ARMEN56 Posté(e) le 10 décembre 2021 Share Posté(e) le 10 décembre 2021 Je ne savais pas où placer cette info.... US Holds Joint Exercises ANNUALEX 2021 with Major Global Powers Aimed at Deterring Aggression On Nov. 30, naval forces from the United States, Australia, Germany, Japan, and Canada concluded ANNUALEX 2021, a nine-day multilateral, multinational annual joint military exercise held in the Philippine Sea. The five participating navies included the Royal Australian Navy (RAN), Royal Canadian Navy (RCN), German Navy (GMN), Japan Maritime Self-Defense Force (JMSDF), and the U.S. Navy. Thirty-five ships and dozens of fighter jets joined the exercise. Germany joined the exercise for the first time in 20 years It appears as though China’s provocative actions toward its neighbors have only drawn the allies closer. Besides the increased collaboration between allied countries demonstrated by AUKUS, America’s security partnership with the UK and Australia, other countries have also joined the league. Germany’s frigate FGS Bayern (F 217) participated in the exercises in the Philippine Sea. Later, Tulsa had an opportunity to host Bayern crew members for ship tours while moored at the Naval Base in Guam. https://www.visiontimes.com/2021/12/03/us-holds-joint-exercises-annualex-2021-with-major-global-powers-aimed-at-deterring-ccp-aggression.html 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ardachès Posté(e) le 10 décembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 10 décembre 2021 … Un article extrêmement bien écrit du Monde mettant en perspective -pour les non-initiés et les autres- la très très grande problématique dans laquelle c'est fourré l'Australie. Je leur souhaite bien du courage à leur Amirauté Révélation Pour l’Australie, le casse-tête des sous-marins à propulsion nucléaire Canberra redoute d’attendre près de vingt ans avant de mettre à l’eau son premier submersible nucléaire et cherche des solutions pour éviter des lacunes capacitaires. Submersible australien de classe Collins amarré près du sous-marin nucléaire britannique « HMS Astute », à Perth, le 29 octobre 2021. RICHARD WAINWRIGHT / AAPIMAGE VIA REUTERS CONNECT « Rien n’a été arrêté. Il n’y a ni design, ni prix, ni contrat. La seule certitude, c’est que nous n’aurons pas de nouveaux sous-marins avant vingt ans et leur coût sera bien plus élevé que ceux de conception française », avait déploré, le 29 septembre, l’ancien premier ministre australien Malcolm Turnbull. C’était deux semaines après l’annulation du contrat portant sur l’achat de douze Barracuda à Naval Group et l’annonce fracassante d’un nouveau partenariat stratégique entre Canberra, Washington et Londres (Aukus) prévoyant la fourniture de huit sous-marins à propulsion nucléaire à son pays. Trois mois plus tard, l’Australie n’en sait pas beaucoup plus. Seule avancée notable : les trois alliés anglo-saxons ont conclu, le 22 novembre, un accord autorisant l’échange d’« informations sur la propulsion nucléaire navale ». Il permettra aux Australiens de suivre des formations sur la construction, l’utilisation et la maintenance des sous-marins aux Etats-Unis comme au Royaume-Uni et à un groupe de travail multidisciplinaire, qui a dix-huit mois pour conseiller le gouvernement sur la meilleure stratégie à suivre pour finaliser cet achat, d’accéder à toutes les données nécessaires. Car si l’Australie va acquérir des appareils plus rapides, plongeant plus profondément et restant immergés plus longtemps que les Barracuda à propulsion diesel-électrique promis par la France, elle sera aussi la seule nation ne possédant pas l’arme nucléaire à détenir ce type de navires. Un véritable défi technologique pour le pays, qui est confronté à une série de casse-tête. Il va d’abord devoir choisir entre différents modèles et, plus vraisemblablement, entre les sous-marins britanniques de la classe Astute et les américains de la classe Virginia. « Je serais surpris si nous options pour les Astute, tente Marcus Hellyer, analyste à l’Institut australien de politique stratégique (ASPI). La question fondamentale est : qui voulons-nous comme partenaire stratégique pour les cinquante prochaines années ? Entre Paris et Washington, tout gouvernement australien se serait tourné vers notre allié historique, Washington, ce qui explique sans doute que nous n’ayons pas demandé à la France. Quant à la Grande-Bretagne, sa capacité industrielle est moindre que celle des Américains, elle est aussi bien moins présente dans l’Indo-Pacifique. » Mais si Canberra jetait son dévolu sur les Virginia, les Etats-Unis pourraient-ils les lui fournir ? Pas sans une forte volonté politique. Les deux chantiers navals les produisant tournant déjà à plein régime, ils devraient augmenter leur capacité de production ou ouvrir un troisième site pour répondre à la demande australienne. Tensions régionales Car bien que le premier ministre australien, Scott Morrison, affirme vouloir construire tous ces nouveaux sous-marins sur l’île-continent – l’annulation du contrat avec Naval Group aurait laissé quelque 3 000 personnes au chômage technique –, aucun expert n’y croit sérieusement. Etant donné le manque de savoir-faire local, les autorités devront se résoudre à acheter un ou deux navires complets si elles veulent éviter que les délais n’explosent, sachant que le temps, c’est justement ce qui manque déjà à Canberra. Dans un contexte de tensions régionales croissantes et alors que la relation sino-australienne s’est fortement dégradée ces dernières années, le pays ne possède que six sous-marins vieillissants, des Collins, dont il est prévu qu’ils cessent leur activité en 2026. Le gouvernement a décidé, dès le mois de juin, de réaliser de coûteux travaux de modernisation pour les maintenir en service jusqu’en 2038, avant de les sortir progressivement de l’eau. Mais ce serait une prouesse si le premier appareil à propulsion nucléaire était livré d’ici là. Les autorités, qui excluent, pour l’instant, d’acheter d’autres sous-marins conventionnels, pourraient tenter d’étendre encore la durée de vie des Collins. « Si nous suivons les plans actuels, nous aurons, comme première ligne de défense pour les décennies à venir, les sous-marins les plus vieux et les plus décrépits que nous puissions imaginer », se désespérait, le 22 octobre, le journaliste Greg Sheridan, dans les colonnes du quotidien conservateur The Australian. Pour accélérer la transition, Canberra envisage de louer ou d’acheter d’occasion un sous-marin nucléaire à l’un de ses alliés. Mais, là aussi, les choses pourraient s’avérer plus compliquées que prévu. « Aucun des deux pays n’en a de disponibles. Peut-être que les Etats-Unis accepteraient de faire un effort, mais ils devraient alors se priver d’un outil dont ils ont besoin au bénéfice d’un pays qui ne sait pas s’en servir », résume Marcus Hellyer. L’Australie ne peut même pas s’appuyer sur une industrie nucléaire civile. Elle dispose seulement d’un petit réacteur de recherche situé dans la banlieue de Sydney. Autant dire qu’elle aura besoin de temps pour former le personnel hautement qualifié nécessaire à la maintenance et à la sécurité de ces navires – même si les compartiments de chaufferies nucléaires seront fournis « clé en main » – et pour constituer des équipages. Elle avait déjà eu du mal à recruter 900 sous-mariniers pour ses Collins, elle va maintenant devoir en embaucher 1 600 supplémentaires et les préparer à des métiers jusque-là inconnus aux antipodes. Pour cela, elle compte également sur l’aide de ses partenaires de l’Aukus. Faire face aux défis d’une région devenue l’épicentre de la compétition sino-américaine Leur soutien, et en particulier celui des Etats-Unis, s’annonce si essentiel à chaque étape du processus que l’opposition travailliste s’inquiète des conséquences qu’aura cet accord en matière de souveraineté. Le pays est déjà très dépendant de Washington pour la défense. Les experts en stratégie redoutent surtout que ce projet n’absorbe toute l’énergie des autorités, alors qu’ils estiment urgent de muscler les capacités militaires de l’île-continent pour faire face aux défis d’une région devenue l’épicentre de la compétition sino-américaine. Même si Canberra a déjà prévu d’augmenter de 40 % son budget de défense au cours de la prochaine décennie, et même si l’Aukus permettra une coopération plus étroite dans les domaines de l’intelligence artificielle, de l’informatique quantique ou encore des armes cybernétiques entre les trois alliés, il est probable que le retard pris dans le remplacement des sous-marins entraîne des lacunes capacitaires. Un problème d’autant plus brûlant pour l’Australie que le ministre de la défense, Peter Dutton, rompant avec l’ambiguïté stratégique qui avait jusqu’ici prévalu, a affirmé, le 12 novembre, que si Washington décidait de défendre militairement Taïwan à la suite d’une invasion par l’armée chinoise, « il serait inconcevable que [l’Australie] ne soutien[ne] pas les Etats-Unis dans une action si les Etats-Unis choisissaient de prendre cette mesure ». « Face à une Australie aussi irrationnelle, la Chine ne devrait-elle pas être prête à frapper d’une main de fer, quand cela sera nécessaire, pour lui donner une rigoureuse leçon ? », rétorquait, quelques jours plus tard, Hu Xijin, le rédacteur en chef du média d’Etat chinois Global Times, dans les colonnes de son tabloïd. 1 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 11 décembre 2021 Share Posté(e) le 11 décembre 2021 (modifié) Il y a 13 heures, Ardachès a dit : Un article extrêmement bien écrit du Monde Merci pour le texte ... Date / Heure ou lien ? Modifié le 11 décembre 2021 par Bechar06 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 11 décembre 2021 Share Posté(e) le 11 décembre 2021 … oups, mille excuses Par Isabelle Dellerba(Sydney, correspondance) Publié le 09 décembre 2021 à 05h09 - Mis à jour le 09 décembre 2021 à 16h00 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. fraisedesbois Posté(e) le 13 décembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 décembre 2021 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Non inultus premor Posté(e) le 16 décembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 décembre 2021 APRÈS L'ÉCHEC DU CONTRAT AUSTRALIEN, L'HEURE DES COMPTES POUR NAVAL GROUP Citation Après l'annulation par l'Australie du "Contrat du siècle", Naval Group est sur le point d'achever ses négociations avec Camberra. C'est imminent. Après l'annulation du contrat australien, dans quelques jours, le pays doit donner sa réponse à Naval Group. Après plusieurs semaines de difficiles négociations, le français a fait ses comptes et envoyé la facture. Il s'agit bien d'obtenir le remboursement des sommes qui ont été engagées par Naval Group. Ce n'est pas une indemnisation. Si la presse australienne évoquait 400 millions d'euros, une source proche du dossier explique qu'on sera très en dessous. De son côté Cambrera a aussi posé des conditions et négocié ce que l'on appelle "les livrables", en l'espèce, des documents, des compte rendus, les études de design auquel L'Australie a malgré tout droit en temps que client. Tout doit être signé avant Noel. Des négociations délicates car il s'agit pour Naval Group de ne pas laisser à l'Australie trop de secrets industriels. Un dialogue "collaboratif" commente sobrement une source interne. "Transition out" Si les deux parties tombent d'accord, une nouvelle phase va s'ouvrir. Dite de "transition out" Il va s'agir pour Naval Group de "terminer proprement le programme". C'est à dire de fermer des bâtiments en Australie, démonter des plateaux techniques , rapatrier les dernières équipes ainsi que les documents. Une phase de réduction de voilure qui devrait s'entendre jusqu'au mois de juin prochain. Pendant ce temps, le compteur continue de tourner, puisque Naval Group envoie et enverra tous les mois une facture à l'Australie pour prendre en charge tous les coûts annexes. Un projet "embryonnaire" Depuis la fracassante dénonciation du contrat par les australiens et l'annonce du programme AUKUS certaines voix se sont élevées en Australie, en particulier contre le premier ministre Scott Morrison. C'est le cas notamment de l'ex Premier ministre mais aussi, il y a quelques semaines, de l'ancien ministre de la défense Chris Pyne, qui souligne que le contrat avec la France aurait permis de créer 25.000 emplois dans le pays. D'ailleurs 110 australiens qui travaillaient sur le programme viennent tout juste d'être licencié.. Pour l'instant, le programme AUKUS - qui doit fournir des sous-marins nucléaires à Canberra - est encore embryonnaire. La France d'après le porte-parole du ministère des armées aurait pu livrer ses sous-marins entre 2030 et 2033 alors qu'il faudra probablement attendre au mieux 2040 pour que l'Australie prenne possession de ses futurs sous-marins nucléaires. Peut-on dans ce contexte, imaginer que l'Australie revienne un jour sur sa décision? "De la pure fiction" explique un proche du dossier. Toutefois ajoute cette source, n'oublions pas que l'Australie doit organiser des élections fédérales dans quelques mois et qu'une alternance politique est toujours possible. https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/industries/apres-l-echec-du-contrat-australien-l-heure-des-comptes-pour-naval-group_AN-202112130025.html 2 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 Je repense a froid à cette décision australienne. Soit ils sont très cons, et on ne peut complètement écarter cette solution, sinon il était assez évident qu'ils n'auraient de nouveaux SNA que dans 15 ans au mieux. Ils auraient pu couper la poire en deux et prendre 4 à 6 SF Barracuda (avec montage industriel comme au Brésil) puis négocier et acheter du SNA en complément, ensuite. Perso vu les couts en jeu, je pense qu'ils n'auront pas 8 SNA, mais 5 ou 6 au plus. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 il y a 30 minutes, Bon Plan a dit : Soit ils sont très cons, et on ne peut complètement écarter cette solution, sinon il était assez évident qu'ils n'auraient de nouveaux SNA que dans 15 ans au mieux. Pas besoins d'être cons. Comme l'a expliqué Pascal plus haut, quand le contexte se tend brusquement ou du moins plus rapidement qu'on ne l'aurait imaginé, on peut parfois être pris par le vertige de la situation. Mais les gouvernants australiens peuvent également avoir estimé de manière réfléchie que s'associer aux USA constitue le meilleur moyen d'assurer la protection de leurs intérêts nationaux, quitte à ce que leur sous-marinade soit peu effective pendant quelques longues années. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 Et si on en croit ce rapport de l'ASPI le coût du programme sera au bas mot 50% plus cher. https://www.aspistrategist.org.au/implementing-australias-nuclear-submarine-program/ 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 16 décembre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 décembre 2021 extrait interview du PR hier soir ; "Retour sur la crise des sous-marins : « C’est une forfaiture » La seule question adressée au président de la République sur le volet international dans cette version de l’interview enregistrée dimanche porte sur la rupture d’un contrat de vente de douze sous-marins français à l’Australie, impliquant notamment les Etats-Unis. M. Macron avance de nouveau à ce sujet : « Remettons les choses en perspective. La puissance d’une nation ne se juge pas uniquement à l’aune d’un contrat d’armement industriel, bien sûr. (…) Vous m’interrogez sur le contrat australien. Oui, c’est une forfaiture. Les Australiens nous ont fait une mauvaise manière industrielle et stratégique. Nous avons répondu de la manière la plus ferme et ce sera dans la durée que ça se consommera. » source le monde 6 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nec temere Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 il y a 7 minutes, herciv a dit : Et si on en croit ce rapport de l'ASPI le coût du programme sera au bas mot 50% plus cher. https://www.aspistrategist.org.au/implementing-australias-nuclear-submarine-program/ Donc au mieux 120 Mds de dollars ? Et 50% c'est pas tant que ça au regard du bordel. J'ai encore du mal à me dire qu'ils ont fait ce choix dans leur intérêt... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 Je pressens que d'ici quelque temps l'Australie va relancer un programme d'acquisition de sous-marins conventionnels pour faire la jonction entre les Collins et leurs futurs SNA américano-britanniques. Je ne sais pas pourquoi, une intuition. Si cela se fait, ils ne pourraient d'ailleurs pas acheter des sous-marins français qui sont de facto déjà exclus de toute future compétition. C'est peut-être pour ça que ça n'intéresse pas Naval Group de réitérer le coup fait avec l'Adroit pour les Gowinds, cette fois avec un SMX Ocean/Shortfin Barracuda repensé et rééquipé français. Vigilance donc sur les secrets industriels... Souvenons-nous de l'affaire Navantia/S-80. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 (modifié) il y a 13 minutes, Patrick a dit : Vigilance donc sur les secrets industriels... Souvenons-nous de l'affaire Navantia/S-80. Totalement , je me demande d'ailleurs quels types de livrables ont été fournis ( ( si fournis ) dans l'avant "crash" ; parce qu'à ma connaissance de ceux communiqués à Bazan , pratiquement tout y était en terme d'essentiel ( sans oublier les acquis de construction des AGOSTA) Modifié le 16 décembre 2021 par ARMEN56 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 Il y a tout de même une différence entre une coopération sur la conception et une simple fabrication locale Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nec temere Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 il y a 47 minutes, clem200 a dit : Il y a tout de même une différence entre une coopération sur la conception et une simple fabrication locale Ils avaient tout de mémé une centaine de personnel en formation en France. M'étonnerait qu'ils étaient là pour se tourner les pouces Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 (modifié) Bon ne connaissant que dalle du contrat et des jalons de livrables en phase de conception je suppute, sachant que tout ceci était couvert par NDA . Ceci dit conception et fabrication sont intimement liées , en phase de conception quand la confiance mutuelle est là depuis des mois et des mois çà peut communiquer sur des sujets de hautes confidentialités techniques…… Bref le mot forfaiture est intentionnellement /extrêmement fort et couvre rancœurs dont celles d'avoir ouvert notre "coffre fort" ? Modifié le 16 décembre 2021 par ARMEN56 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 il y a une heure, Nec temere a dit : Ils avaient tout de mémé une centaine de personnel en formation en France. M'étonnerait qu'ils étaient là pour se tourner les pouces Oui, mais on ne partage pas la même chose avec un bureau d'étude partenaire et avec un chantier naval Mais comme le dit ARMEN56 on ne peut que supposer. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nec temere Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 Peut être que c'est aussi celàque cherchait britons et us. Une pierre deux coup pour eux ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 Il y a 4 heures, Nec temere a dit : Donc au mieux 120 Mds de dollars ? Et 50% c'est pas tant que ça au regard du bordel. J'ai encore du mal à me dire qu'ils ont fait ce choix dans leur intérêt... Ils auraient pu couper la poire en 2... 4 à 6 Barracuda complétés plus tard de SNA. Ca ne fâchait personne, ca répondait au besoin, ca comblait le trou capacitaire plus vite. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nec temere Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 il y a 23 minutes, Bon Plan a dit : Ils auraient pu couper la poire en 2... 4 à 6 Barracuda complétés plus tard de SNA. Ca ne fâchait personne, ca répondait au besoin, ca comblait le trou capacitaire plus vite. Je suis bien d'accord. C'est pour ça que pour moi ça paraît compliqué de justifier un tel choix. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 (modifié) … A la lecture de l’article du Monde posté précédemment par mes soins, il en découle -pour faire simple et concis-qu’ils sont pas près, vraiment pas près, de posséder et d'assurer la défense de leurs eaux territoriales avec une flotte opérationnelle de sous-marins nucléaires ! On va bien se marrer dans les prochaines années et même beaucoup plus qu’avec les -supposés- déboires des Suisses et autres Finnois avec leurs pochettes surprises F35 Vous savez ce que sont 300 australiens au fond de l’eau ? Modifié le 17 décembre 2021 par Ardachès Coquille 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 Il y a 8 heures, herciv a dit : Et si on en croit ce rapport de l'ASPI le coût du programme sera au bas mot 50% plus cher. https://www.aspistrategist.org.au/implementing-australias-nuclear-submarine-program/ Ca donne du crédit a un de mes posts juste avant : c'est pas 8 SNA qu'ils auront, mais 5 ou 6. ou 4.... au rythme ou vont les choses. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KnewEdge Posté(e) le 16 décembre 2021 Share Posté(e) le 16 décembre 2021 On risque d'être plus proche des 0 au final. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SLT Posté(e) le 17 décembre 2021 Share Posté(e) le 17 décembre 2021 15 hours ago, Bon Plan said: Ca donne du crédit a un de mes posts juste avant : c'est pas 8 SNA qu'ils auront, mais 5 ou 6. ou 4.... au rythme ou vont les choses. La déclaration/promesse initiale, ce n'était pas... 12 ? Ça va leur faire tout bizarre quand ils vont se rendre compte combien leur coûte leur non-souveraineté C'est comme si, pour être souverain et crédible, il fallait dépenser, investir et s'en occuper sur du temps long... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 17 décembre 2021 Share Posté(e) le 17 décembre 2021 Il y a 6 heures, SLT a dit : La déclaration/promesse initiale, ce n'était pas... 12 ? Ça va leur faire tout bizarre quand ils vont se rendre compte combien leur coûte leur non-souveraineté C'est comme si, pour être souverain et crédible, il fallait dépenser, investir et s'en occuper sur du temps long... L'histoire c'est , si je me rappelle bien : 8 classiques, ré évalués à 12 (ce qui explique une grande part de l'inflation de la facture évoquée par les Australiens eux mêmes). Et avec AUKUS c'est retombé à priori à 8 en nuc. Mais vu la tournure des évènements, ca va se terminer à moins que ca, et avec peu de contenu local. Bref une réussite complète. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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