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Les énormités et clichés du cinéma et séries télévisées


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   Protectionisme ? A t'on avis le succès et le cout faramineux (pour des revenus faramineux, les bénèfs des salles & dvd ont été énormes)  de la Saga de Peter Jackson avec le seigneur des anneaux, c'est du protectionisme le fait que le casting soit mi américain mi comonwealth ? Ou tout simplement qu'un film d'une telle ampleur vient avant tout d'un savoir faire qu'on ne possède  pas et qu'on ne possèdera jamais en France du fait d'un volontarisme execrable mais aussi d'un gaspillage inouie d'argent dans des productions complêtement nazes qui auront moins de 30 000 spectateurs au cinéma et je n'ose pas penser a l'édition DVD ...

 

 

Ne pas oublier plusieurs choses.

 

-Le SdA est une licence particulière.

-Le savoir faire s'est développé comment d'après toi ? par hasard ? Il y a à la BBC un excellent business model c'est clair et on peut critiquer le modèle français (qui repose en gros sur Gaumont, Besson et les subventions. Mais les talents se développent autour de deux choses principalement : la capacité des acteurs anglais à passer du théâtre au cinéma, ils mangent généralement aux deux râteliers (Londres et NY - très grosse place - pour le théâtre) et les quotas britanniques qui permettent aussi de soutenir des productions d'un type particulier à destination interne (les USA sont champions en la matière avec leurs chaînes spécialisées sci-fi, western, fantasy, "action" -genre Drive-, jurassique -ben oui, Jurassic Park en en sortait des tas à l'époque, tous plus débiles les uns que les autres). L'UK par rapport aux années 50-60 a simplement sauvé les meubles faut pas l'oublier. À l'époque c'était eux les têtes d'affiche aux USA.

-Ils jouent aussi avec l'anglais, première langue mondiale et langue internationale. Cela fait un avantage de plus que les français n'ont pas. Sauf à développer la francophonie mais va exporter un film franco-français en Afrique. Cela risque d'être un peu plus difficile. Un film américain en Europe sera culturellement plus proche et renverra à des réalités, des quotidiens plus proches aussi.

Modifié par Chronos
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Tancrède : aux US c'est le Syndicat qui impose à la prod le nombre de techniciens et autre ;) 9 pour la lumière, 4 pour le sond, etc... c'est eux qui décident. Et si tu fait parler un figurant il devient automatiquement acteur et est payer en conséquence... c'est ce qu'à découvert Cannet en voulant tourner son film au US... DTC :D

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Niveau cliché, il y a aussi  cette fameuse scène du gars qui monte et coure sur le toit d'un train. Selon les expériences de "On n'est pas que des cobaïye" la chose est impossible sur des train électrique et à vapeur car la personne risque soit d'être électrifiée ou gravement brulée par la vapeur. Cependant sur le train à moteur diesel la chose est possible, sauf qu'il faut être arnaché à des câbles pour éviter de tomber à cause de l'étroitesse du toit.

 

Par contre le clichés sur le fouet de cuir est exacte, on peut effectivement éteindre une bougie et s'accrocher( et se balancer) à une poutre. Mais, il est plutôt conseillé de le faire avec une poutre en bois, ayant une meilleur adhérence que des matériaux comme le plastique et fer/acier.

 

@ Chronos,

 

 

Ils jouent aussi avec l'anglais, première langue mondiale et langue internationale. Cela fait un avantage de plus que les français n'ont pas.

 

Un peu de précision dans ce domaine tout de même, ce n'est pas tant la langue qui avantage les production anglo-saxon, car pour faciliter l'exploitation des produits dans des pays étranger ils finissent toujours par être traduit et doublé, mais plutôt par le nombre de blanc de culture anglo-saxonne présent dans le monde qui non seulement se trouve en Amérique du Nord et Angleterre mais aussi en Australie et Nouvelle-Zélande. Elle rencontre beaucoup plus de difficulté dans des pays comme l'Inde et même le continent Africain. La Chine ne c'est ouvert que très récemment aux production américaine, mais la production chinoise semble être assez mature pour répliquer.

 

La France se retrouve finalement qu'avec le Québec comme pays de blanc francophone, et un peu la Suisse et la Belgique. Mais bon, ils méprisent tout autant le cinéma français que les français ...

 

 

Pour la fantasy et la SF je préfère ne pas trop en parler, on a l'impression qu'en France ces domaines sont considérés comme des trucs de gamins, comme la BD.

 

Elle réussit malgré tout à faire son petit bonhomme de chemin en France, du moins dans les rayons roman et BD, récemment j'ai découvert "Gagner la Guerre" de Jean Philippe Jaworski que je conseille vivement.

 

@ Alpack,

 

 

Peut être que la ou le commonwealth est meilleur que nous au final, c'est qu'ils ne gaspillent pas les moyens financiers dans des productions qui vont nulle part comme on fait en France ou chaque années sort 50 films sans la moindre envergure ...

 

 

Mais que voulez vous en France on fait des gros coups médiatique pour des films comme Astérix avec clavier d'une crédibilité dans le role qu'une vache neurasthénique ...

 

Oui et non, la production française c'est dégradé durant les années 80-90 ... avant, elle pouvait rivaliser avec ses concurrente étrangères. Au temps de l'ORTF la fiction française a été tout de sacrément moulu par des série comme "Belphégor", "La Brigade du Tigre", "Le Voyageur des siècles", "Les Chevaliers du ciel ", "Michel Strogoff" etc ... Tandis qu'au cinéma on a "Le Professionnel", "Le Vieux Fusil" *, "Que la fête commence…"

 

*D'ailleurs ce film à la particularité d'être le seul à faire l'apologie de la justice expéditive.

Modifié par Rochambeau
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Oui et non, la production française c'est dégradé durant les années 80-90 ... avant, elle pouvait rivaliser avec ses concurrente étrangères. Au temps de l'ORTF la fiction française a été tout de sacrément moulu par des série comme "Belphégor", "La Brigade du Tigre", "Le Voyageur des siècles", "Les Chevaliers du ciel ", "Michel Strogoff" etc ... Tandis qu'au cinéma on a "Le Professionnel", "Le Vieux Fusil" *, "Que la fête commence…"

 

 

La France n'a-t-elle pas été, dans une certaine mesure, victime de l'effet "de Funès". À quelques rares exceptions près on a l'impression que ce cinéma s'est spécialisé dans le comique, tente de réinventer une magie qui n'existe plus. On est timidement en train d'en revenir...

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La France peut faire très bien dans les mêmes domaines que les américains. Prenez par exemple la mini série Metal Hurlant, voire certaines séries de canal... Et quand le film ne demande pas trop de moyens (pour les effets spéciaux), on cartonne même le canon du genre (prenez "Martyrs" par exemple)

Le problème est que le marché international ne nous est pas souvent ouvert, et que l'on ne peut donc pas amortir et rentabiliser... si en plus on ajoute les réactions de certains journalistes très franchouillards qui descendent toute production française qui ne soit pas un "film de potes" ou une comédie (il suffit de se rappeler l'accueil des films de Gantz, Besson (dans sa période française),...

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La France n'a-t-elle pas été, dans une certaine mesure, victime de l'effet "de Funès". À quelques rares exceptions près on a l'impression que ce cinéma s'est spécialisé dans le comique, tente de réinventer une magie qui n'existe plus. On est timidement en train d'en revenir...

 

c'est surtout que en France le cinéma est complètement verrouillé par cette caste de fils/filles de... la consanguinité du monde de la culture et des médias est un très gros problème en France.

 

Par contre, fait très surprenant, les créateurs/adaptateurs de la version télé/série de Game of Thrones (D.B. Weiss et David Benioff) n'avaient jamais fait le/la moindre film/série, même mini vidéo internet... donc je veux bien que l'on me parle de savoir faire & co mais ces mecs sans expérience ont monté GoT quand même...

 

à partir de 5:00 minutes

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La France n'a-t-elle pas été, dans une certaine mesure, victime de l'effet "de Funès". À quelques rares exceptions près on a l'impression que ce cinéma s'est spécialisé dans le comique, tente de réinventer une magie qui n'existe plus. On est timidement en train d'en revenir...

 

Certainement, d'autant que l'effet de rentabilité optimale a fait que la production française se tourne vers ce secteur, et pour se donner bonne conscience financé des films parlant de manière pseudo-dramatique des couples. Tandis que pour la télé, c'est la multiplication soudaine de chaine qui a fait que la production n'a pas pu suivre le rythme, après bien sur vers la fin des années 90 la paresse faisant la situation ne s'améliore pas ...

 

 

@ Rendbo,

 

 

si en plus on ajoute les réactions de certains journalistes très franchouillards qui descendent toute production française qui ne soit pas un "film de potes" ou une comédie (il suffit de se rappeler l'accueil des films de Gantz, Besson (dans sa période française),...

 

L'exemple à ce rappeler aussi est "Les Patriotes" de Eric Rohan, qui a été boudé par la presse cinématographique de l'époque. Pourtant ce film a de sacrée atout dans la catégorie qu'il appartient, certes la romance est nulle mais franchement ce n'était pas l'intérêt du film.

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c'est surtout que en France le cinéma est complètement verrouillé par cette caste de fils/filles de... la consanguinité du monde de la culture et des médias est un très gros problème en France.

 

 

Aux USA aussi. D'ailleurs si les séries poussent à cette vitesse c'est aussi pour ça.

 

 

Par contre, fait très surprenant, les créateurs/adaptateurs de la version télé/série de Game of Thrones (D.B. Weiss et David Benioff) n'avaient jamais fait le/la moindre film/série, même mini vidéo internet... donc je veux bien que l'on me parle de savoir faire & co mais ces mecs sans expérience ont monté GoT quand même...

 

 

Ils sont appuyés par des équipes HBO selon des standards HBO, ça aide mine de rien. il y a aux USA un savoir faire technique lié à la quantité produite qui est tout simplement énorme.

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  • 3 weeks later...

Par contre, fait très surprenant, les créateurs/adaptateurs de la version télé/série de Game of Thrones (D.B. Weiss et David Benioff) n'avaient jamais fait le/la moindre film/série, même mini vidéo internet... donc je veux bien que l'on me parle de savoir faire & co mais ces mecs sans expérience ont monté GoT quand même...

 

Outre les équipes de travail existant aux USA de manière permanente via la taille et l'activité du marché (et en partie aussi du aux abus manifestes du système de production et d'ententes -qui se voit au nombre de pilotes et débuts de série produits à la chaîne et pas ou peu diffusés- qui n'a pas que des inconvénients), et particulièrement dans la structure de HBO qui fait bosser en continu à peu près tous les métiers (du technique à la vente en passant par la gestion de projet), on peut quand même noter que GRR Martin lui-même, avant d'être un romancier, a fait sa carrière pour la télé et le ciné: faire un script, écrire des dialogues, et surtout séquencer la chose pour le "language" et la temporalité d'une série (story board, découpage, montage, "casting narratif"....), il sait faire, et il peut gérer les équipes qui le font.

 

 

 

Sinon, en matière de clichés, j'émets une théorie anthropologique: j'avais déjà décrit la sous-espèce humaine qu'était l'homme de main, branche cousine de l'homo sapiens dont on se demande comment elle a tenu le test de la sélection naturelle.... Peut être le nombre? Mais le point est que je pense avoir mieux cerné l'espèce et distingué une branche nettement séparée et tout à fait autonome de l'homme de main: la sentinelle. Facile à confondre avec son cousin, la sentinelle partage en effet souvent les effectifs au service d'un méchant ou d'un gentil, d'un gouvernement ou d'une organisation non étatique, avec le dit cousin qu'est l'homme de main. Facile de les regarder comme un paquet global et de ne pas établir de différence entre les deux. Pourtant, et c'est là ma thèse (à défendre devant l'académie d'histoire naturelle), la sentinelle me semble être une espèce distincte, avec une morphologie et une physiologie différente, qui a développé une culture et une société distincte de celle des hommes de main.

Evidemment les points communs sont nombreux: l'hémophilie (ils meurent ou tombent dans les vapes au moindre bobo), la fragilité encéphalique (les assommer se fait avec n'importe quel type de coup et de degré de force dans n'importe quelle position et à n'importe quel point d'impact sur le corps), les réflexes grégaires, la stupidité, l'accès à des unités militaires/policières/clandestines spécifiques (appelées "forces spéciales", mais qui, malgré le nom, ne doivent pas vouloir dire la même chose que ce que nous entendons communément par ce terme: sont-ce en fait des unités pour handicapés? Une histoire de "quota ethnique" pour ces espèces particulières?).... Pourtant, je note des différences fondamentales:

- une faible mobilité: la sentinelle reste sur place quoiqu'il arrive la plupart du temps, et sinon n'est apte qu'à de petits circuits répétitifs (extrêmement, pour que les héros ou méchants puissent circuler comme ils le veulent) réalisés à pas lents

- une faible capacité sensorielle: les sentinelles entendent et voient très mal, n'ont aucune vision périphérique (comme les hommes de main) et (particularité de l'espèce) une vision frontale extrêmement étroite et à faible portée. La vision nocturne est déplorable par ailleurs, et la perception du mouvement, de jour comme de nuit, est proprement catastrophique, tout comme l'aptitude à distinguer les formes et les couleurs (héros ou héroïne en fringues colorées sur fond de mur blanc = parfait camouflage)

- un syndrôme de déficit d'attention chronique à l'espèce: on le remarque particulièrement dans l'usage de caméras de surveillance, dont les écrans de contrôle pourraient aussi bien rester éteints, quand ils ne sont pas purement et simplement hackés (pour faire la bonne vieille boucle vidéo si récurrente dans toutes les séries) au nez et à la barbe de la sentinelle

- une coordination oeil-doigt particulièrement mauvaise, qui fait douter de la sagesse de leur confier des armes, surtout des armes à feu

- dans le fil des insuffisances sensorielles: déplorable perception tactile de la chaleur/du magnétisme (ce qui fait "sentir" la proximité physique, le "radar de proximité" humain, quoi), qui autorise le coup mille fois vu à l'écran, à savoir arriver dans le dos d'une sentinelle plantée en évidence au milieu d'un immense espace vide, et l'égorger/assommer/poignarder sans qu'elle ait la moindre réaction (avec souvent des techniques d'égorgement/poignardage/frappe qui laisseraient plus de marge à une autre espèce pour faire du bruit, réagir, répliquer....).

 

Qu'en pensez-vous? La sentinelle est-elle différente de l'homme de main (qui aurait peut-être évolué depuis l'homme de main)? Ou simplement un homme de main laissé trop longtemps à faire le poireau au même endroit et qui prend de mauvais réflexe?

 

 

Sinon, dernier détail sur les séries et films antiques/médiévaux/fantasy: ce qu'on croit être des cotes de mailles, des armures ou des cuirasses de cuir bouilli (ou autre variante de protections corporelles) n'en sont en fait pas.... Il s'agit de pulls et chemises en grosse laine, ou de chemises en cuir souple. C'est logique: si c'étaient des protections de métal ou de cuir bouilli et/ou clouté, les coups de tranchant d'épées (ou d'autres armes tranchantes en fait) ne leur feraient rien. Or, ces mêmes coups passent et blessent (souvent mortellement) à tous les coups, sans même qu'il y ait besoin de beaucoup de force. Donc....

Oh! Encore un truc terrible dans le genre cliché absolu auquel on ne réfléchit pas tellement ça puise dans nos habitudes visuelles (de séries modernes): les épées utilisées comme des flingues pour tenir quelqu'un en joue! Vous lui pointez une épée dans le dos, à quelques centimètres, et hop, le gars obéit comme si il avait un flingue pointé sur lui, comme si éviter le coup était impossible (ou même difficile).

Modifié par Tancrède
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Sinon, dernier détail sur les séries et films antiques/médiévaux/fantasy: ce qu'on croit être des cotes de mailles, des armures ou des cuirasses de cuir bouilli (ou autre variante de protections corporelles) n'en sont en fait pas.... Il s'agit de pulls et chemises en grosse laine, ou de chemises en cuir souple. C'est logique: si c'étaient des protections de métal ou de cuir bouilli et/ou clouté, les coups de tranchant d'épées (ou d'autres armes tranchantes en fait) ne leur feraient rien. Or, ces mêmes coups passent et blessent (souvent mortellement) à tous les coups, sans même qu'il y ait besoin de beaucoup de force. Donc....

Oh! Encore un truc terrible dans le genre cliché absolu auquel on ne réfléchit pas tellement ça puise dans nos habitudes visuelles (de séries modernes): les épées utilisées comme des flingues pour tenir quelqu'un en joue! Vous lui pointez une épée dans le dos, à quelques centimètres, et hop, le gars obéit comme si il avait un flingue pointé sur lui, comme si éviter le coup était impossible (ou même difficile).

 

 

Surtout que celui menaçant a le bras en sur-extension... Quoiqu'une rapière de cape et d'épée sous la gorge j'éviterais de faire le malin personnellement...

 

À noter aussi chez la sentinelle. Elle fume toujours en pleine nuit, est toujours toute seule et a systématiquement besoin de pisser dans un coin totalement isoler où personne n'ira jamais la chercher.

 

Quand elle circule avec un congénère elle doit toujours brailler avec comme au bistrot ou même en recréer l'ambiance : le pot a toujours un vilain grog sous la main.

 

 

 

 

Autre cliché : le bras droit du méchant. Le bras droit est toujours très méchant et très cynique. Il se fait toujours traiter comme un moins que rien, une vraie chose par son patron mais lui obéit quand même (et aveuglément s'il vous plaît) jusqu'à la fin pour une raison totalement inconnue. Il est souvent russe, allemand, colombien ou d'Asie orientale, aime les armes, les gros gun et les couteaux toujours plus impressionnants. Il est toujours grand et fort et a un penchant violeur. Il est cruel, vit véritablement son métier et a toujours un compte personnel à régler avec le héros, ce qui fait sa perte évidemment !

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Oooo, pas toujours.... Elles sont assez souvent en paires. Mais quand c'est le cas, la paire se fait neutraliser sans effort en un clin d'oeil: il suffit qu'une girl-scout les cogne, ils n'ont pas le temps de hurler.

 

Autre cliché : le bras droit du méchant

 

Un bémol: il arrive que le dit bras droit soit moins caricatural que ça, voire soit un type avec certains aspects corrects/"nobles" (pas un animal, juste là pour le business.....); mais quand c'est le cas, ça veut dire que quelqu'un d'autre dans l'équipe est le violeur violent, sadique, bestial et très impliqué dans son travail.... Soit un autre membre du gang (rendu un peu visible pour ce faire), soit le boss lui-même. Il s'agit moins d'un profil lié à un job dans l'équipe que d'un personnage presque type qu'on doit retrouver dans l'équipe antagoniste. Il arrive que n°2 soit plus sobre (pas de "n°2 based jokes" par pitié: on a tous vu Austin Powers).
Une variante cependant; ce peut être une nana. Elle est sadique, elle a la force de 35,7 hommes, elle est complètement nymphomane, elle porte souvent beaucoup de cuir, elle fait des sourires un peu idiots que les réalisateurs pensent sensuels/bandants (souvent pendant qu'elle lèche son flingue ou son épée, ou un truc du genre), elle s'y connaît beaucoup en torture, elle se prend très très au sérieux, elle porte des tenues vraiment incongrues par rapport aux situations décrites, elle s'adonne à des pratiques sexuelles un tantinet extrêmes et souvent ésotériques, elle a zéro subtilité....

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En même temps, si les sentinelles se montraient tout d'un coup plus vif et intelligent, le héros n'arriverait jamais à conclure avec Jane. Et puis, il faut bien des faire-valoir pour montrer comment le héros est plus fort et rusé que les méchants. Surtout si les faire-valoir sont désigné comme l'élite de la crème de l'élite.

Modifié par Rochambeau
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le coup classique des films/jeux vidéo c'est le string en cuir du perso féminin qui une fois revêtue d'une feuille d'alu se transforme en armure lourde...

 

C'est plutôt du fan-service que vraiment un cliché, je me trompe ? Elle vise en particulier un certain public friand de se genre de scène racoleur.

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Une variante cependant; ce peut être une nana. Elle est sadique, elle a la force de 35,7 hommes, elle est complètement nymphomane, elle porte souvent beaucoup de cuir, elle fait des sourires un peu idiots que les réalisateurs pensent sensuels/bandants (souvent pendant qu'elle lèche son flingue ou son épée, ou un truc du genre), elle s'y connaît beaucoup en torture, elle se prend très très au sérieux, elle porte des tenues vraiment incongrues par rapport aux situations décrites, elle s'adonne à des pratiques sexuelles un tantinet extrêmes et souvent ésotériques, elle a zéro subtilité....

 

C'est le profil-type de Xenia Onatopp (GoldenEye).

 

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Ça reste un de mes James Bond préférés. Mais quitte à parler des méchantes, j'avais bien aimé Elektra King dans Le Monde ne suffit pas. En fait elle est l'opposée de Xenia : elle n'est pas forte et agressive physiquement (elle paraît même fragile et émotive), mais réussit à manipuler des hommes forts et dangereux (comme Renard) pour en faire ce qu'elle veut.

 

 

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C'est le profil-type de Xenia Onatopp (GoldenEye).

 

Le personnage de Xenia peut être résumé en une ligne et je ne suis pas très accroché par Famke Janssen, mais je dois bien m'incliner devant une chose : parmi les dizaines de James Bond girls et milliers de personnages de femmes fatales au ciné, c'est la seule qui utilise littéralement le sexe pour tuer.

 

Et ça c'est inégalé à ce jour (Catherine Tramell, range ton jouet).

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  • 2 weeks later...

Je pensais aussi à quelque chose, propre aux repaires des méchants : ils sont toujours remplis de filles en maillots qui se prélassent dans la piscine de la maison. D'où viennent-elles, qui sont-elles ?

 

Il semble toujours y avoir une fête chez le méchant.

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