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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre
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Suffit de demander a ton préteur le prix a payer pour l'option assurance emprunteur, cette assurance est vendu en option sur presque tous les contrats. Le GROOOOOOOOOOOOOOS  souci c'est que ces une prime d'assurance et qu'il est interdit de s'assurer a crédit, donc il faut payer cette prime des le début du crédit alors que l'étudiant n'a pas beaucoup de revenu... ca impose donc de suremprunter pour compenser.

 

Et comme tu le souligne le risque invalidité deces et vécu comme faiblement occurent donc l'espérance est mesuré comme faible d'autant que les montant des crédits sont pas pharaonique.

 

"Malheureusement" comme peut de gens souscrive a ce risque il reste mutualisé, soit par des personne aisé, soit par des personnes a risques ... donc cher.

[...]

Pour un étudiant il faut compter un cout annuel de 0.2% du capital garantie.

 

Oui !

 

D'où l'intérêt de rendre ces dispositifs obligatoires : c'est aussi juste puisqu'en pratique une bonne partie de la mortalité est liée à des accidents, et surtout ça coutera beaucoup moins cher... Ah ça n'est pas très libéral, tout ça : on s'en fiche en fait :-)

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Ce n'est quand meme pas clair-clair ni significatif, si ?

 

dsg587_500_350.jpg

Je me suis mal exrpimé : il y' a une surmortalité de la tranche 15-24-29 non justifiée par la santé (comme peut l'etre la mortalité des tranches plus tardives).

En gros on meut moins souvent en général mais plus souvent violemment/par accident alors qu'on ne devrait pas mourir.

Surtout chez les hommes

 

http://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/mortalite-cause-deces/taux-mortalite-sexe-age/

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  • 3 weeks later...

Pour tous ceux qui applaudissent les taux bas artificiels des banques centrales, voici une petite mise en garde :

http://www.tradingsat.com/axa-FR0000120628/actualites/axa-le-fmi-s-inquiete-pour-certaines-compagnies-d-assurance-vie-592981.html

 

C'est comme les prets étudiants aux USA, le système bancaire chinois ou les marchés dérivés : ça dégage une grosse odeur de pourri... D'aucuns nous parleront aussi du niveau de valorisation des actions, mais les PER restent supérieurs au rendement des obligations d'état quand meme.

 

En revanche, l'idée que les taux d'intéret soient artificellement bas et surtout à cause des banques centrales me laisse toujours assez froid. Quels seraient vu de toi les taux "naturels" actuellement ? Et est-ce que tu les définis comme des taux d'équilibre entre offre et demande ou comme taux souhaitables ?

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Concrètement, les assureurs placent une grande partie de l’épargne en achetant des obligations d’Etat émises par des pays plus sûrs, comme la France et l’Allemagne, mais qui sont moins rémunératrices.

 

Si c'était vrai les fond "euros" ne servirait pas du 4% ...

 

Les fonds "actifs généraux" contiennent certes autour de 70% d'obligations "sûres", mais ce n'est pas que des obligation d'état a 1% ... il y a aussi des obligations d'entreprises parfois fort rémunératrice et relativement risqué , des obligations pas du tout triple A etc. Le reste au delà de 70% c'est un peu de tout qui sert a doper le fond pour lui faire atteindre les rendement "vendu", avec des actions forcément - souvent autour de 10% -, des obligations plus rémunératrices etc.

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Sinon, l'effet de la baisse de l'euro commence à produire ses effets :

http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2015/04/16/01007-20150416ARTFIG00322-teles-pc-smartphones-et-tablettes-les-prix-flambent-de-15.php

Ce n'est que le début.

C'étais a prévoir si ce genre de produit, a l'inverse dans d'autre cas une relocalisation de la production commence a faire son chemin si la situation devait perdure. J'ai plusieurs cas autours de moi d'entreprises qui avaient délocalisées leur prod' aux US et qui commencent a envisager très sérieusement de revenir en France/zone euro pour palier la baisse de l'euro. 

Modifié par Tonton Flingueur
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Tout changement dans les équilibres, qu'il soit provoqué artificiellement ou naturel entraîne des transformations.

 

Ca on le savait, c'est le prix à payer pour être compétitif.  Ce qui est drôle c'est que beaucoup de ceux qui refusaient de travailler sur le coût du travail en présentant l'euro fort comme le véritable problème ne comprenait même pas qu'une dévaluation monétaire aurait un effet aussi, voir plus puissant, de baisse pour le pouvoir d'achat qu'un plan d'austérité salarial. 

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Ca on le savait, c'est le prix à payer pour être compétitif.  Ce qui est drôle c'est que beaucoup de ceux qui refusaient de travailler sur le coût du travail en présentant l'euro fort comme le véritable problème ne comprenait même pas qu'une dévaluation monétaire aurait un effet aussi, voir plus puissant, de baisse pour le pouvoir d'achat qu'un plan d'austérité salarial. 

 

C'est ton affirmation. Car ça reste à prouver.

J'ai une pensée pour ceux qui fustigeaient les anti euro en prétendant que le prix des carburants allait exploser si l'euro baissait. Et la il a quand même baissé de plus de 20% en un an.

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Non ce n'est pas mon affirmation, c'est une règle simple du taux de change. Quand une monnaie baisse, ses exportations coutent moins cher dans les autres monnaies, mais le revers de la monnaie c'est que les importations coutent plus cher. Tu peux ouvrir le moindre bouquin d'économie et tu trouveras l'explication. http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9valuation

 

 

 

Effets de la dévaluation[modifier | modifier le code]

La dévaluation vise à augmenter la compétitivité économique, en rétablissant un équilibre, par une correction du déséquilibre étant apparu (déficit commercial). Les effets prévisibles sont de deux natures :

  • Dans un premier temps, la baisse de la valeur de la monnaie nationale fait augmenter le prix et la valeur des importations, effectuées dans d'autres monnaies. Cet « effet prix » dégrade la balance commerciale. Le pétrole, importé en dollars, y pèsera par exemple plus lourd. Les dernières dévaluations du franc ont eu lieu juste après le choc pétrolier du début des années 1980, qui avait mis le feu au système monétaire européen ;
  • À moyen terme, c'est l'« effet volume », qui joue : la baisse des prix des produits exportés par le pays permet d'augmenter les quantités vendues à l'étranger, tandis que la hausse du prix des importations incite à importer moins de produits de l'étranger, sauf s'il s'agit de consommations difficiles à diminuer, par exemple les matières premières stratégiques (uranium, etc.).

Ces effets contradictoires sont résumés dans la courbe en J : la dévaluation cause d'abord une brève dégradation de la balance commerciale (effet prix, dans la partie gauche du J), avant de permettre une amélioration d'une plus grande ampleur (effet volume, dans la partie droite du J).

Sur le plan financier, la dévaluation pénalise les investisseurs étrangers qui détiennent des emprunts publics et des actions. Historiquement, ils s'en sont toujours méfiés.

Quant au carburant, tu n'aurais juste pas oublié de dire que le baril est juste passé à 50$ au niveau mondial en même temps pour des raisons complètement extérieur ? D'ailleurs si la baisse du baril à permis d'éviter de voir le prix pétrole monter en Europe, la baisse de l'euro a aussi un peu lissé l'effet de la baisse du baril.

Modifié par Dino
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Je sais ça merci. Ton affirmation était que la dévaluation a un effet au moins aussi puissant sur le pouvoir d'achat que l’austérité.

Sauf que la dévaluation touche différemment les produits importés et les produits de la zone euro. J'ai envie de dire que généralement son effet est moins douloureux.

Avec le pétrole on voit quand même que la monnaie n'a qu'une importance secondaire comparé à l’évolution du prix du brut.

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Avec le pétrole on voit quand même que la monnaie n'a qu'une importance secondaire comparé à l’évolution du prix du brut.

Ouai enfin une évolution aussi brutal du brut ça ne se voit pas tous les jours. La plus part du temps les évolutions du brut sont bien moins important et donc la fluctuation de la monnaie à bien plus d'importance.

 

 

 

Sauf que la dévaluation touche différemment les produits importés et les produits de la zone euro. J'ai envie de dire que généralement son effet est moins douloureux.

 

Sauf qu'un produit 100% local ça n'existe pas. La plus part des produits sont composés d'éléments importés (matière première, composants), où utilisent des outils qui eux même ont été importés où fabriqués avec des éléments importés. Donc à la fin c'est tout le prix de la vie qui augmente, même si en effet les produits plus locaux prendront un avantages sur les produits 100% étrangers. Et il y à aussides secteurs qui sont en presque en totalité fabriqué hors UE, et dont la population est sacrément accro, particulièrement la classe moyenne: les produits high tech, et là une augmentation des prix peut vite devenir douloureuse.

Cela ne veut pas dire que la baisse de l'euro est une mauvaise chose, mais que ça à un coût contrairement à ce que certains présentaient comme la solution miracle qui suffisait à elle seul, c'est tout.

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et dont la population est sacrément accro, particulièrement la classe moyenne: les produits high tech, et là une augmentation des prix peut vite devenir douloureuse.

Cela ne veut pas dire que la baisse de l'euro est une mauvaise chose, mais que ça à un coût contrairement à ce que certains présentaient comme la solution miracle qui suffisait à elle seul, c'est tout.

J'ai du mal a comprendre quel est le probleme.

 

Soit tu baisse le salaire des gens ... et donc peut etre les prix des production communautaire - sauf que comme tu le dis le prix en question est plein de prix d'ailleurs et donc baissera pas ou peu -

 

Soit - inflation via monnaie - tu augmentes les prix de ce qu'ils achètent hors UE - un peu moins ce qu'il achète qui viennent de l'Ue notament ce qui intégre beaucoup de salaire -, et la tout naturellement tu baisse immédiatement les prix de ce qui est produit en UE tant que l'inflation ne se transmet pas dans la production.

 

Pour le pouvoir d'achat des travailleur c'est bonnet blanc et blanc bonnet ...

 

Coté efficacité la seconde solution est infiniment plus immédiate et douce que la première! Non seulement a l'export les prix baisse visiblement et immédiatement - même si ça n'a qu'un tant le signal prix est clair et net -. Mais en plus tu privilégie les production communautaire notamment celle intégrant beaucoup de cout de main d’œuvre. Et tout ça sans aucun cout politique!

 

Que le prix des smartphone et des grande télé augmente ça intéresse qui sérieusement?! Le problème des français c'est le logement et le transport pas le prix des télés!!!

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Dans le fond, je pense aussi que c'est une meilleur solution qu'une dévaluation salarial pure. Ce que je tenais à soulever, c'était qu'une telle mesure, contrairement à ce que prétendaient les anti-austérités, n'est pas sans douleur pour la population. La dévaluation monétaire à ce coté insidieux de faire de l'austérité sans le dire, mais elle tape autant au porte monnaie.

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  • 3 weeks later...

La dévaluation monétaire ou la baisse des salaires sont la même chose.

L'unique différence est que dans un cas la cause de la paupérisation est visible. Dans l'autre, non.

Sinon, cette semaine, une interview intéressante :

http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/bruxelles-releve-a-11percent-sa-prevision-de-croissance-pour-la-france-en-2015-23-0505-518279.html

Et pour la seconde partie :

http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/quels-sont-les-enjeux-des-elections-legislatives-au-royaume-uni-33-0505-518284.html

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J'ai du mal a comprendre quel est le probleme.

Coté efficacité la seconde solution est infiniment plus immédiate et douce que la première! Non seulement a l'export les prix baisse visiblement et immédiatement - même si ça n'a qu'un tant le signal prix est clair et net -. Mais en plus tu privilégie les production communautaire notamment celle intégrant beaucoup de cout de main d’œuvre. Et tout ça sans aucun cout politique!

Car en cas de baisse des salaires, le prix à l'export ne baisserait pas ?

La vitesse de propagation est la même car les couvertures de changes freinent la concrétisation de la dévaluation.

Dans les deux cas, c'est une catastrophe car il y a arret du processus d'amélioration de la production des biens et services exportables. En effet, ceux qui prônent la dévaluation prônent des comportement de prédation des parts de la croissance des autres pays. Ils n'incitent pas à la croissance du pays. Au long terme, c'est le décrochage assuré. Comme la France.

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Car en cas de baisse des salaires, le prix à l'export ne baisserait pas ?

La vitesse de propagation est la même car les couvertures de changes freinent la concrétisation de la dévaluation.

Dans les deux cas, c'est une catastrophe car il y a arret du processus d'amélioration de la production des biens et services exportables. En effet, ceux qui prônent la dévaluation prônent des comportement de prédation des parts de la croissance des autres pays. Ils n'incitent pas à la croissance du pays. Au long terme, c'est le décrochage assuré. Comme la France.

 

Donnes le choix à un patron entre négocier des baisses de salaires ou licencier : il licenciera les mauvais, ou alors les bons partiront.

Comment baisses-tu les salaires ? Par quels mécanismes ? Par décret ?

 

Les salaires, c'est rigide à la baisse.

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Donnes le choix à un patron entre négocier des baisses de salaires ou licencier : il licenciera les mauvais, ou alors les bons partiront.

Comment baisses-tu les salaires ? Par quels mécanismes ? Par décret ?

 

Les salaires, c'est rigide à la baisse.

 

En Espagne, les salaires ont baissé d'environ 30% (peut-être plus si l'on raisonne en salaire global, net, brut, indirect) par divers mécanismes, du licencié réembauche moins cher ou transformé en "autonome" (non salarié) temps partiel,  accords d'entreprise (automobile, par exemple) même les fonctionnaires y sont passés, suppression du 13e et 14é mois, blocage,  primes etc... 

On peut observer un phénomène parallèle avec le prix de l'immobilier , dégringolade des prix 30% en moyenne, beaucoup plus en certains endroits (et encore ils ont tout fait pour pas que le capital soit totalement dévalorisé...) 

Techniquement on appelle ça la déflation compétitive...

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