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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre
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C'est absolument ridicule comme surcout!!! surtout comparé aux immenses avantages que ca produirait en matière d'emploi, donc de charges sociales en baisse - plus de cotisant -, de recette d'impot/taxe en hausse - donc de baisse des impôts potentielle ou de baisse de la dette -, et d’amorçage de lancement produit chez l'industriel etc.

Tu oublies que s'ils dépensaient 100 à 300€ de plus sur l'achat de biens français, cela ferait une contraction de 100 à 300€ sur les services français. Donc, ce serait un masacre. 100€, c'est pour un smicard. Personne ne peut se permettre 1200€ de dépense en plus.

Modifié par Serge
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La seul chose qui compte pour un client, c'est la recherche du meilleur rapport qualité/prix.

Si personne n'achète français, c'est que les coûts de productions sont trops forts avant même de parler de qualité. De plus, comme nos taux de marges sont parmis les plus faibles, cela signifie que nos industriels ne peuvent investire soit pour monter en gamme soit pour améliorer leur productivité.

L'acheter français est juste une grosse manipulation pour éviter de regarder pourquoi on ne fabrique rien.

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L'effet pervers serait de conforter nos industriels et notre système de distribution commercial dans ses errements. J'habite à côté de l'Allemagne. Pourquoi la plupart des produits, y compris ceux importés de Chine, sont-ils moins chers là-bas que chez nous? Si on n'achète que français rien de changera bien au contraire, car la concurrence n'étant plus là, au bout d'un ou deux ans ce n'est plus 100 à 300 euros qu'on payera en plus mais 200 à 600. La clé ce sont des réformes de structure pour gagner en compétitivité c'est tout.

 

 

Ce qui est complétement faux dans l'energie ou la téléphonie/internet, ou le 100% français est plutot une réussite.

C'est plus une histoire de volonté des industrielles que de compétitivité.

Internet avant Free, c'était 20h par mois à 52€, ou 30€ le forfait de 2h de communication pour portable  >:D

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Ce qui est complétement faux dans l'energie ou la téléphonie/internet, ou le 100% français est plutot une réussite.

C'est plus une histoire de volonté des industrielles que de compétitivité.

Internet avant Free, c'était 20h par mois à 52€, ou 30€ le forfait de 2h de communication pour portable >:D

Là, tu abordes deux choses différentes.

1- La première est l'efficacité économique (je n'aime pas la notion de coût.) au sein d'un pays ou entre deux pays. Deux entreprises soumisent aux même règles feront leur différence sur leur intelligence propre, leur maîtrise qualitative. En revanche, si tu compares deux entreprises chacune d'un pays différent alors l'environnement réglementaire, normatif et fiscal sera déjà une cause d'écart, bien avant de parler de productivité interne à chaque entreprise.

2- La seconde, ton évocation de la baisse des prix, n'a rien à voir avec la qualité d'une entreprise. Elle vient juste de la fin d'une situation presque monopolistique. Sans Free, aucun operateur n'aurait eu intérêt à baisser ses prix car le client est captif. Orange, Free et les autres opérateurs sont soumis aux même environnement économique pour les clients français. Orange ne peut plus faire ses marges face à l'arrivée d'un nouvel acteur sinon il perd ses abonnés.

Modifié par Serge
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C'est vrai que l'on a du mal à percevoir le rebond de croissance dans la vie de tous les jours. On parle de croissance modeste (de 0.5 à 1%) mais est-ce que c'est suffisant pour produire un imapct réel au niveau de la population ?

Modifié par Kiriyama
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Ce que dit Olivier Delamarche depuis longtemps se confirme, les chiffres du PIB chinois sont bidonnés:

Source La Tribune:

Pour de nombreux experts, une perplexité croissante entoure l'annonce d'indicateurs chinois aussi importants que le produit intérieur brut (PIB), alors que se multiplient les écarts entre certaines mesures officielles (les données du commerce extérieur, notamment) et les estimations des experts. En juillet, l'indice PMI (mesurant l'activité manufacturière) publié par le gouvernement chinois montrait même une évolution diamétralement contraire au même indicateur calculé par la banque HSBC. "S'il y avait un indice de suspicion sur les statistiques officielles chinoises, il atteindrait des niveaux records", ironise dans une note Stephen Green, économiste chez Standard Chartered, qui qualifie ses propres calculs de « jeu de devinettes ». Selon son étude, il indique que la croissance économique chinoise était en 2011 et 2012, non pas de +9,3% et +7,8% comme l'indiquaient les chiffres officiels, mais de 7,2% et de 5,5%.

Wikileaks

Le Premier ministre chinois Li Keqiang avait lui-même reconnu il y a quelques années prendre avec des pincettes certains indicateurs officiels. A l'époque à la tête de la province du Liaoning (nord-est), il avait confié en 2007 à l'ambassadeur américain en poste à Pékin que certains chiffres chinois étaient "fabriqués artisanalement" et donc peu dignes de confiance, selon un câble diplomatique publié par Wikileaks. Li avait précisé que lui-même, pour évaluer la véritable santé économique de sa province, se concentrait sur seulement trois chiffres: la consommation d'électricité, le niveau du fret ferroviaire et le volume de crédits émis. "Tous les autres chiffres, en particulier les statistiques sur le PIB, peuvent être seulement consultés à titre informatif", avait-il conclu avec un sourire, selon le mémo diplomatique américain.

Comment fait la Chine pour donner des chiffres avant la France?

"Un des nombreux problèmes en Chine est que les statistiques sont perçues comme recelant en elles-mêmes des connotations politiques", observe Michael Pettis, professeur de finances à l'Université de Pékin. La Chine calcule et publie ses chiffres mensuels et annuels bien plus rapidement que la France, qui est pourtant une économie bien plus petite et dont les statistiques sont réputées de meilleure qualité, a-t-il dit à l'AFP. "Cela amène à se demander comment les Chinois arrivent à être plus rapides que les Français. Cela pose question", note-t-il.

La structure politique en cause

Les experts doutent depuis longtemps de la vraisemblance des chiffres fournis par les cadres locaux, dont la carrière dépend principalement des performances économiques de leur région -ce qui peut les encourager à "embellir" la réalité. Pour Toshiya Tsugami, directeur d'un cabinet de conseil et ancien conseiller économique à l'ambassade japonaise à Pékin, la faute en revient à la structure politique chinoise, qui accorde de larges pouvoirs administratifs à l'échelon local tandis que nominations et promotions dépendent des autorités centrales. "Les dirigeants locaux sont engagés dans une concurrence acérée pour afficher la plus forte croissance du PIB de leur région afin de s'assurer une promotion. Comme ils sont aussi responsables de la publication des statistiques, la tentation est forte de redresser les données", a expliqué Toshiya Tsugami. De fait, la moyenne des taux de croissance publiés par l'ensemble des provinces chinoises est bien supérieure au chiffre national, "ce qui est bien entendu logiquement impossible", souligne Michael Pettis. "On peut donc se dire que le Bureau national des statistiques (BNS) fait un travail plutôt raisonnable dans un environnement très difficile, et que les autorités des statistiques aux niveaux provincial et local font beaucoup moins d'efforts", poursuit-il.

L'économie chinoise suréavaluée?

Dans une étude parue la semaine dernière, Christopher Balding, professeur à la HSBC Business School de l'Université de Pékin, avance que des chiffres biaisés de l'inflation, notamment les prix immobiliers, tendent à surévaluer fortement la taille de l'économie chinoise, devenue la deuxième du monde après les Etats-Unis. "Si l'on réajuste de façon plus conservatrice les prix de l'immobilier (officiels), cela grossit d'environ un point de pourcentage le niveau d'inflation sur un an des prix à la consommation en Chine -ce qui amène à réduire le PIB réel du pays de plus de 1.000 milliards de dollars" (environ 12%), a-t-il détaillé dans un mémoire communiqué à l'AFP.

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C'est vrai que l'on a du mal à percevoir le rebond de croissance dans la vie de tous les jours. On parle de croissance modeste (de 0.5 à 1%) mais est-ce que c'est suffisant pour produire un imapct réel au niveau de la population ?

Les grands agrégats comme le PIB ne servent à rien pour la population. Ce sont des indicateurs bien trop généraux pour permettre aux individus de faire des prévisions. Le PIB n'a que deux utilités: construire le budget en évaluant les recettes à venir et parler de l'économie en général et souvent avec un but politique. Le PIB est pratique car il évite de rentrer dans le détail et peu nombreux sont ceux qui connaissent sa construction.

Seul l'environnement direct compte car l'individu y trouve les informations nécessaires à sa prise de décision. Une évolution dans un sens ou dans un autre du PIB ne rend pas compte de la multiplicité de cas, de situation de toutes les branches de l'économie.

Ainsi, en forte croissance, tu peux toujours trouver des chômeurs en fin de droit. Et pour eux, tu peux leur annoncer ce que tu veux, cela n'aura aucune réalité. De même, en pleine crise, tu vas avoir des foyers qui seront sur des branches en croissance et ils vivront très bien.

Les éléments d'impact sur la population sont beaucoup plus du domaine de l'évolution législative, normative, fiscale. C'est cela qui compte. Ainsi, actuellement il y a de grandes inconnues fiscales sur les plus values de cession mobiliaire. Cela change toutes les semaines. Aussi, aucun des acteurs intéressés ne peut faire ici de prévision. Conclusion, tous les projets sont à l'arrêt car le risque est trop grand.

Autre chose qui va bientôt faire parler : le dernier tiers de l'impôt sur le revenu qui arrive. La fiscalité a changé en 2013 et l'effet sur les ménages sera connu seulement maintenant. Tout ceux qui vont avoir une hausse de leurs prélèvements vont freiner leurs dépenses. Beaucoup n'ont pas fait de calculs et n'ont pas prévu cette hausse.

Ce sont toutes ces choses là qui comptent autrement plus. C'est pour cela que de nombreuses réformes structurels sont réclamées. Ce sont elles et elles seuls qui peuvent mettre en mouvement tous les acteurs.

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tsss tsss

 

PIB, les chiffres de l’économie chinoise sont-ils tronqués?

 

http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20130815trib000780442/pib-les-chiffres-de-leconomie-chinoise-sont-ils-tronques.html

 

 

 
De nombreux experts remettent en cause la fiabilité des indicateurs économiques chinois.

Wikileaks

Le Premier ministre chinois Li Keqiang avait lui-même reconnu il y a quelques années prendre avec des pincettes certains indicateurs officiels. A l'époque à la tête de la province du Liaoning (nord-est), il avait confié en 2007 à l'ambassadeur américain en poste à Pékin que certains chiffres chinois étaient "fabriqués artisanalement" et donc peu dignes de confiance, selon un câble diplomatique publié par Wikileaks. Li avait précisé que lui-même, pour évaluer la véritable santé économique de sa province, se concentrait sur seulement trois chiffres: la consommation d'électricité, le niveau du fret ferroviaire et le volume de crédits émis. "Tous les autres chiffres, en particulier les statistiques sur le PIB, peuvent être seulement consultés à titre informatif", avait-il conclu avec un sourire, selon le mémo diplomatique américain.

Comment fait la Chine pour donner des chiffres avant la France?

"Un des nombreux problèmes en Chine est que les statistiques sont perçues comme recelant en elles-mêmes des connotations politiques", observe Michael Pettis, professeur de finances à l'Université de Pékin. La Chine calcule et publie ses chiffres mensuels et annuels bien plus rapidement que la France, qui est pourtant une économie bien plus petite et dont les statistiques sont réputées de meilleure qualité, a-t-il dit à l'AFP. "Cela amène à se demander comment les Chinois arrivent à être plus rapides que les Français. Cela pose question", note-t-il.

La structure politique en cause

Les experts doutent depuis longtemps de la vraisemblance des chiffres fournis par les cadres locaux, dont la carrière dépend principalement des performances économiques de leur région -ce qui peut les encourager à "embellir" la réalité. Pour Toshiya Tsugami, directeur d'un cabinet de conseil et ancien conseiller économique à l'ambassade japonaise à Pékin, la faute en revient à la structure politique chinoise, qui accorde de larges pouvoirs administratifs à l'échelon local tandis que nominations et promotions dépendent des autorités centrales. "Les dirigeants locaux sont engagés dans une concurrence acérée pour afficher la plus forte croissance du PIB de leur région afin de s'assurer une promotion. Comme ils sont aussi responsables de la publication des statistiques, la tentation est forte de redresser les données", a expliqué Toshiya Tsugami. De fait, la moyenne des taux de croissance publiés par l'ensemble des provinces chinoises est bien supérieure au chiffre national, "ce qui est bien entendu logiquement impossible", souligne Michael Pettis. "On peut donc se dire que le Bureau national des statistiques (BNS) fait un travail plutôt raisonnable dans un environnement très difficile, et que les autorités des statistiques aux niveaux provincial et local font beaucoup moins d'efforts", poursuit-il.

L'économie chinoise suréavaluée?

Dans une étude parue la semaine dernière, Christopher Balding, professeur à la HSBC Business School de l'Université de Pékin, avance que des chiffres biaisés de l'inflation, notamment les prix immobiliers, tendent à surévaluer fortement la taille de l'économie chinoise, devenue la deuxième du monde après les Etats-Unis. "Si l'on réajuste de façon plus conservatrice les prix de l'immobilier (officiels), cela grossit d'environ un point de pourcentage le niveau d'inflation sur un an des prix à la consommation en Chine -ce qui amène à réduire le PIB réel du pays de plus de 1.000 milliards de dollars" (environ 12%), a-t-il détaillé dans un mémoire communiqué à l'AFP.

 

 

 

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C'est en HS mais Air France/KLM qui sont de bon rapport qualité prix sur les long courriers et on leurs avions remplis trouve le moyen d'être en déficit...

Pour cette histoire de crédit "fait main", cela peut marchè en France ? J'en connaît beaucoup que cela interresse ;)

Modifié par collectionneur
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Tu oublies que s'ils dépensaient 100 à 300€ de plus sur l'achat de biens français, cela ferait une contraction de 100 à 300€ sur les services français. Donc, ce serait un masacre. 100€, c'est pour un smicard. Personne ne peut se permettre 1200€ de dépense en plus.

Pourtant c'est ce qui se passe partout, Allemagne, USA on les gens sont sponsorisés pour aller bosser, et pour acheter Allemand ou Américain et faire tourner la machine locale.

 

@Jojo si les prix au supermarché sont moins cher en Allemagne c'est la faute a la ménagère allemande ;)

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Les services sont un bien de consommation.

Préférer prendre Air France que des compagnies étrangères ou encore la BNP à HSBC, c'est consommer français ;)

Tu achètes quoi dans une banque? À part placer ton argent, il n'y a pas grand chose à faire. Et si le rendement des produits banquaires n'est pas bon, tu pourra toujours parler d'acheter français.
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Pourtant c'est ce qui se passe partout, Allemagne, USA on les gens sont sponsorisés pour aller bosser, et pour acheter Allemand ou Américain et faire tourner la machine locale.

 

@Jojo si les prix au supermarché sont moins cher en Allemagne c'est la faute a la ménagère allemande ;)

Qu'est-ce qu'elle a la ménagère allemande? Elle ne travaille pas, c'est ça? ::)  J'avais entendu une fois que les commerces allemands sont plus soumis à la concurrence, localement, que les français. Mais j'ignore si c'est l'explication.

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Tu achètes quoi dans une banque? À part placer ton argent, il n'y a pas grand chose à faire. Et si le rendement des produits banquaires n'est pas bon, tu pourra toujours parler d'acheter français.

 

 

Tu achètes un service c'est tout.

Ça fait bosser des employés en France, plus que si c'était une banque étrangère et avec une fiscalité française, pas de dumping etc. ;)

 

 

@Jojo

Je crois que G4lly parle notamment des puissantes associations de consommateurs allemands. En sous entendu, comme quoi la ménagère allemande ne serait pas prête à acheter à n'importe quel prix un produit et donc les commerçants s’adaptent.

Enfin je pense.

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@Jojo

Je crois que G4lly parle notamment des puissantes associations de consommateurs allemands. En sous entendu, comme quoi la ménagère allemande ne serait pas prête à acheter à n'importe quel prix un produit et donc les commerçants s’adaptent.

Enfin je pense.

C'est exactement cela.

 

La ménagère allemande est absolument intraitable sur les prix, elle est prete faire 15 magasins le même jour pour n'y acheter que les produits les plus intéressant, elle compulse les brochure de pub des supermarché pour trouver toutes les bonnes affaires, et mene ses course comme une mission, no fun, pas d'éparpillement sur les tetes de gondole pas moyen de lui refiler un truc qui n'est pas dans la liste.

 

La ménagère allemande est une machine a tirer les prix vers le bas. C'est pas nouveau, et c'est la raison pour laquelle de nombreuse grande enseigne discount sont allemande, que les "marque distributeur" sont très largement développée en Allemagne et que les enseignes thématique - notamment la droguerie, la viande en gros etc. - résistent aux supermarché généralistes en fournissant des bon produit a prix plancher.

 

Je vais souvent faire mes courses en Allemagne et c'est vrai que la différence de prix est impressionnante. La qualité n'est pas forcément la même ... mais l'allemande s'en fout, elle veut des prix et des produit qui rendent le service point.

 

C'est différence de prix était particulièrement évidente sur les automobiles, quand les constructeur souhaitaient s’installer dans un pays a faible niveau de vie. On trouvait les même voiture jusqu’à 30% moins cher qu'en France, au Portugal ou en Pologne.

 

Le souci de ces politique de prix tres aggressive c'est qu'elle ne peuvent pas vraiment être généralisé, en général on compense un marché bradé par un autre marché "pigeon" pour tenir les marges a un niveau tenable. Le marché "pigeon" c'est le marché ou les clients sont les plus paresseux et ne font pas pression a la baisse sur le vendeur.

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