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Drone aérien


azaazel
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http://www.wired.com/dangerroom/2012/06/u-s-needs-another-600-humans-to-fly-its-robot-planes/

The Pentagon doesn’t have nearly enough people to operate its growing fleet of flying robots. Right now, the US Air Force is short nearly 600 drone pilots and sensor operators. And that’s before the military carries out its plans to more than double its armada of remotely operated Reaper aircraft by 2015.

Air Force leaders have been complaining for months that their “number one manning problem … is manning our unmanned platforms.” But the generals’ gripe was seen mostly as a worry about finding intelligence analysts to watch the countless hours of surveillance video that the spy drones produce. Turns out, the Air Force also doesn’t have enough people to operate the  aircrafts — or to turn and focus their cameras.

That’s according to an April 2012 report on the future of drones (.pdf) by Pentagon chief weapons-buyer Frank Kendall, which lays out the challenges facing the military as it increases unmanned systems operations. The report, obtained by Inside Defense, was requested by Congress in last year’s Pentagon budget because the growing fleet of drones “raises a number of questions concerning the military services’ ability to support these inventories in the near- and long-term.”

As of Dec. 16, 2011, the Air Force had 1,358 pilots and 949 sensor operators, a shortfall of 338 and 245 respectively. And with more Reapers coming — their number will go from the current 96 to 199 in 2015 — they will need around 1,400 more pilots and sensor operators combined.

To meet this demand, the Air Force will hire new outside instructors as well as jump-start two new educational initiatives. The first will create new military undergraduate courses, which will complement existing training programs for pilots and sensor operators. The second is to increase the capacity of its training crews.

Apart from personnel problems, the military has space issues, as well. Sure, the military uses at least 64 different bases to house its drone fleet. It’s still not enough airspace. According to the report, the airspace required already exceeds what’s available and the problem will only get worse as more bases are built around the country. In fact, many of the new bases won’t have access to the airspace necessary, both civilian and military, unless the Federal Aviation Administration changes its rules about flying drones domestically.

As of today, drones in the United States can only fly within certain areas designed for military use. To fly a drone outside of those spaces, the Pentagon needs the permission of the FAA, a special permit awarded through a process that “requires a significant amount of time and resources,” something that “does not provide the level of airspace access necessary to accomplish the wide range of DoD UAS missions at current and projected tempos,” according to Kendal’s report.

The only solution, Kendall insists, is to give drones the same freedom regular planes enjoy. Drones will not achieve their full potential “unless they go where manned aircraft go with the same freedom of navigation, responsiveness, and flexibility,” the report states. If the Pentagon can’t find more room in the sky for its drones, the Air Force capabilities “will stagnate or degrade.”

The third challenge is infrastructure. The military will need new buildings to house and operate its drones. According to Kendall’s report, the Department of Defense has already spent or plans on spending a grand total of almost $1.4 billion to build new hangars, operating bases and other facilities to support its increasing drone operations. Presumably, that includes bunks for the extra pilots and sensor operators they’ll need to control the supposedly “unmanned” aircraft.

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Le Venezuela disposera bientôt d’une flotte de drones. En effet, le président Hugo Chavez a dévoilé, le 13 juin, le Sant Arpia, un appareil fabriqué localement par la Compagnie vénézuélienne d’industrie militaire (Cavim) et développé en coopération avec la Russie, la Chine et surtout l’Iran.

Car l’engin présenté a un grand air de famille avec le drone iranien Mohajer-2… Cela étant, le Sant Arpia a des performances modestes, comme le modèle dont il est très fortement inspiré. Son autonomie de vol est de 90 minutes pour un rayon d’action de 100 km et il peut évoluer à une altitude de 3.000 mètres.

La suite + photo :

http://www.opex360.com/2012/06/16/le-president-chavez-presente-un-drone-fabrique-au-venezuela/

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  • 2 weeks later...

Le drone tactique SDTI de l'armée de terre a effectué le 23 juin dernier son dernier vol dans le ciel afghan. Armé par le 61ème régiment d'artillerie de Chaumont, le détachement basé sur la FOB Tora a ensuite fait les cartons pour revenir en France, dans le cadre du désengagement en cours. Les drones Harfang de l'armée de l'air sont, eux, déjà rentrés, en mars dernier.

Les SDTI (Sperwer) étaient arrivés en Afghanistan en octobre 2008, après l'embuscade d'Uzbine au cours de laquelle leur absence avait été pointée. Ils ont effectué leur premier vol le 9 novembre 2008 et auront donc opéré plus de trois ans et demi. Huit engins étaient déployés. Selon les chiffres fournis par l'état-major des armées (Ema), ils ont effectué 770 missions pour une durée totale de 2100 heures de vol (soit en moyenne des missions de 2h 45 mn - plus longues en hiver à cause d'une meilleure portance de l'air). Toujours en moyenne, les SDTI ont réalisé quatre missions par semaine sur toute la durée de l'opération.

Non sans casse : douze engins ont été perdus en cours de mission. Quatre lors des atterrissages - qui se font sous parachute, le choc étant amorti par des cousins gonflables, et huit en cours de mission, la plupart du temps par perte de contrôle de l'engin. Selon l'Ema, il ne semble pas que les insurgés aient pu abattre un drone en vol. Les appareils cassés ou perdus ont été remplacés.

http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Le-drone-SDTI-a-fait-son-dernier-vol-en-Afghanistan_a669.html

On a vraiment intérêt à avoir des drones pas cher vu le taux d'attrition.....  :O

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On a vraiment intérêt à avoir des drones pas cher vu le taux d'attrition.....  :O

L'intérêt est plutôt d'en perdre moins.

Donc éventuellement de payer un peu plus cher pour plus de fiabilité.

Comment peut-on faire un désengagement aérien sans moyen aérien d'observation ou d'appui? 

On ne fait pas un désengagement aérien ; d'ailleurs j'ai du mal à comprendre ce terme et son utilisation dans cette phrase.

Par ailleurs, les Sperwer sont des drones tactiques d'observation : pas armés (on a aucun drone armé) et pas les mieux placés pour faire de la surveillance longue d'un désengagement.

C'est les Tigres qui vont faire tous le boulot? Ou Hollande a pris une assurance chez US Army Ltd?

Autant compter sur les Predator/reaper, ceux sont les mieux à même d'effectuer une mission de type couverture / appui aérien.
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Pirater un drone de l'armée américaine pour moins de 1000 $, c'est désormais possible !

C'est en tout cas ce qu'on réussit à faire un groupe de chercheurs de l'Université du Texas. L'équipe de scientifique de laboratoire de radionavigation d'Austin dirigé par Todd Humphreys a pris le contrôle d'un drone américain suite à un pari. Le département de la sécurité intérieure américaine a en effet lancé le défi à Humphreys et son équipe de prendre les commandes d'un de leur drone. Quelle surprise quand les scientifiques ont démontré qu'ils pouvaient le faire.

Le scientifique a expliqué à la chaîne de télévision américaine Fox News que son équipe avait réussi à "berner" le système GPS du drone. Ils ont en effet reproduit le signal de l'appareil pour ensuite le "piéger" afin qu'il suive de nouvelles commandes. Le chercheur a ajouté que l'objet construit pour truquer le drone avait été assemblé pour tout juste 1000 $, et qu'il serait le plus avancé jamais construit !

Cette petite blague inquiète toutefois le gouvernement américain. Comme le rappelle Humphreys, "dans cinq ou dix ans, il y aura 30 000 drones dans les airs. Ils pourraient tous être utilisés comme potentiel missile contre les Etats-Unis".

http://www.atlantico.fr/atlantico-light/universite-americaine-pirate-drone-armee-gouvernement-403667.html

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IAI travaille sur des drones directement inspirés de la science fiction.

Les ingénieurs qui travaillent dans le hangar central de l’entreprise Israel Aerospace Industries sont figés devant le petit engin voletant dans l’air devant eux. Différentes versions de drones sont actuellement en cours d’utilisation par les Forces de défense israéliennes et les forces militaires d’autres pays à travers le monde, et cette petite créature est prête à déployer ses ailes et se joindre à eux en vol.

Ce papillon ne se contente pas voler. Tout comme n’importe quel drone qui se respecte, il peut également prendre des images en couleur et les relayer en retour au contrôle au sol en temps réel. Pour expliquer comment cela fonctionne, Dubi Binyamini, chef du département de mini-robotique de l’IAI, prend un casque avec une visière qui ressemble à un appareil issu d’un film de science fiction et dit: “Lorsque vous mettez ce casque sur votre tête, vous êtes sûr que vous êtes réellement à l’intérieur du poste de pilotage du papillon. Vous voyez tout ce que voit le papillon. Vous pouvez voler à n’importe quelle altitude et distance et tout voir en temps réel”.

La suite : http://www.israelvalley.com/news/2012/07/02/36830/israelvalley-tsahal-israel-aerospace-industries-travaille-sur-des-drones-directement-inspires-de-la-science-fiction

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J'avais vu un reportage sur ce genre de drone, le concept etait developpe par une compagnie allemande, et les tests tres probants,sauf que le drone qui reprenait la forme de papillon, un peu comme le drone d'IAI dont tu parles, s'etait fait envoyer au tapis par... un corbeau!  8)

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Flexrotor Would Fly From Ships, Remote Outposts

http://www.defensenews.com/article/20120703/C4ISR01/307030006/Flexrotor-Would-Fly-From-Ships-Remote-Outposts?odyssey=mod|newswell|text|FRONTPAGE|s

Image IPB

The Flexrotor by Aerovel Corp. would provide autonomous intelligence, surveillance and reconnaissance coverage with less equipment and maintenance than other drones, according to U.S. Navy officials.

“Aircraft that can take off and land vertically, and also have fast and efficient cruise flight, are potentially useful platforms to operate from ships. They are also suited to operation from Marine Corps small-unit combat outposts,” said John Kinzer, an ONR program officer.

The aircraft will supply imaging, magnetometry, data relays, weather analysis and reconnaissance — all in real time, Aerovel President Tad McGeer said. Production models are expected in 2013 or 2014.

Both the Navy and Aerovel also are playing up the Flexrotor’s use of an “automatic service platform” that serves as a launch-and-recovery pad as well as a maintenance station, eliminating the need for a launching catapult or a snare required by drones with similar missions, such as Boeing’s ScanEagle.

The Flexrotor’s wingspan is less than 10 feet. It’s slightly more than 5 feet long and weighs 42 pounds. It can reach speeds as fast as 90 mph, but cruises at 50 mph, and can stay airborne more than 40 hours.

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Le missilier européen MBDA a présenté, ce 9 juillet, au salon aéronautique de Farnborough (Royaume-Uni) un nouveau concept de système d’armes qui, appelé Vigilus CVS301 est destiné aux drones.

Imaginé dans le cadre de l’initiative Concept Visions, le Vigilus CVS301 est un ensemble d’armes de frappe destiné à donner aux drones une capacité d’appui aérien rapproché que les troupes au sol pourront mettrre en oeuvre directement.

Le Vigilus se compose d’un système de commande flexible et adaptable (l’Armatus) et de deux vecteurs aériens différents, dont un engin « éclaireur » qui, appelé Caelus, est propulsé par un moteur électrique, ainsi qu’un « mini » missile, le Gladius, permettant de frapper des cibles au sol avec une grande précision.

La suite : http://www.opex360.com/2012/07/09/mbda-presente-le-concept-vigilus-un-systeme-darmes-concu-pour-les-drones/

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EADS présente sur son stand à Farnborough 2012, un projet de petit drone aux ailes interchangeables en fonction des missions. Celles-ci sont réalisées en prototypage rapide pour limiter les coûts. Après la réalisation d’outillages, d’autres applications embarquées d’impression 3D sont en cours de validation dans plusieurs filiales du groupe.

EADS Innovation Works présente au salon aéronautique de Farnborough 2012 (09-13 juillet) un prototype de drone construit selon le procédé de fabrication additive ALM (Additive Layer Manufacturing).

Ce petit drone portable d’une envergure d’environ 1,5 mètres a été conçu par quatre étudiants de la faculté d’ingénierie de l’Université de Leeds. Il est contrôlable sur une courte distance par l’intermédiaire d’une liaison vidéo sans fil. Alimenté par des batteries, il pourrait être employé dans le cadre de missions de surveillance, de recherche et sauvetage ou de gestion de catastrophe.

L’utilisation de l’impression 3D dans la fabrication d’un drone ouvre de nouvelles possibilités en matière d’optimisation aérodynamique, telle la ‘‘torsion’’ de l’aile, dont la réalisation est traditionnellement difficile et coûteuse. Avec le prototypage rapide, il devient possible d’imprimer divers types d’ailes détachables dans des délais relativement courts, afin d’adapter le drone aux besoins de missions spécifiques.

La suite :

http://www.industrie.com/it/eads-imprime-ses-drones-en-3d.13488

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Apparement l'annonce a Farnborough sur la coopération France England sur les drones est repoussée voir annulée, c'est pas du tout une bonne nouvelle pour le futur de l'aéronautique militaire, j'ai l'impression qu'en Europe on ne sait plus du tout quoi faire et on est inccapable de s'entendre pour lancer des projets. Apparement Hollande et Cameron sont plutot frères ennemis.

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(AFP) Les industriels européens de l'armement ont repris espoir de construire ensemble un drone de surveillance, alors qu'un projet franco-britannique prenait un coup dans l'aile mardi au salon aéronautique de Farnborough.

Au sein du groupe européen EADS comme chez l'Italien Finmeccanica, l'idée d'une coopération européenne pour produire un drone MALE (moyenne altitude, longue endurance) pour les armées européennes revient en force.

Se méfiant des grands projets intergouvernementaux, Paris et Londres s'étaient engagés l'année dernière dans une coopération bilatérale, décidant de confier au Britannique BAE Systems et au Français Dassault Aviation le développement d'un drone MALE à l'horizon 2020.

Mais les contrats n'ont toujours pas été signés et BAE, qui avait espéré conclure au salon de Farnborough, a annulé une conférence de presse mardi.

Dassault, qui propose de développer pour l'armée française un drone "intermédiaire" pour faire la soudure jusqu'à l'arrivée du drone franco-britannique, attend lui aussi confirmation de cette commande. Il s'est refusé à tout commentaire.

C'est que le nouveau ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a décidé de "remettre ce dossier à plat" et cherche à relancer la coopération européenne en matière de défense, notamment avec l'Allemagne et l'Italie.

M. Le Drian en dira peut-être plus à Londres, où il est attendu le 24 juillet. Il viendra "pour approfondir encore nos relations sur les perspectives de coopération militaire, notamment concernant les drones..." a déclaré mardi le président français François Hollande, lors d'une visite dans la capitale britannique.

EADS, dont les drones Harfang équipent l'armée française, attend désormais une prolongation du contrat de support de ces engins qui expire en octobre 2013 et espère être chargé de les moderniser. "Je pense que ça va arriver", a déclaré un responsable du groupe sous le couvert de l'anonymat.

Il est moins sûr en revanche de se voir confier le développement d'un drone intermédiaire, d'autant que les militaires français préfèreraient acheter des drones américains, plus performants et déjà en service chez leurs homologues britanniques et italiens.

Mais à l'horizon 2020, gouvernements et industriels se rejoignent sur l'intérêt de développer un avion sans pilote européen, estime-t-on chez EADS comme chez Finmeccanica, le conglomérat italien de l'armement.

Alenia Aermacchi, filiale aéronautique de Finmeccanica, a déclaré à l'AFP "soutenir pleinement une alliance européenne dans le secteur des avions sans pilote". "Seule une large coopération permettra à l'industrie européenne de préserver savoir faire et capacités technologiques", a souligné le constructeur.

"Le ministre français a compris très rapidement que si on pouvait se le permettre, il fallait faire un drone européen", a estimé le responsable d'EADS.

Les pays européens, selon lui, conviennent de l'absurdité d'avoir des programmes de drones concurrents et se rapprochent sur la définition des besoins. "Les esprits sont prêts; je ne suis pas sûr que les portefeuilles le soient", reconnaît-il pourtant.

"Nous sommes confiants de trouver d'ici peu une solution européenne globale", assure Stefan Zoller, directeur de la branche défense d'EADS dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung de mercredi. "A la fin de l'année, début 2013 nous connaîtrons une percée", prévient-il.

En attendant, EADS a consolidé ses positions pour revenir dans la course aux drones après en avoir été écarté au profit de Dassault.

Le groupe a ainsi racheté récemment la filiale drone de l'Allemand Rheinmetall. Cette filiale, Rheinmetall Airborne systems, fournit des petits drones tactiques KZO à l'armée allemande et exploite pour elle des drones MALE de fabrication israélienne, Heron-1, dont elle a besoin en Afghanistan.

EADS fait valoir qu'après ce rachat il est désormais le seul à équiper avec des drones opérationnels les armées françaises et allemandes. L'Italie et la Grande-Bretagne sont équipées des "Reaper" américains.

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"Les esprits sont prêts; je ne suis pas sûr que les portefeuilles le soient", reconnaît-il pourtant.

Voilà qui résume bien le problème endémique de notre vieille Europe :P

"Nous sommes confiants de trouver d'ici peu une solution européenne globale", assure Stefan Zoller, directeur de la branche défense d'EADS dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung de mercredi. "A la fin de l'année, début 2013 nous connaîtrons une percée", prévient-il.

En attendant, EADS a consolidé ses positions pour revenir dans la course aux drones après en avoir été écarté au profit de Dassault.

Il semble laisser entendre que le projet du grand drone "Talarion" reviendra bientôt sur le tapis (?)

Sinon cette "solution européenne globale" pourrait éventuellement être basée sur le démonstrateur NEURON piloté par Dassault, mais vu qu'il s'agit avant tout d'un drone d'attaque, avec une endurance inférieure à 10 heures, cette solution apparaîtra sans doute moins polyvalente/globale aux états-majors européens qu'un Talarion offrant plus de 24 heures d'autonomie et pouvant être armé lui aussi  

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Apparement l'annonce a Farnborough sur la coopération France England sur les drones est repoussée voir annulée, c'est pas du tout une bonne nouvelle pour le futur de l'aéronautique militaire, j'ai l'impression qu'en Europe on ne sait plus du tout quoi faire et on est inccapable de s'entendre pour lancer des projets. Apparement Hollande et Cameron sont plutot frères ennemis.

http://www.journal-aviation.com/actualites/17885-le-drone-franco-britannique-discute-le-24-juillet-prochain

Le président de la République François Hollande a déclaré lors de sa visite au Royaume-Uni que le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian se rendrait à Londres le 24 juillet prochain, afin de discuter des perspectives de coopération franco-britannique en matière de drones.

François Hollande est actuellement en visite sur le sol britannique, afin de rencontrer le Premier ministre David Cameron et la Reine Elisabeth II.

Une annonce initiale aurait dû avoir lieu lors d’une conférence de presse conjointe au salon de Farnborough ce mardi 10 juillet, mais elle a finalement été annulée.

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