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Crise financière mondiale [info only]


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Le GEAB n°76 (septembre 2013) du LEAP-2020 est disponible.

 

Global Europe Anticipation Bulletin.

 

GEAB N°76 est disponible ! Alerte second semestre 2013 – Crise systémique globale II : seconde déflagration dévastatrice / explosion sociale à l’échelle planétaire.
 

 

Le choc de 2008 a certes été violent, mais la réaction du système, des pays et des banques centrales, par leurs plans de sauvetage d’une ampleur sans précédent, a réussi à en camoufler les pires conséquences : déclassement de l’Occident en général et des États-Unis en particulier, assainissement forcé de l’économie, lourde chute d’un niveau de vie artificiel, chômage de masse, amorce de mouvements sociaux… ont pu être en partie négligés au profit d’espoirs de reprise entretenus par les politiques irresponsables de déversement de liquidités sur les systèmes bancaires et boursiers.

 

Malheureusement, pendant que la planète se dopait, les problèmes globaux n’étaient pas abordés… cinq ans de perdus : la solidité de l’édifice est encore plus faible qu’avant la crise ; la « solution » US orchestrée par la Fed, que tout le monde a laissé faire pour prendre le temps de panser ses propres plaies, a consisté à éteindre avec de l’essence l’incendie qu’ils avaient eux-mêmes allumé. Rien d’étonnant alors que ce soit encore eux, pilier du monde-d’avant refusant de rentrer dans le rang, avec leurs fidèles flotteurs japonais et britannique, qui enflamment à nouveau la situation mondiale.

 

Et cette fois, il ne faudra pas compter sur les pays en faillite pour sauver la situation : ils sont à genoux suite au premier choc de 2008. C’est donc pratiquement une seconde crise mondiale qui s’annonce, provoquée une nouvelle fois par les États-Unis. Cette période de cinq ans n’aura finalement consisté qu’à reculer pour sauter de beaucoup plus haut, ce que nous avions nommé « la crise au carré ».

Plan de l'article complet :
1. Une situation désormais hors de contrôle
2. Une seconde crise US
3. Les impacts du second choc
4. Stratégies des différents acteurs
5. Faillites des institutions internationales
6. Recommandations urgentes

 

 

 

Une situation désormais hors de contrôle :
Les illusions qui aveuglaient encore les derniers optimistes sont en train de se dissiper.
 
Nous avons déjà dressé le sombre bilan de l’économie mondiale dans les GEAB précédents. La situation a encore empiré depuis.
 
L’économie chinoise confirme son ralentissement ainsi que l’Australie, les monnaies des pays émergents dévissent, les taux des obligations remontent, les salaires britanniques continuent de baisser, des émeutes touchent la Turquie et même la tranquille Suède, la zone euro est toujours en récession, les nouvelles qui parviennent à filtrer depuis les États-Unis ne sont pas plus réjouissantes…

La fébrilité est maintenant clairement palpable sur tous les marchés financiers où la question n’est plus de savoir quel va être le prochain record mais de réussir à se dégager assez tôt avant la débandade. Le Nikkei a baissé de plus de 20% en trois semaines et a connu sur cette période 3 séances de pertes supérieures à 5%. La contagion atteint donc désormais les indicateurs « standard » comme les bourses, les taux d’intérêt, le taux de change des monnaies… derniers bastions encore contrôlés par les banques centrales, et donc jusqu’à présent totalement faussés, comme notre équipe l’a expliqué à maintes reprises.
 
Au Japon, cette situation est la conséquence du programme, délirant par son ampleur, d’assouplissement quantitatif entrepris par la banque centrale. La baisse du yen a provoqué une forte inflation sur les produits importés (notamment le pétrole). Les énormes mouvements de la bourse et de la monnaie japonaises déstabilisent toute la finance mondiale. Mais la mise en place du programme de la Banque du Japon est si récente que ses conséquences sont encore bien moins marquées que celles du quantitative easing de la Fed. C’est principalement lui qui est responsable de toutes les bulles actuelles : immobilier aux États-Unis , records des bourses, bulle et déstabilisation des émergents, etc. C’est aussi grâce à lui, ou plutôt à cause de lui, que l’économie virtuelle est repartie de plus belle et que l’apurement nécessaire n’a pas eu lieu. Les mêmes méthodes produisant les mêmes effets, une virtualisation accrue de l’économie nous amène à une seconde crise en 5 ans, dont les États-Unis sont donc à nouveau responsables. Les banques centrales ne pouvaient tenir indéfiniment l’économie mondiale, elles en perdent actuellement le contrôle.

 

 

 

Une seconde crise US :

Si les mois d’avril-mai, à grand renfort de matraquage médiatique, ont semblé donner raison à la méthode US-UK-Japon d’assouplissement monétaire (un bel euphémisme) contre la méthode eurolandaise d’austérité raisonnée, depuis quelques semaines les chantres du tout-finance ont un peu plus de difficulté à clamer victoire. Le FMI, terrifié par les répercussions mondiales du ralentissement économique européen, ne sait plus quoi inventer pour obliger les Européens à continuer à dépenser et à refaire exploser les déficits : même à vide, la boutique-Monde doit continuer de donner l’impression de tourner et l’Europe ne joue pas le jeu.

Mais les effets toxiques des opérations des banques centrales au Japon, aux États-Unis et au Royaume-Uni démolissent désormais l’argumentation (ou plutôt la propagande) vantant le succès de l’ « autre méthode », supposée permettre la reprise japonaise, américaine et britannique (cette dernière n’a d’ailleurs même jamais pu être évoquée).

La seconde crise en développement actuellement aurait pu être évitée si le monde avait acté le fait que les États-Unis, structurellement incapables de se réformer eux-mêmes, ne pouvaient mettre en place d’autres méthodes que celles qui avaient conduit à la crise de 2008. Comme les banques « too big to fail» irresponsables, les pays « systémiques » irresponsables auraient dû être mis sous tutelle dès 2009, comme suggéré dès le GEAB n°28 (octobre 2008). Malheureusement, les institutions de la gouvernance mondiale se sont révélées complètement inopérantes et impuissantes dans la gestion de la crise. Seules les logiques régionales ont pu se mettre en place ; les enceintes internationales ne produisant rien, chacun s’est mis à régler ses problèmes dans son coin.

L’autre réforme primordiale préconisée dès 2009 par l’équipe de LEAP/E2020 portait sur la remise à plat complète du système monétaire international. En 40 ans de déséquilibres commerciaux américains et de variations brutales de son cours, le dollar comme pilier du système monétaire international a été la courroie de transmission de tous les rhumes des États-Unis au reste du monde, et ce pilier déstabilisant est maintenant le cœur du problème mondial car les États-Unis ne souffrent plus d’un rhume mais de la peste bubonique. Faute d’avoir réformé le système monétaire international en 2009, une seconde crise arrive. Avec celle-ci s’ouvre une nouvelle fenêtre d’opportunité pour la réforme du système monétaire international au G20 de septembre et on en vient presque à espérer que le choc intervienne d’ici-là pour forcer un accord à ce sujet, sinon le sommet risque d’arriver trop tôt pour emporter l’adhésion de tous.

 

 

Modifié par Perry
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Les cycles économiques majeurs prennent beaucoup de temps à se développer et, si nous sommes maintenant au début d’un ralentissement important de l’économie mondiale, les gens qui vivent aujourd’hui ne connaîtront que le tout début de cette baisse.

 

Ca veut dire que de mon vivant je ne connaîtrai pas la reprise de l'économie ? Je ne connaîtrai que cette crise ? ???

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Sauf que si ces gens viennent en Allemagne et ne repartent pas, c'est qu'ils y trouvent un avantage.

Les fameux logements... Qu'ils en prennent un à leur compte. Personne ne les en empêche. Sauf que ce n'est pas le même tartif.

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Il n'y a pas vraiment de contrôle de ce genre. En revanche, il y a toute une série de différences réglementaires avec la France mais aussi un cas historique spécifique.

Pour le cas historique, la capitale est abordable car de nombreux terrains libres ont été rendus disponibles avec la réunification.

Pour le règlement, il y a des dispositions comme la possibilité pour un entrepreneur de lancer une construction avant la fin du bouclage financier. En France, c'est interdit. Cette différence fait que le promoteur consent des rabais avec le rapprochement de la date de paiement des entreprises et corps du BTP. C'est une pression à la baisse.

Tu as le fait que les allemands sont généralement des locataires. Il faudrait faire un travail de recherche ici si les pouvoirs publique incitent ou non à la propriété privée.

Certains achats se font hors TVA. Ce n'est pas le cas en France.

Il faudrait voir également le cas des terrains qui sont réputés inconstructibles en France tant que le contraire n'a pas été démontré. C'est la cause première des problèmes français. Passer à une réputation de construisit augmenterait l'offre du marché.

Il faut évoquer la pression à la hausse qu'exercent les aides au logement et la politique de taux de HLM. Dans ce dernier cas, il faut citer la ville de Paris qui ne construit pas de HLM mais achette une partie du parc locatif privé pour le déclasser. Cela réduit d'autant l'offre et crée une hausse des loyers.

Il faudrait enfin étudier la fiscalité, les droits notariés, qui forment une cause de création de la pénurie française.

Modifié par Serge
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Au fait pourquoi en Allemagne le prix des logements n'a pas explosé comme en France ?

 

Pour en revenir à ma question, c'est bien ça ? Notre génération ne connaîtra que la crise ? Il faudra une génération pour changer de cycle économique ?

 

Il faut parler des causes démographiques. La natalité y est plus faible depuis longtemps donc il y'a de moins en moins de jeunes actifs qui arrivent  sur le marché chaque année et de plus l'immigration ne suffit pas à le compenser.  Le marché immobilier est donc beaucoup moins tendu.

Pour ta question il faudrait d'abord définir ce qu'est la crise parce même avant la crise financière on parlait deja de crise. Moins souvent bien sur mais à 2% de croissance on se plaignait deja du manque de croissance et du fameux "point de croissance" qui manque :lol: . On peut parler de croissance insuffisante et de chômage massif mais là on y est depuis les années 80.

Il nous faudrait peut être une crise comparable a celles de la Russie en 1998 ou l'Argentine en 2000 ou une large part de la population se retrouve bloqué dans sa vie quotidienne pour renverser l'ordre établi et remettre en cause toutes les grandes orientations prises depuis 30 voire 40 ans.

Modifié par MontGros
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@ Kiriyama

 

Je me souviens plus exactement des détails de la discussion mais je me souviens qu'il y une sorte de principe accepté par tous ou les loyers ne peuvent pas dépasser un certain pourcentage d'augmentation sur 5 ans, d'une part, et d'autre part, ne doivent pas dépasser non plus un certain sieul du prix moyen du quartier. En plus, il y a semble-il aussi une réticence des banques allemandes pour les crédits immobilier.

 

Je n'ai aucune idée des chiffres et autre détails entourant le marché de l'immobilier en Allemagne, je peux pas vous répondre si cela est possible à transposer en France ou en Belgique.

 

 

Edit:

En faisant des recherches sur le net j'ai trouvé ces articles:

http://lexpansion.lexpress.fr/immobilier/comment-l-allemagne-empeche-les-prix-de-l-immobilier-de-flamber_249642.html

http://www.franceinfo.fr/economie/logement-comment-l-allemagne-evite-la-bulle-immobiliere-926499-2013-03-21

Modifié par Rochambeau
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@ Kiriyama

Je me souviens plus exactement des détails de la discussion mais je me souviens qu'il y une sorte de principe accepté par tous ou les loyers ne peuvent pas dépasser un certain pourcentage d'augmentation sur 5 ans, d'une part, et d'autre part, ne doivent pas dépasser non plus un certain sieul du prix moyen du quartier. En plus, il y a semble-il aussi une réticence des banques allemandes pour les crédits immobilier.

En effet, tu as ce genre de mécanisme où le demandeur peut de porter devant un tribunal qui fixera le prix. Les lois DUFLOT s'en inspirent avec une différence de taille. La différence tarifaire par rapport à la moyenne du quartier doit être de 20% pour déclencher la procédure. En d'autre terme, l'écart est tellement grand que les tribunaux ne sont pas débordés. Avec ALUR, il en sera tout autrement.

PS : J'oubliais un point de détail qui n'en ai pas un. En Allemagne, un locataire qui ne paie pas est viré en deux mois. L'obligation de relogement n'existe pas. En France, non.

Modifié par Serge
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Ca veut dire que de mon vivant je ne connaîtrai pas la reprise de l'économie ? Je ne connaîtrai que cette crise ? ???

À propos des articles français sur l'Allemagne :

https://www.contrepoints.org/2013/09/22/139955-les-elections-en-allemagne-vues-presse-francaise

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Sauf que si ces gens viennent en Allemagne et ne repartent pas, c'est qu'ils y trouvent un avantage.

Les fameux logements... Qu'ils en prennent un à leur compte. Personne ne les en empêche. Sauf que ce n'est pas le même tartif.

 

 

Oui comme ceux qui sur nos campus fouillent les poubelles des résidences étudiantes du Crous (pas bien riche déjà un étudient, alors ses poubelles... oh moins y a de la canette de bière à revendre à 0.20 centime le kilo), s'ils ne repartent pas chez eux, c'est qu'ils y trouvent un avantage <_<

Modifié par Drakene
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Tu as tout compris. Tout individu va et reste là où il s'enrichi.

 

 

Certes, j'imagine bien que s'il font ça chez nous et ne rentrent pas chez eux, c'est forcément qu'ils sont mieux ici.

 

Seulement lorsqu'ils sont employés dans la 4éme puissance économique du monde, on peut espérer mieux de leur part que de faire bosser les pauvres, des pays pauvres de l'UE, pour continuer à amasser de la thune.

S'y veulent jouer à ce petit jeux y nous reste plus qu'a ouvrir les frontières vers nos anciennes colonies d’Afrique subsaharienne, utiliser les salaires et code du travail de ces pays pour les immigrés fraichement débarqués et même les chinois l'auront dans l'cul avec leur tee-shirt à 1€ alors que nous on produira les notre à 0.25 centimes -_-

 

...

 

Je crois que je viens d'avoir une p****n d'idée de programme politique pour relancer l'économie dans notre pays ! :lol:

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@ Kiriyama,

Un membre du forum nous avait expliqué qu'en Allemagne que le prix des logements étaient "contrôlé" localement par les associations de consommateur et les agences immobilières.

http://www.alternatives-economiques.fr/peut-on-encadrer-les-loyers-a-l-allemande_fr_art_1147_58760.html

Il y a plein d'autres facteurs qui explique les prix bas. Le principal c'est la démographie. Le second c'est qu'avoir une résidence secondaire est très très mal vu, et donc qu'il y a très peu de logement indisponible contrairement à la France ou il y a énormément de logement vacant...

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Certes, j'imagine bien que s'il font ça chez nous et ne rentrent pas chez eux, c'est forcément qu'ils sont mieux ici.

 

Seulement lorsqu'ils sont employés dans la 4éme puissance économique du monde, on peut espérer mieux de leur part que de faire bosser les pauvres, des pays pauvres de l'UE, pour continuer à amasser de la thune.

On emploie une personne au regard de ce qu'elle est capable de produire. Et on la paie au regard de sa productivité. Les roumains peuvent toujours postuler à un poste de physicien nucléaire. Rien ne les en empêche.

Ensuite, comme le montre l'article, ces boîtes ne doivent pas faire beaucoup de bénéfice car elles sont obligées de baisser le salaire de leurs employés et font faillites.

S'y veulent jouer à ce petit jeux y nous reste plus qu'a ouvrir les frontières vers nos anciennes colonies d’Afrique subsaharienne, utiliser les salaires et code du travail de ces pays pour les immigrés fraichement débarqués et même les chinois l'auront dans l'cul avec leur tee-shirt à 1€ alors que nous on produira les notre à 0.25 centimes -_-

C'est ce que nous faisons en France depuis 1974 et cela limite la progression des salaires français.

Pour que les salaires augmentent, il fait une chute de la demande d'emploi. Ça marche très bien. C'est ce qui s'est passé chez Ford. Ses conditions de travail étaient tellement déplorables que les employés ne restaient pas longtemps. Aussi, Ford perdait énormément d'argent en formation du personnel et ses chaînes d'assemblage étaient à l'arrêt très souvent avec le départ dans la journée d'employés. Résultat, il a augmenté ses salaires et cela a changé. Le mythe de la politique salariale d'accès à l'automobile pour ses employés, c'est du flan. Un bon gros mythe keynésien.

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J'oubliais un point de détail qui n'en ai pas un. En Allemagne, un locataire qui ne paie pas est viré en deux mois. L'obligation de relogement n'existe pas. En France, non.

 

Ca me fait penser à un reportage où on expliquait l'histoire de quelqu'un qui avait acheté une maison. Le problème c'est que le couple de propriétaires qui vivaient dans la maison ne voulait pas la quitter... alors qu'elle était vendue ! L'acheteur a dû attendre cinq ans (!) avant de pouvoir rentrer dans sa maison. Entretemps il a dû se débrouiller pour vivoter à gauche et à droite avec ses deux filles. Il a aussi dû dépenser une fortune en frais de justice pour enfin faire expulser ceux qui occupaient son logement illégalement.

 

C'était insensé ! Ca genre de truc ça devrait être résolu en une semaine.

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Ca me fait penser à un reportage où on expliquait l'histoire de quelqu'un qui avait acheté une maison. Le problème c'est que le couple de propriétaires qui vivaient dans la maison ne voulait pas la quitter... alors qu'elle était vendue ! L'acheteur a dû attendre cinq ans (!) avant de pouvoir rentrer dans sa maison. Entretemps il a dû se débrouiller pour vivoter à gauche et à droite avec ses deux filles. Il a aussi dû dépenser une fortune en frais de justice pour enfin faire expulser ceux qui occupaient son logement illégalement.

 

C'était insensé ! Ca genre de truc ça devrait être résolu en une semaine.

 

Il faut se méfié de ce genre de "cas" si les baux cours encore le repreneur de la maison ne peut pas mettre dehors le locataire par l'opération du saint esprit, le contrat initial avec l'ancien proprio court toujours. Il n'y a qu'a la fin du contrat qu'on peut donner conger. Il y a des excetption comme la reprise des lieu par l'acheteur, mais elles meme ont des exceptions.

 

En gros il est sage de ne pas acheter un logement occupé, sauf si on compte le garder en location. On hérite des baux courant avec le bien, d'ailleurs dans ce cas la valeur du bien occupé est souvent nettement inférieur a sa valeur s'il eut été vide.

 

Vouloir reprendre un bien occupé parce qu'il est moins cher, et apres gueuler parce qu'il est occupé c'est surtout de la mauvaise foi.

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Ceux qui refusaient de quitter la maison étaient propriétaires je crois. Mais en tout cas légalement ils devaient quitter la maison lorsque la personne l'a rachetée mais ils ont fait obstruction.

 

Ils avaient même réussi à obtenir un logement social en plus de leur maison.

Modifié par Kiriyama
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<on va peut etre arrêter avec les HS surtout genre "on dit", "j'ai vu à la télé" et je "rapporte des rumeurs". La lecture des 2 dernières pages m'ayant fait bondir (quel est le ***** qui a fait un gros troll sur la IIIe GM ?). Accessoirement Kiriyama c'est toi qui entretient les HS; Si tu as des questions à poser y'a aussi les MPs>

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Pour sauver le système en faillite, les idéologues FRANCAIS ne manquent pas d'idées.

 

Proposition du Conseil d'analyse économique (CAE) : imposer des loyers fictifs aux propriétaires.

 

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130918trib000785790/imposition-des-loyers-fictifs-mais-ou-va-t-on-.html

 

Modifié par debonneguerre
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Menace sur la dette US

Cette dette ne cesse d'augmenter et elle a atteint le plafond renégocié en 2011.

Vu que Bernanke a déclaré que la FED continuerait à racheter de nouvelles obligations d'état.

L'hypothèse fantasmée ou pas d'un blocage revient sur la table.

Extraits :

 

http://fr.reuters.com/article/businessNews/idFRPAE98O01Y20130925

"Les conditions d'un accord sont en train de se raréfier", estime Tony Fratto, un porte-parole de la Maison blanche durant la présidence de George W. Bush qui travaille aujourd'hui pour le cabinet de conseil Hamilton Place Strategies. "Les seuls choix qui restent sont difficiles."

 

 

PENSER L'IMPENSABLE

Jack Lew a raison de se dire anxieux, estime Steve Bell, analyste du Bipartisan Policy Center, qui prédit que l'Etat fédéral sera incapable de rembourser ses échéances entre le 18 octobre et le 5 novembre.

Ce républicain, ancien directeur de cabinet de la commission budgétaire du Sénat, ajoute qu'il n'a pas été aussi préoccupé par la perspective d'un défaut sur la dette depuis 40 ans.

PENSER L'IMPENSABLE

Un tel défaut ne manquerait pas d'ébranler la confiance et de faire remonter en flèche les coûts du crédit, au risque de faire plonger la première économie mondiale dans une nouvelle crise.

 

Avant le dernier relèvement en date du plafond de la dette, en 2011, Washington avait frôlé le défaut et cette situation est l'un des éléments qui avaient conduit cette année-là l'agence Standard & Poor's à priver les Etats-Unis de la note suprême "triple A".

 

"Le simple fait qu'il y ait une incertitude est en soi un nouvel élément, et il est effrayant", dit Alice Rivlin, ancienne présidente du Congressional Budget Office (CBO), un organe de surveillance budgétaire du Congrès.

Le risque d'un défaut n'a jamais été aussi élevé, ajoute cette ex-membre de l'administration Clinton.

"Il y a quelques années, on aurait dit : 'ne soyez pas stupides, bien sûr que le plafond de la dette sera relevé'. Mais plus personne ne peut affirmer cela aujourd'hui."

Modifié par debonneguerre
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Pour sauver le système en faillite, les idéologues FRANCAIS ne manquent pas d'idées.

 

Proposition du Conseil d'analyse économique (CAE) : imposer des loyers fictifs aux propriétaires.

 

http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130918trib000785790/imposition-des-loyers-fictifs-mais-ou-va-t-on-.html

 

 

Je sais que ce ne sont que des informations qui peuvent être communiquées ici mais justement j'en cherche une : la logique de l'idée. Le propriétaire paie déjà un impôt cadastral et, s'il n'est pas propriétaire de son bien depuis 20-30 ans, les remboursements de son prêt à la banque donc où se situe l'injustice financière/fiscale ?

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