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[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]


Philippe Top-Force
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Le Merlin AEW deja exist. Rien a developper. Superb machine, mais clairement il est plus limitè de les E2C.

En effet, autant pour moi!

Je parlais en fait de cette version qui avait été dévoilée dans Air & Cosmos entre autres. Il s'agissait d'un Merlin équipé d'un radar semi-rétractable plus puissant que celui de la Marine italienne si je me souviens bien.

En réalité, il y a en effet deux variantes différentes du Merlin envisagée pour la Royal Navy:

Celle déjà existante dont tu parles:

Image IPB

Et celle plus évoluée et performante qui avait la préférence anglaise à un moment:

Image IPB

Les choses ont peut-être changée depuis lors, mes informations ne sont pas de toute fraicheur, je l'avoue.

Il y a de toutes façons de fortes chances que la RN se dote d'un Merlin AEW, qu'il s'agisse de la version déjà existante (fort probable étant donné les problèmes de budget de la RN) ou d'une nouvelle version.

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Le deuxieme foto n'exist pas. Il me semble une Photoshop. Le seul Merlin AEW (HEW) est celle italien et a etè deja tres complexe, tres cher pour developper est n'est pas encore admis au service actif. Aucun connait encore le real prestacion du radar du Merlin HEW. Je n'en doute que Agusta-Westland veut etudier une nouvelle version, meme pour la RN.

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Le deuxième concept à été présenté par Agusta Westland en 2000. Bien sur qu'il n'existe pas, c'est une simple vue d'artiste, mais le concept a efectivement été étudié. Mais comme je le disais, tout porte à croire que le DoD Anglais, devant les coûts qu'un tel développement demanderait, semble plutôt intéressé par un système dérivé de celui des Italiens. Il n'empêche qu'un électronicien (Thalès je crois) proposait toujours un design adapté de celui-ci, avec un radar semi-retractable (et non pas fixe comme sur la version Italienne), plus puissant, mais également plus cher. Il faut bien savoir que le prochain appareil de guet aérien anglais apparaitra après 2015 (les Sea King doivent tenir jusqu'à l'horizon 2015-2020), d'ici là, le retour d'expérience sur le Merlin AEW permettra de juger si la solution Italienne est suffisante. Ah oui, j'avais oublié de signaler que les Anglais étudient également la solution des drones comme appareils de guet aérien, notamment pour la surveillance de l'espace martitime.

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Il y a une raison jamais citée dans le choix britannique, mais qui me semble pourtant pourtant réelle: le savoir-faire. Utiliser au combat un PA catapultes et brins d'arrêt, cela demande un long, très long entrainement. Or depuis la fin des années 70 la Royal Navy a perdu ce savoir. Bien sûr elle a la capacité théorique de le retrouver, mais çà coûte cher. Les mouvements sur le pont, le travail des chiens jaunes, l'entretient des catapultes, le travail de l'officier d'appontage, sont très différents sur un porte aéronefs. L'IPER du CdG va poser un problème de maintien de la compétence dans la Royale. Alors, 40 ans sans porte avion, vous imaginez. Attention, je ne doute pas une seconde que nos amis et alliés britanniques puissent s'ils le veulent réacquérir cette capacité, d'autant qu'ils pourraient compter sur le soutient de l'US Navy et - j'espère - de la MN. Mais je comprend qu'ils hésitent devant l'investissement que celà représente.

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Expert to outline how carriers will be built

Published on 16/04/2007

BARROW’S role in building two giant aircraft carriers for the Royal Navy will be outlined at a public meeting in Barrow.

Carrier project manager in Barrow for BAE, Lee Foster, will scope the overall project and the town’s proposed part in it at a meeting in Chetwynde School on Thursday at 7.30pm.

The town led the design and build of Britain’s last Invincible class of carriers.

The talk has been arranged by the Barrow and District Association of Engineers.

Costing more than £3bn the 65,000 tonne ships will be built in parts at several yards including one big central section from base to flight deck at Barrow, for each ship.

Extensive work has been done in Barrow over the last two years planning how the sections would be built, assembled and shipped to Scotland for final assembly.

HMS Queen Elizabeth and HMS Prince of Wales are expected to enter service in 2012 and 2015, and will be the largest ships ever to enter service with the Royal Navy.

The orders have not yet been placed, but BAE Systems has been announced as the preferred prime contractor with Thales UK as the key supplier in a partnership known as the Future Carrier Alliance.

Mr Foster, originally from Merseyside, who will be project manager for the Barrow element of the build, said: “This is a huge project, which will give the UK marine industry the opportunity to demonstrate its skills.”

Mr Foster will give an overview on the characteristics of the carriers, which have a maximum speed of 25 knots and can carry a crew of 1,200.

He will then speak about the construction of the section — known as a block — in Barrow and explain how the remaining blocks will be assembled in a dry dock to produce the finished vessel.

Admission is free and all are welcome to attend.

Barrow’s hopes of a carrier role which would lead to the building of a big new shed for surface and submarine work, remains high.

But early this month it was revealed that in a bid to cut costs the government and the Aircraft Carrier Alliance which includes BAE, is undertaking an overview, looking for ways to cut costs.

One of several options being studied would see Barrow’s work go to France.

Expert to outline how carriers will be built

£3.8bn carriers contract on hold until after polls

The Ministry of Defence will confirm the £3.8bn contract for two new aircraft carriers after the Scottish elections, according to Whitehall sources.

An announcement has been delayed by hard bargaining between the UK yards sharing the work and Lord Drayson, Procurement Minister, and the need to avoid accusations of using the promise of jobs to influence voters ahead of the May 3 polls.

But the Royal Navy will then face the mothballing of two Type 42 destroyers and four Type 22 frigates to help save a £250m overrun in fuel, maintenance and other costs.

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The cutback, which includes HMS Cornwall, the warship whose crew members were taken hostage by Iran's Revolutionary Guard forces, could also mean scrapping one or even two major global naval commitments.

Insiders say the tasks under threat are the Falklands guard ship, whose removal would leave the islands vulnerable for the first time since the 1982 war with Argentina, and possibly the Indian Ocean anti-drugs patrol.

Axing or reducing the South Atlantic cover would be particularly embarrassing at a time when the UK is preparing to celebrate the 25th anniversary of the recapture of the islands and Argentina has lodged new claims over their sovereignty.

The reductions would leave the Navy with just 19 destroyers and frigates until the six Type 45 air defence destroyers on order from BAe's Clyde yards enter service between 2009 and 2013.

The current 25-strong surface escort fleet has already reduced patrols in the Caribbean and North Atlantic because of shortage of numbers and cut its two-ship presence in the Indian Ocean by half.

The First Sea Lord, Admiral Jonathon Band, warned in February that he needed a further £1bn a year simply to keep the existing warships operational and to improve pay and living conditions for sailors under his command.

A senior naval source said yesterday: "The RN had 98 ships in service in 1997. A decade on,we have 75. Only 25 of those are escort vessels and many of the others are supply and support ships, inshore and offshore patrol craft and survey vessels.

"The carrier Invincible is effectively out of the picture at low readiness', although she remains on strength. It would take a minimum 18 months to make her seaworthy. Five other ships are at extended readiness'. It would take more than 180 days to make them operational."

A review is also under way to slash costs at the UK's three naval bases. It cost £183m to operate the Clyde submarine base at Faslane last year, £185m for Devonport and £151m for Portsmouth, which is seen as the most vulnerable.

£3.8bn carriers contract on hold until after polls
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PARIS, 19 avr 2007 (AFP)

Le ministère de la Défense a affirmé jeudi que "rien aujourd'hui n'hypothèque" la possibilité de lancer d'ici à la fin avril les commandes initiales pour le second porte-avions, au coeur du débat sur la défense dans la campagne électorale.

"Rien aujourd'hui n'hypothèque la possibilité de lancer la commande des catapultes d'ici à la fin avril", a déclaré le porte-parole du ministère Jean-François Bureau lors de son point de presse hebdomadaire.

Souhaitant rendre ce programme "irréversible", la ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie avait annoncé début décembre devant la représentation nationale que les commandes initiales pour le deuxième porte-avions, dont celles des catapultes, seraient passées début 2007.

Pour M. Bureau, ce planning permettrait de rester "dans des délais compatibles" avec l'objectif d'une entrée en service du deuxième porte-avions avant 2015.

Il pourrait alors suppléer le Charles-de-Gaulle, l'unique porte-avions français, qui subira en 2015 sa deuxième grande opération de maintenance, synonyme de 18 mois d'immobilisation. La première sera conduite à partir de cet été, après une mission de deux mois au profit des alliés en Afghanistan.

Cette mission dans l'Océan indien s'est achevée mardi, et le groupe aéronaval -le porte-avions et son escorte- doit regagner son port d'attache de Toulon d'ici à la mi-mai.

Le lancement de la commandes des catapultes serait "un geste fort qui enclencherait le processus", a relevé M. Bureau. "Si ensuite la décision inverse est prise ou l'annulation de la commande intervient, ce serait un autre geste politique", a-t-il cependant commenté dans une allusion aux échéances électorales.

Le ministère de la Défense, selon lui, n'entend toutefois pas lancer la commande avant d'avoir obtenu des industriels "des offres plus compétitives" sur les principaux composants du porte-avions.

"Il est bien évident que notre levier de négociation est plus fort si nous leur demandons de faire des efforts maintenant que si nous leur demandons de les consentir une fois la commande des catapultes lancée", a-t-il fait valoir.

Le programme du deuxième porte-avions, évalué à deux à trois milliards d'euros, est mené conjointement avec les Britanniques qui comptent construire deux porte-avions présentant de nombreux éléments communs avec leur cousin français.

Selon M. Bureau, "le dossier a beaucoup progressé au cours des deux derniers mois" en Grande-Bretagne où une décision sur la construction des exemplaires britanniques doit intervenir selon lui d'ici à début juin.

Dans la campagne présidentielle, un consensus s'est établi entre les principaux candidats, Nicolas Sarkozy (UMP), Ségolène Royal (PS) et François Bayrou (UDF) pour maintenir l'effort de défense autour de 2% du PIB tout en prônant un réexamen des priorités et des grands programmes, tel le deuxième porte-avions.

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Beaucoup des "estimates" pour le prix sont 3.6 jusqu'a 3.9 milliards de livres pour deux CVFs. C'est ca. 2.65 jusqu'a 2.87 milliards d'euros. Les 4 milliards de livres pour deux CVFs, je pense que c'est un nouveau nombre. Mais ce nombre est dans le "Sun". [12] On va voir.

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Anglo-French aircraft carriers proposed

By James Boxell and Peggy Hollinger

Published: April 22 2007 22:09 | Last updated: April 22 2007 22:09

Britain and France should share the construction of the next generation of aircraft carriers in a bid to make them more affordable, according to a proposal submitted to the UK government by Thales, the Paris-based defence company with large British interests.

The approach, sanctioned by the French naval industry, is politically vexatious for the UK government, which has never built warships abroad before. It also faces opposition from BAE Systems, Britain’s biggest defence company and principal warship builder.

Denis Ranque, chief ex­ecutive of Thales, said: “Building the ships together would be in the best interests of British and French taxpayers.”

In response, the Ministry of Defence said it was still considering all industrial proposals for the carrier-building plan, while senior French industry officials said the UK was “sympathetic” to the approach.

Britain intends to build two aircraft carriers for the Royal Navy, at a cost of £3.9bn, with incentives to reduce the price. France wants to build one carrier.

Britain and France are already using a largely common design for the ships. Mr Ranque said they should merge the separate projects into a single three-ship ­programme.

He said a French yard could build one-third of the hull for each ship; British yards could build the other two-thirds: “If we can find a way that industry is incentivised, if part of the savings are going to industry itself, I do not see why our friends at BAE Systems would not take that on.”

BAE is happy to join forces with the French to procure parts and materials, and possibly sub-contract part of the hull construction. But it opposes construction of hull sections for the French ship in British yards, arguing they lack capacity to manage a three-ship programme without delaying French or British ships.

A senior British industry executive said BAE may also have concerns about ceding influence to Thales in British ship-building. Thales has a large role in the British carrier programme. A UK-French venture would strengthen its hand.

The French plan could lead to cost-savings, with some British estimates of about £80m, but could also threaten participation of BAE’s yard in Barrow-in-Furness in Cumbria.

“The reality is, this is just metal-bashing,” said the British executive. “You could fit the level of intellectual property from the hull-building into an A4 envelope.”

Mr Ranque said the UK had a particular priority to protect its naval industry because of its maritime heritage: “In the UK, the navy is sacred.”

The final go-ahead for the British carriers is still being negotiated.

Anglo-French aircraft carriers proposed
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on est même pas sur qu'il y aura un PA2, sauf si la notification a lieu dans les 2 semaines qui suivent..après, place à la démocratie...et on verra si PA2 ou pas PA2... quid d'une coopération euroépenne pour ce porte-avions? je verrais bien un petit contingent (de 100 à 600 marins) : allemand, belge, néerlandais, luxembourgeois, danois à bord, plus 1 ou 2 frégates européenne (allemande, néerlandaise, etc) d'escorte, et ce, sans que le porte-avions passe totalement à l'union européenne (avec toutes les difficultés que l'on immagine en terme de décision de déploiement) En cas de guerre ou la france s'engagerais seul snas participation européenne, elle pourrait virer les marins étrangers de son batimpent et appeler à la place des réservistes... : on économise des salaires, de temps en temps, on fait payer le plein à nos alliés, on entraine leures troupes, ou leur offre la possibilité de posséder un petit bout de porte-avion, et c'ets bon !!!

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oquid d'une coopération euroépenne pour ce porte-avions? je verrais bien un petit contingent (de 100 à 600 marins) : allemand, belge, néerlandais, luxembourgeois

Pour ça c'est dans tes rèves. Et je n'exagère pas. Aucune chance que cela se fasse.

Quand à une escorte commune, ça oui, ça peux éventuellement être possible, mais c'est très difficile (comme le montre le cas récent de la frégate espagnole qui à escortée le CDG... Jusqu'a la mer rouge...). Et ça c'est un problème qui se règlera (ou pas) en dehors du programme PA2

@+, Arka

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Jacques Chirac a reçu mardi à déjeuner les plus hauts responsables de la défense, occasion pour le chef de l'Etat de rappeler avec force qu'à ses yeux la construction d'un second porte-avions est "indispensable" pour maintenir la capacité de projection de la France.

"Nous avons prouvé qu'en dépit de la contrainte budgétaire, il était possible, avec une forte volonté politique, de maintenir un effort de défense significatif pour financer les programmes dont nous avons besoin", a-t-il dit dans une intervention rendue publique par l'Elysée.

"Je pense d'abord à la construction du deuxième porte-avions, qui est indispensable, car c'est la pièce maîtresse de la permanence de notre capacité de projection de puissance", a-t-il souligné.

Les candidats à l'Elysée Nicolas Sarkozy (UMP) et Ségolène Royal (PS) sont d'accord pour maintenir l'effort de défense actuel mais n'ont pas exclu de réexaminer les grands programmes, comme celui du second porte-avions dont le coût est évalué entre 2 et 3 milliards d'euros.

Ce programme est mené conjointement avec les Britanniques qui comptent construire deux porte-avions présentant de nombreux éléments communs avec leur cousin français.

A moins de trois semaines de son départ de l'Elysée, M. Chirac a reçu à déjeuner le ministre de la Défense Michèle Alliot-Marie, le chef d'état-major des Armées, le général Jean-Louis Georgelin, et ceux de l'armée de terre, le général Bruno Cuche, de l'armée de l'air, le général Stéphane Abrial et de la marine, l'amiral Alain Oudot de Dainville.

Pour que la France tienne son rang et puisse défendre ses intérêts, M. Chirac a estimé que l'effort "peut et doit être porté à 2% en normes Otan de notre PIB en 2008".

"Les Français le comprennent et j'observe à cet égard que les principaux candidats à la présidence de la République partagent cet objectif. Il appartiendra à chacun de pousser à sa réalisation", a-t-il ajouté.

Il a souligné que "l'exécution de la loi de programmation militaire 2003-2008 a amorcé l'indispensable redressement de nos capacités" dont la poursuite "requiert persévérance, réalisme et volonté".

[27]

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