore que je ne m'explique toutjours pas l'absence de parre-pierre). Et leur semelle m'a semblé assez adaptée (moins glissante sur pierre humide que mes salomon GX, parailleurs infiniment plus légères). Elles ont bien tenu aussi sur le Piton de la Fournaise.

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Celà dit, 15j de randos dans le massif de Belledonne, les Meindl ont bien tenu (encore que je ne m'explique toutjours pas l'absence de parre-pierre). Et leur semelle m'a semblé assez adaptée (moins glissante sur pierre humide que mes salomon GX, parailleurs infiniment plus légères).

Tu utilises les pompes de l'Armée de Terre pour tes randos perso? ou il s'agit d'un autre modèle de la marque?

L'absence de pare pierre est simple ... le modèle choisi est dérivé de la gamme chasse, et ces chaussures ne sont pas conçues pour aller jouer dans le caillou, mais plutôt pour la plaine et le temps humide. Très typé centre Europe en fait.

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