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https://www.lefigaro.fr/international/turquie-l-eglise-byzantine-saint-sauveur-in-chora-sera-convertie-en-mosquee-confirme-erdogan-20240513

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a confirmé lundi la conversion en mosquée de l'église orthodoxe Saint-Sauveur-in-Chora d'Istanbul, trésor du patrimoine byzantin, malgré les réclamations d'Athènes. En retour, le premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, qui l'avait appelé à revenir sur cette conversion décrétée en 2020 et s'exprimait à Ankara lors d'une conférence de presse conjointe avec Erdogan, a indiqué avoir fait part de son «mécontentement» au dirigeant turc.

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  • 4 weeks later...

Dans un nouveau discours de haine, le président turc Erdoğan déclare que « l'imposition des LGBT » se transforme en « tyrannie », surpassant « même le fascisme ».

https://www.duvarenglish.com/in-new-hate-speech-turkeys-erdogan-says-imposition-of-lgbt-turns-into-tyranny-surpassing-even-fascism-news-64460#google_vignette

Le président turc Erdoğan a une nouvelle fois pris pour cible la communauté LGBTI+, déclarant que son « imposition est devenue une forme de tyrannie, d'oppression et un moyen de corrompre la société qui surpasse même le fascisme ». Erdoğan a ensuite déclaré qu'ils avaient fait « beaucoup de travail pour renforcer l'institution familiale et la rendre résistante face aux menaces. »

 

Le 4 juin, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a de nouveau pris pour cible la communauté LGBTI+ dans le pays.

S'exprimant après la réunion du cabinet dans la capitale Ankara, Erdoğan a comparé la communauté au « fascisme » et a déclaré que « l'imposition des LGBT est devenue une forme de tyrannie, d'oppression et un moyen de corrompre la société qui surpasse même le fascisme », a rapporté l'agence d'État Anadolu.

Erdoğan a déclaré que l'institution familiale dans son ensemble a subi « l'épreuve la plus difficile de son histoire et a été soumise aux attaques les plus lourdes ».

Erdoğan a ensuite déclaré qu'ils avaient fait « beaucoup de travail pour renforcer l'institution familiale et la rendre résistante face aux menaces. »

"Des difficultés économiques à l'urbanisation, de l'individualisation à l'évolution des perceptions, nous constatons que la famille est confrontée à de sérieux défis dans de nombreux domaines différents. Les statistiques de natalité récemment annoncées pour 2023 montrent que notre pays n'est pas à l'abri de ces menaces", a-t-il déclaré.

"La baisse des taux de natalité est alarmante dans notre pays comme dans le reste du monde. Il faut espérer que nous mettrons en œuvre de nouvelles pratiques à cet égard", a-t-il ajouté.

Erdoğan se lance régulièrement dans des discours anti-LGBTI+ et « pro-famille ». Lors des campagnes électorales, l'AKP au pouvoir et l'Alliance populaire ont adopté une rhétorique anti-LGBTI+ de plus en plus parfumée. 

Les parades des fiertés sont interdites et violemment dispersées chaque année. L'homosexualité n'est pas un crime en Turquie, mais l'hostilité à son égard est largement répandue.

Les responsables du Parti de la justice et du développement (AKP) au pouvoir et le président Recep Tayyip Erdoğan ont déclaré à plusieurs reprises qu'ils travailleraient à la préparation d'une nouvelle constitution, comprenant des réglementations sur la « protection de la structure familiale » contre les « mouvements pervers », ciblant la communauté LGBTI+ dans le pays.

  • Confus 1
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à l’instant, Ciders a dit :

Interdire les homosexuels ne facilitera pas la natalité. Mais enfin bon, il faut bien taper sur quelqu'un.

Quel rapport avec les "homosexuels" ...

... mais le sujet est intéressant, soulevé à de nombreuses reprise sans vraiment de débat.

Comment des familles "non traditionnelle" font des enfants en quantité suffisante pour à minima le renouvellement des générations.

Certes ça n'est pas tout le sujet de la natalité mais c'est une partie de plus en plus importante, surtout à terme.

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Il y a 3 heures, g4lly a dit :

Quel rapport avec les "homosexuels" ...

J'sais pas trop, peut-être parce que c'est exactement la population sur qui il tape (note qu'il n'est pas le seul) ? :dry:

Il y a 3 heures, g4lly a dit :

... mais le sujet est intéressant, soulevé à de nombreuses reprise sans vraiment de débat.

Comment des familles "non traditionnelle" font des enfants en quantité suffisante pour à minima le renouvellement des générations.

Certes ça n'est pas tout le sujet de la natalité mais c'est une partie de plus en plus importante, surtout à terme.

Ce n'est pas le renouvellement des générations qui intéresse ces gens-là. On est sur de l'idéologie pour l'essentiel. Parce que perdre de la population est encore vu comme une marque de faiblesse.

Notez que ça devrait être plutôt une bonne nouvelle, vu que nous allons bientôt manquer de ressources.

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Le 08/06/2024 à 22:37, Ciders a dit :

Parce que perdre de la population est encore vu comme une marque de faiblesse.

Notez que ça devrait être plutôt une bonne nouvelle, vu que nous allons bientôt manquer de ressources.

Perdre de la population par le bas et donc plomber son ratio population active sur population totale c'est s'appauvrir ...

... et l'appauvrissement est rarement serein.

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Le 08/06/2024 à 18:21, Titus K a dit :

Dans un nouveau discours de haine, le président turc Erdoğan déclare que « l'imposition des LGBT » se transforme en « tyrannie », surpassant « même le fascisme ».

https://www.duvarenglish.com/in-new-hate-speech-turkeys-erdogan-says-imposition-of-lgbt-turns-into-tyranny-surpassing-even-fascism-news-64460#google_vignette

Le président turc Erdoğan a une nouvelle fois pris pour cible la communauté LGBTI+, déclarant que son « imposition est devenue une forme de tyrannie, d'oppression et un moyen de corrompre la société qui surpasse même le fascisme ». Erdoğan a ensuite déclaré qu'ils avaient fait « beaucoup de travail pour renforcer l'institution familiale et la rendre résistante face aux menaces. »

 

Le 4 juin, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a de nouveau pris pour cible la communauté LGBTI+ dans le pays.

S'exprimant après la réunion du cabinet dans la capitale Ankara, Erdoğan a comparé la communauté au « fascisme » et a déclaré que « l'imposition des LGBT est devenue une forme de tyrannie, d'oppression et un moyen de corrompre la société qui surpasse même le fascisme », a rapporté l'agence d'État Anadolu.

Erdoğan a déclaré que l'institution familiale dans son ensemble a subi « l'épreuve la plus difficile de son histoire et a été soumise aux attaques les plus lourdes ».

Erdoğan a ensuite déclaré qu'ils avaient fait « beaucoup de travail pour renforcer l'institution familiale et la rendre résistante face aux menaces. »

"Des difficultés économiques à l'urbanisation, de l'individualisation à l'évolution des perceptions, nous constatons que la famille est confrontée à de sérieux défis dans de nombreux domaines différents. Les statistiques de natalité récemment annoncées pour 2023 montrent que notre pays n'est pas à l'abri de ces menaces", a-t-il déclaré.

"La baisse des taux de natalité est alarmante dans notre pays comme dans le reste du monde. Il faut espérer que nous mettrons en œuvre de nouvelles pratiques à cet égard", a-t-il ajouté.

Erdoğan se lance régulièrement dans des discours anti-LGBTI+ et « pro-famille ». Lors des campagnes électorales, l'AKP au pouvoir et l'Alliance populaire ont adopté une rhétorique anti-LGBTI+ de plus en plus parfumée. 

Les parades des fiertés sont interdites et violemment dispersées chaque année. L'homosexualité n'est pas un crime en Turquie, mais l'hostilité à son égard est largement répandue.

Les responsables du Parti de la justice et du développement (AKP) au pouvoir et le président Recep Tayyip Erdoğan ont déclaré à plusieurs reprises qu'ils travailleraient à la préparation d'une nouvelle constitution, comprenant des réglementations sur la « protection de la structure familiale » contre les « mouvements pervers », ciblant la communauté LGBTI+ dans le pays.

Avec délectation j'attends la sortie des rames du SPD et de tous les partis centristes d'Europe qui poussent l'intégration de la Turquie en Europe.

Non pas que le problème de fond dont parle Erdogan (baisse de la natalité et hégémonie culturelle individualiste) soit denué de sens. Mais on est voué aux gémonies en Europe si on ose parler un peu du naufrage qui nous pends au nez avec ces sociétés ultra clusterisées

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il y a une heure, g4lly a dit :

Perdre de la population par le bas et donc plomber son ratio population active sur population totale c'est s'appauvrir ...

... et l'appauvrissement est rarement serein.

Dans un premier temps oui, une fois tous les papy boomer au cimetière l'équilibre se refera de lui-même. 

Personnellement je pense que c'est plutôt une bonne nouvelle pour la planète que la population humaine se stabilise voir régresse un tout petit peu et je ne parle pas de génocide ou de bonne guerre comme pourrait penser certains, juste une régulation naturelle par des naissances moins nombreuses. 

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il y a 17 minutes, Teenytoon a dit :

Dans un premier temps oui, une fois tous les papy boomer au cimetière l'équilibre se refera de lui-même. 

Personnellement je pense que c'est plutôt une bonne nouvelle pour la planète que la population humaine se stabilise voir régresse un tout petit peu et je ne parle pas de génocide ou de bonne guerre comme pourrait penser certains, juste une régulation naturelle par des naissances moins nombreuses. 

Bonne nouvelle ou pas c'est ce qu'on observe. La question pour les gens qui ne pensent qu'en terme de compétition est qui va tirer son épingle du jeu suite à cela. 

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Il y a 11 heures, Teenytoon a dit :

Dans un premier temps oui, une fois tous les papy boomer au cimetière l'équilibre se refera de lui-même. 

Personnellement je pense que c'est plutôt une bonne nouvelle pour la planète que la population humaine se stabilise voir régresse un tout petit peu et je ne parle pas de génocide ou de bonne guerre comme pourrait penser certains, juste une régulation naturelle par des naissances moins nombreuses. 

Ça va pas être de la simple régression, la population ne va augmenter quasiment que dans des pays polluant relativement peu alors qu’elle va salement baisser dans beaucoup de pays très consommateurs et très polluants. Mais c’est le mauvais fil pour ça.

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Il y a 23 heures, Teenytoon a dit :

Dans un premier temps oui, une fois tous les papy boomer au cimetière l'équilibre se refera de lui-même.

Quel equilibre? Celui du moyen age?

Moins de population c'est moins de talent, moins d'innovation, moins de progres.

Ce sont les civilisations nombreuses qui permettent le progres parce qu'elles permettent la specialisation necessaire grace a la chalandise associée et la complexité possible d'organisation.

Et dans tous les cas moins de population active c'est moins de chercheurs avec moins de richesse par exemple... Donc moins de progres.

 

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Il y a 3 heures, g4lly a dit :

Ce sont les civilisations nombreuses qui permettent le progres parce qu'elles permettent la specialisation necessaire grace a la chalandise associée et la complexité possible d'organisation

Comme la Chine des Ming ? L'Inde des Moghols ?

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Il y a 4 heures, Ciders a dit :

Comme la Chine des Ming ? L'Inde des Moghols ?

Ces ensembles étaient loin (très loin) d'être homogène. Le degrés de centralisation et d'uniformisation qu'on connais aujourd'hui n'a pas de précédent historique.

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il y a 33 minutes, nemo a dit :

Ces ensembles étaient loin (très loin) d'être homogène. Le degrés de centralisation et d'uniformisation qu'on connais aujourd'hui n'a pas de précédent historique.

L'Inde d'accord, la Chine c'est très nettement discutable (d'autant plus que tous les envahisseurs ont été digérés au fur et à mesure, et ont fini par intégrer les us et coutumes locales).

Et quand bien même, s'il fallait nécessairement une civilisation nombreuse, centralisée et unifiée pour permettre le progrès, il faudrait en ce cas modifier des dizaines de chapitres de l'Histoire mondiale. Parce que ces critères là ne sont absolument pas exclusifs et qu'on a vu de nombreux "petits" ou "moyens" faire plus ou plus vite que de nombreux "grands".

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il y a 2 minutes, Ciders a dit :

L'Inde d'accord, la Chine c'est très nettement discutable (d'autant plus que tous les envahisseurs ont été digérés au fur et à mesure, et ont fini par intégrer les us et coutumes locales).

Et quand bien même, s'il fallait nécessairement une civilisation nombreuse, centralisée et unifiée pour permettre le progrès, il faudrait en ce cas modifier des dizaines de chapitres de l'Histoire mondiale. Parce que ces critères là ne sont absolument pas exclusifs et qu'on a vu de nombreux "petits" ou "moyens" faire plus ou plus vite que de nombreux "grands".

La notion même de progrès est très discutable. En tout cas elle nécessite une clarification parce qu'il y a de très forte chance que rien qu'en interrogeant les gens du forum on ait des réponses différentes sur ce qui constitue un progrès et ce qui n'en constitue pas... Mais en terme de pouvoir par contre c'est pas la même : les états modernes concentrent un pouvoir immense et là la petite taille est un handicap majeur.

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La clé du "progrès", c'est la consommation d'énergie. La Chine (je connais moins l'Inde) a été la première puissance mondiale à l'époque où les principales sources d'énergies étaient le vent des bateaux à voile et des moulins, le bois de chauffage, l'énergie animale et le travail humain (ces deux derniers consommant des produits agricoles qui puisent ultimement dans l'énergie solaire qui fait pousser les plantes). Ce qui a permis à l'Europe, moins peuplée, de damer le pion à la Chine, ç'a été l'utilisation des énergies fossiles (charbon puis pétrole). La population est un facteur soit comme énergie brute (travail humain, y compris autrefois, l'esclavage) soit en tant qu'opérateur qui commande une machine (y compris l'animal qui obéit aux ordres d'un humain).

Le problème c'est qu'on arrive à la fin d'un cycle où plus de consommation d'énergie n'équivaut plus à un supplément de bonheur ou "progrès", puisque la consommation d'énergie, et la transformation de la matière aux niveaux où ils sont arrivés, induisent une pollution qui finit par dépasser les limites planétaires d'absorption et de recyclage de cette pollution, ce qui à terme va réduire l'habitabilité de la Terre pour les humains.

De façon générale, l'humanité est dans la situation des rennes de l'île d'Alaska de Saint-Matthews, à savoir un dépassement des ressources, où l'on vit en mangeant le capital (l'habitabilité) au lieu de dépenser uniquement les intérêts. Donc le capital (l'habitabilité) se réduit comme une peau de chagrin :

Le 06/01/2024 à 21:38, Wallaby a dit :

L'exemple classique de capacité porteuse (K), dépassement et effondrement : la population de rennes sur l'île Saint-Matthews en Alaska :

640px-St._Matthew_Island_Reindeer_Popula

Les rennes introduits sur l'île St. Matthew en 1944 sont passés de 29 animaux à l'époque à 6 000 au cours de l'été 1963, un dépassement drastique de la capacité porteuse de l'île qui a provoqué une chute brutale des effectifs l'hiver suivant pour atteindre 42 animaux. Sur la base de la taille de l'île, des estimations récentes situent la capacité porteuse à environ 1 670 animaux [Klein, D. R. (n.d.). The Introduction, Increase, and Crash of Reindeer on St. Matthew Island (L'introduction, l'augmentation et l'effondrement des rennes sur l'île de St. Matthews), Récupéré le 25 mai 2016 sur https://web.archive.org/web/20110709032911/http://dieoff.org/page80.htm ]

Source : https://en.wikipedia.org/wiki/St._Matthew_Island

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il y a une heure, Hypsen a dit :

Beaucoup plus pragmatiquement, je trouve qu'il y a déjà trop de monde en France. Les métropoles sont tentaculaires, les routes partout, beaucoup de zones rurales sont des successions rapprochées de villages et hameaux.

Nous ne sommes pourtant "que" 120 au km2, à comparer aux 500 en Corée du Sud...

 

La course au progrès ne pourra pas faire grand chose contre ça. La population est assez importante, la stabilisation voire même la décroissance est une excellente nouvelle.

Le chiffre de la densité est trompeur. Le problème vient des métropoles qui concentrent le gros de la pop et que les petites villes se vident. Mais ça se sont des choix qui reposent sur une politique de la ville qui n'a rien d'une fatalité. C'est pas si difficile à inverser mais faut autre chose que des soi-disant gestionnaires aux commandes.

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Il y a 2 heures, Wallaby a dit :

La clé du "progrès", c'est la consommation d'énergie. La Chine (je connais moins l'Inde) a été la première puissance mondiale à l'époque où les principales sources d'énergies étaient le vent des bateaux à voile et des moulins, le bois de chauffage, l'énergie animale et le travail humain (ces deux derniers consommant des produits agricoles qui puisent ultimement dans l'énergie solaire qui fait pousser les plantes). Ce qui a permis à l'Europe, moins peuplée, de damer le pion à la Chine, ç'a été l'utilisation des énergies fossiles (charbon puis pétrole). La population est un facteur soit comme énergie brute (travail humain, y compris autrefois, l'esclavage) soit en tant qu'opérateur qui commande une machine (y compris l'animal qui obéit aux ordres d'un humain).

Sauf que la Chine maîtrisait déjà la fonte et l'utilisation du charbon bien avant les Européens. On en a des traces très nettes dès le Moyen Âge.

Il y a 3 heures, nemo a dit :

La notion même de progrès est très discutable. En tout cas elle nécessite une clarification parce qu'il y a de très forte chance que rien qu'en interrogeant les gens du forum on ait des réponses différentes sur ce qui constitue un progrès et ce qui n'en constitue pas... Mais en terme de pouvoir par contre c'est pas la même : les états modernes concentrent un pouvoir immense et là la petite taille est un handicap majeur.

Je rebondissais sur l'idée de g4lly, mais je suis d'accord sur l'idée en gras.

En revanche, on peut être immense et avoir un pouvoir faible. Je pense par exemple au royaume de Pologne-Lituanie au XVIè-XVIIè siècle. Il y a ici à mon sens trop de variables pour poser des critères fixes en terme de rapport taille/puissance. Même si on a plus de chances d'être fort quand on a de la profondeur stratégique.

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il y a 21 minutes, Ciders a dit :

Sauf que la Chine maîtrisait déjà la fonte et l'utilisation du charbon bien avant les Européens. On en a des traces très nettes dès le Moyen Âge.

Tu as raison, donc il faut que je corrige ce que je disais, de la façon suivante : c'est la machine thermique, la machine à vapeur et le moteur à explosion couplés aux sources de chaleur que sont le charbon et le pétrole qui ont donné à l'Occident du XIXe siècle un avantage sur la Chine. Ces machines pouvaient faire mieux que l'énergie humaine ou animale ou que le vent dans de très nombreux domaines. En particulier, les premières machines à vapeur servaient pour pomper l'eau au fond des mines, rendant l'exploitation du charbon possible à une échelle inédite. Il y a eu des changements d'échelle dans toutes sortes de domaines.

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Il y a 2 heures, nemo a dit :

Le chiffre de la densité est trompeur. Le problème vient des métropoles qui concentrent le gros de la pop et que les petites villes se vident. Mais ça se sont des choix qui reposent sur une politique de la ville qui n'a rien d'une fatalité. C'est pas si difficile à inverser mais faut autre chose que des soi-disant gestionnaires aux commandes.

Les centres des petites villes se vident, parceque les gens préfèrent les pavillons autour. Même les départements ruraux qui ont perdus des habitants se sont beaucoup construits.

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Il y a 8 heures, Hypsen a dit :

Les centres des petites villes se vident, parceque les gens préfèrent les pavillons autour. Même les départements ruraux qui ont perdus des habitants se sont beaucoup construits.

Cet étalement est typiquement francais. C'est lié à l'impraticabilité des centre ville devenu des musée pour claudos, à la passion francaise pour le pavillion, et au prix du foncier. A 50k l'are ca fait repousse forcement les moins riche a tiziouzou.

Ainsi qu'a la quantité de logement vide en campagne.

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Le 01/04/2024 à 21:23, g4lly a dit :

C'est pas un problème de béton mais de ferraillage. Les portiques voile comme celui ci, c'est vraiment la fausse bonne idée.

En général le béton est trop fin pour être étanche, le ferraillage rouille dedans, et sans ferraillage le voile n'a aucune tenue.

C'est un accident malheureusement fréquent, aussi bien pour les balcons que pour les auvent béton au dessus des entrées.

Notons également que dans le cas d'Angers, les armatures ont apparemment aussi été positionnés trop bas, entraînant une perte de résistance en traction sur la partie supérieure de la console (le moment fléchissant entraîne une contrainte positive en partie supérieure, et négative en partie inférieure) + un enrobage trop faible.

C'est une faute professionnelle inexcusable pour le cdc et le conducteur de travaux qui aurait dû systématiquement vérifié le positionnement des armatures sur ce genre de points et/ou mettre en place un auto-contrôle par le chef d'équipe. Ce genre de négligences et manque de rigueur arrive régulièrement chez les PME du secteur, et c'est là qu'on comprend pourquoi les majors sont procédurières et méthodiques (parfois au premier abord à l'absurde), et disposent d'un très fort taux d'encadrement qui ressemble quelquefois à une armée mexicaine... 

 

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