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Guerre Israël-Hezbollah 2024+


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on est plus proches des frappes hebdomadaires que d'une frappe tous les 4 mois comme tu l'affirmais y compris dans la source que tu cites (je l'ai lu aussi) et c'est loin d'être sporadique quand les frappes aériennes sont à un rythme de plusieurs par mois ou par semaines 

J'ai volontairement écarter "mortar shell" car les avions ne tirent pas d'obus de mortiers, à la rigueur des frappes de drones peut être

 Sinon Israël est bien en guerre avec le Hezbollah et a échoué dans sa campagne d'interdiction stratégique ce qui est finalement le point essentiel (le Hezbollah est bien plus puissant en 2024 qu'en 2006)  

Modifié par loki
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Il y a 3 heures, Pol a dit :

Loki c'est quoi tes origines?

 

Il y a 2 heures, loki a dit :

Ben il va être déçu alors .......... 

Moi j'espère ne décevoir personne 

J'espère aussi n'être la cible d'aucun racisme. Il y a encore des gens qui disent du mal des personnes comme moi :dry:

Mais enfin voilà ma photo pour clarifier mes origines 

Révélation

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https://www.mediapart.fr/journal/international/130724/une-extension-du-conflit-avec-israel-inquiete-les-libanais-moderement

La rumeur d’une déflagration générale entre Israël et le Hezbollah libanais court à travers le Proche-Orient depuis des semaines, confortée par une escalade verbale et militaire. Au Liban, les observateurs et la population pensent cependant qu’elle n’aura pas lieu.

Les Libanais ont l’habitude des guerres et de leurs signes avant-coureurs. Ils savent que le bruit des bottes, même très fort, ne débouche pas forcément sur une guerre. Mais ils ont aussi appris qu’une escalade de la rhétorique belliqueuse peut déboucher sur un engrenage impossible à maîtriser.

Leur problème, aujourd’hui, est de situer le curseur : proche de la déflagration générale ou du côté de l’esbroufe ?

« Soyons clair, la guerre est déjà là, assure Ziad Majed, chercheur et professeur à l’université américaine de Paris. Elle se poursuit depuis le 8 octobre 2023, avec au moins 545 morts, de nombreux villages du Sud-Liban ravagés, et plus de 90 000 déplacés internes. »

Côté israélien, 27 personnes, dont 15 militaires, ont été tuées par des tirs du Hezbollah, et 65 000 évacuées de la région nord.

Mais cette guerre, pour l’instant, est de celles qu’on qualifie de « basse intensité », autrement dit un conflit d’une ampleur limitée, contrôlée par les belligérants. Ce qui ne signifie pas une absence de tragédies.

Le 8 octobre 2023, le Hezbollah a décidé d’ouvrir un front au nord d’Israël, en soutien au Hamas de la bande de Gaza. Il agit au nom de l’« axe de la résistance », alliance informelle qui n’accepte aucune normalisation avec l’État hébreu et regroupe l’Iran, la Syrie, les houthis du Yémen, le Hach al-Chaabi irakien, les mouvements palestiniens Hamas et Jihad islamique, et bien sûr le Hezbollah. Lequel, à ce titre, a tiré des missiles guidés et des obus sur des positions israéliennes dans le secteur des fermes de Chebaa, revendiquées par le Liban.

Démonstrations de force
Depuis cette date, des centaines d’attaques ont eu lieu de part et d’autre de la frontière entre le Liban et Israël. L’ONG Acled (Armed Conflict Location and Event Data Project), spécialisée dans l’étude des conflits armés, en a recensé 7 400 entre le 8 octobre 2023 et le 21 juin 2024 : 6 142 lancées par Israël vers le sol libanais et 1 258 lancées par le Hezbollah contre l’État hébreu.

Échanges de tirs d’artillerie, tirs de drones, bombardements, assassinats ciblés sont quotidiens.

Selon un décompte cité par le quotidien libanais L’Orient-Le Jour le 10 juillet, 369 combattants du Hezbollah ont été tués depuis le 8 octobre 2023. Parmi eux, des dirigeants importants de sa branche militaire. Ainsi, le 3 juillet, de Mohamed Nimah Nasser, chef de la division drones du Parti de Dieu, alors qu’il circulait en voiture dans la ville de Tyr. Le 9 juillet, c’est au tour de Yasser Nimr Qarnabsh, ancien garde du corps d’Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah, et chargé du transport des armes et des hommes entre le Liban et la Syrie.

Le lendemain, un drone du Hezbollah a touché une base militaire israélienne de Galilée, tuant un soldat.

Si les attaques israéliennes sont plus nombreuses, les démonstrations de force du Parti de Dieu libanais sont les plus spectaculaires. Il dévoile, avec une dramaturgie qui lui est familière, ses capacités militaires.

« Il reste dans la dissuasion, avec des actions limitées, mais a monté le ton, analyse un observateur régional. En deux mois, il a envoyé trois messages aux autorités et à la population israélienne. Le premier, c’est l’utilisation de missiles sol-air pour détruire des drones israéliens. Il n’avait jamais utilisé ce type d’engins avant. Le deuxième, c’est une vidéo tournée par un drone qui a survolé Haïfa et dans laquelle sont mentionnés trois types de cibles : militaires, stratégiques, civiles. Il signifie par là qu’en cas de guerre générale, il visera et touchera des quartiers civils. Le troisième message, c’est un discours de Nasrallah dans lequel il menace Chypre. »

Ce dernier message s’adressait surtout à l’Union européenne : Chypre est certes un allié d’Israël, mais l’île est surtout la porte de sortie des ressortissants étrangers résidant au Liban en cas de guerre, là où les bateaux français, britanniques, canadiens accosteraient.

La diffusion de vidéos tournées par des drones, donc par des engins qui survolent tranquillement le sol israélien et ses bases militaires, se fait de plus en plus fréquente et participe à la montée de l’inquiétude en Israël.

Équilibre de la terreur
Car, écrit le quotidien israélien Haaretz le 11 juillet, c’est « comparable aux modes opératoires utilisés par Israël au cours des années précédentes, qui révèle périodiquement une partie des renseignements qu’il recueille sur le Hezbollah, notamment sur le déploiement de ses systèmes, les caches de roquettes et d’armes et les pistes d’atterrissage construites avec l’aide de l’Iran ».

Les dirigeants israéliens multiplient les déclarations menaçantes. « Dans la difficile campagne que nous menons contre le Liban, nous avons établi un principe : quiconque nous fait du mal est voué à être tué, et nous appliquons ce principe », a déclaré le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, le 5 juillet, justifiant les assassinats ciblés.

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Son ministre de la défense, Yoav Gallant, a menacé de ramener le Liban à l’« âge de pierre », celui des affaires étrangères, Israël Katz, a affirmé que « dans une guerre totale, le Hezbollah sera détruit et le Liban durement touché ». Pour celui de la sécurité nationale, le suprémaciste juif d’extrême droite Itamar Ben Gvir, « la tâche des Forces israéliennes de défense est maintenant de détruire le Hezbollah ». Seule façon, à ses yeux, de supprimer la menace militaire qui pèse le nord de l’État hébreu et de retrouver l’entièreté de la souveraineté nationale. Des pans entiers du territoire israélien échappent en effet au contrôle de Tel-Aviv.

Tout semble donc en place pour une conflagration générale.

Sont évoquées une attaque massive sur Beyrouth, une offensive terrestre israélienne, des tirs sur Tel-Aviv et Haïfa, et l’entrée dans la danse macabre des forces régionales, Iran et milices irakiennes, avec des conséquences imprévisibles sur l’Égypte et la Jordanie. Bref, un cauchemar.

Mais au Liban, personne ne semble y croire.

« Tout le monde est épuisé. L’armée israélienne n’arrive pas à sortir victorieuse de Gaza et manque d’hommes, la société israélienne se déchire sur le service militaire des ultraorthodoxes. Le Hezbollah, de son côté, n’attend qu’une chose : un cessez-le-feu à Gaza pour pouvoir décréter la fin de sa guerre de soutien au Hamas », assure une personnalité de la scène politique libanaise.

La dissuasion, juge-t-on, fonctionne : le Hezbollah possède des forces autrement plus puissantes que celles du Hamas et son allié régional, l’Iran, a montré, dans la nuit du 13 au 14 avril, qu’il était capable de lancer des centaines d’engins sur l’État hébreu.

« Les experts s’accordent à dire que le Hezbollah possède des missiles hypersoniques, qui vont plus vite que le son, assure l’observateur régional. Autant il a été possible, pour les systèmes de défense antimissiles, d’arrêter les engins tirés depuis l’Iran, qui ont dû traverser des centaines de kilomètres, autant ces systèmes seraient impuissants face à des missiles tirés à dix kilomètres de la frontière. La menace du Hezbollah est donc extrêmement puissante. »

Et la promesse d’une confrontation aussi destructrice pour Israël que pour le Liban est susceptible de calmer les ardeurs belliqueuses. Elle pousse en tout cas les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne, notamment, à lancer des missions de bons offices.

Au cœur du dispositif diplomatique, plus que Jean-Yves Le Drian, envoyé spécial français, se trouve Amos Hochstein, diplomate américain, coordinateur des affaires énergétiques au sein du secrétariat d’État (le ministère des affaires étrangères des États-Unis). Il a négocié l’accord de 2022 entre le Liban et Israël sur la délimitation des frontières maritimes et la répartition des gisements gaziers offshore. Autant dire qu’il a l’oreille des deux parties, Hezbollah et Israël.

« Les Américains ont été les premiers à comprendre que le Hezbollah cesserait ses attaques aussitôt qu’un accord sur Gaza serait signé et qu’il ne voulait pas de guerre générale, reprend l’observateur. Le message d’Amos Hochstein ne varie pas : Washington ne veut pas de guerre au Liban. Il le répète à Beyrouth et à Tel-Aviv. » Bref, l’administration Biden fait tout ce qui est en son pouvoir pour verser des tonnes d’eau sur l’incendie qui menace.

« Les Qataris jouent les messagers entre les Occidentaux, les Iraniens et le Hezbollah, et les messages sont tous de la même teneur : “Nous ne voulons pas de guerre”, confirme Ziad Majed. Tous ces pays veulent éviter une confrontation totale. Les Israéliens continuent à menacer, mais ces menaces perdent en crédibilité au fil des jours car il ne se passe finalement rien de plus que l’affrontement de basse à moyenne intensité habituel. Elles montrent juste l’arrogance et la culture de l’impunité des dirigeants israéliens. »

Et sur le terrain ?

Les tragédies de la guerre ont déjà bouleversé les vies. Dans les villages du Sud-Liban, relève le Conseil du Sud libanais, cité par L’Orient-Le Jour, 3 000 maisons ont été détruites totalement ou partiellement, et 30 000 plus ou moins sérieusement endommagées. Les dégâts s’élèvent déjà à plus d’un milliard d’euros.

Certes, Amr Diab, icône égyptienne de la chanson arabe, a rassemblé 22 000 personnes pour son concert du 15 juin à Beyrouth, avec des places à 140 euros pour les moins chères. Certes, la banlieue sud de Beyrouth, fief du Hezbollah, n’a rien perdu de son activité et célèbre ces jours-ci l’Achoura, une des fêtes les plus importantes du calendrier musulman.

Mais « les habitants du Sud, notamment, sont très inquiets. Beaucoup ont dû quitter leur village, leur travail, ont perdu leurs ressources et ont dû aller se réfugier un peu partout dans le pays, sans en avoir les moyens », affirme Hana Jaber, chercheuse et directrice de la fondation libanaise Lokman Slim, qui travaille sur les assassinats politiques. « Beaucoup vivent dans des bâtiments publics, écoles, stades, sans perspective. Ils se posent la question de l’utilité de ce front en soutien à Gaza, du futur de leur région. »

D’autant que le Hezbollah ne possède plus l’aura conférée par le retrait israélien du Sud-Liban en 2000, célébré comme une victoire de ses combattants contre l’occupant, ni celle de 2006%

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à signaler que des missiles sol-air Sayyad-2 auraient été identifiés au Liban

https://www.timesofisrael.com/liveblog_entry/idf-strike-in-lebanon-seems-to-reveal-hezbollah-possesses-advanced-iranian-anti-aircraft-missiles/

c'est un missile compatible avec les systèmes sol-air à moyenne portée suivants :

 https://en.wikipedia.org/wiki/Raad_(air_defense_system)

https://en.wikipedia.org/wiki/Tabas_(air_defense_system) (qui semble une variante du précédent)

https://en.wikipedia.org/wiki/Sevom_Khordad (idem)

qui sont donnés pour des portées de 50 à 120 km

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il est probable que le Hezbollah cache assez discrètement des armes dans sa manche pour influencer le champ de bataille en cas de véritable guerre. 

S'agissant des missiles air air, les capacités utilisées à ce jour ont détruit des drones hermes. Ils possèdent donc des facultés anti-air réelles, mais n'a pas démontré avoir de quoi paraliser l'aviation israélienne.  En tout cas, en cas de guerre l'Iran devrait envoyer de nombreux équipements en renforts.

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Le 13/07/2024 à 12:06, Pol a dit :

C'est pour ça que je pense que du côté d'Israël, réduire le potentiel militaire du Hezbollah est déjà acté, que ce n'est qu'une question de temps.

En règle générale, la défense est préférable à l'attaque, sauf en cas d'attaque surprise. Vu que tout le monde est à cran dans la région, pas d'effet de surprise à prévoir. 

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J'aimerais bien savoir ce qui a changer en terme stratégique pour croire que le résultat de 2006 se répétera pas en 2024? En quoi le rapport de force à changer en faveur d'Israël? Pour ma part quelque soit le désir de certain qu'il en soit autrement je vois vraiment aucune raison pour que les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets. EN fait il me semble que c'est bien plus probable aujourd'hui qu'en 2006 ou c'était incertain. 

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Il y a 20 heures, nemo a dit :

J'aimerais bien savoir ce qui a changer en terme stratégique pour croire que le résultat de 2006 se répétera pas en 2024? En quoi le rapport de force à changer en faveur d'Israël? Pour ma part quelque soit le désir de certain qu'il en soit autrement je vois vraiment aucune raison pour que les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets. EN fait il me semble que c'est bien plus probable aujourd'hui qu'en 2006 ou c'était incertain. 

Potentiellement, la volonté israélienne à accepter les pertes, ou l'incapacité accrue à envisager un dialogue avec des voisins potentiellement menaçants. 

Pour le reste, tout serait plus violent, plus long et in fine plus dur à cesser, le ticket d'entrée étant bien plus lourd. 

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il y a 14 minutes, Akilius G. a dit :

Potentiellement, la volonté israélienne à accepter les pertes, ou l'incapacité accrue à envisager un dialogue avec des voisins potentiellement menaçants. 

Pour le reste, tout serait plus violent, plus long et in fine plus dur à cesser, le ticket d'entrée étant bien plus lourd. 

Un argument intéressant. Dans une bataille de volonté celui qui est prêt à aller le plus loin est celui qui gagne. Il y a radicalisation des deux parties mais la donne matérielle a pas vraiment changer en faveur d'Israël. 

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Il y a 10 heures, nemo a dit :

Dans une bataille de volonté celui qui est prêt à aller le plus loin est celui qui gagne. Il y a radicalisation des deux parties mais la donne matérielle a pas vraiment changer en faveur d'Israël. 

Difficile d'apprécier la volonté israélienne d'accepter les pertes humaines dans le cadre d'un conflit au Liban. Je pense que c'est très dépendant d'un ressenti quant à une incapacité à ramener la paix au nord et que de nombreux israéliens s'interrogent quant aux effets éventuels d'un accord sur les otages à Gaza sur la situation au nord.

Sur la donne matérielle, elle est comparativement moins avantageuse qu'en 2006.... à début 2023.

Suite à la guerre à Gaza, il y a un sujet munitions, avec une incertitude américaine à lever. Il n'est pas impossible que le gouvernement israélien attende un président républicain pour valider ce point assez crucial et laisser remonter un peu les stocks au grès des livraisons américaines. Cela fait quand même perdre presque 6 mois... Et une guerre qui pourrait ensuite être longue, c'est pas terrible sur un plan économique... il faut garder en tête que pour le gouvernement de BN l'échéance électorale est 2026. Si la guerre dure tout 2025 et que le gouvernement peut proclamer avoir sauver le pays pour moultes générations, ça peut passer sur le papier...

Sur l'état des matériels, l'aviation a perdu des drones mais est intacte sinon, idem la marine. Il reste la question des moyens mécanisés. Des indiscrétions parues dans presse américaine font état de faiblesses dans les stocks de pièces pour les blindés et les bulldozer, ce qui constitue probablement un euphémisme pour indiquer des pertes de véhicules non négligeables et une indisponibilité de véhicules endommagés. Je peux me tromper, mais je ne vois pas trop l'armée israélienne adopter de nouvelles méthodes de combat avec le Hezbollah avant d'y être contrainte. Autrement dit, il faut du blindé lourd devant et l'infanterie derrière. Les stocks disponibles de merkava doivent encore être importants, l'enjeu me semble plus sur les namers. Les israéliens disposent de m113 en masse mais ils se font découper à Gaza alors au Liban ce n'est pas raisonnable. Le manque de transport lourds de troupes et la multiplicité des embuscades risque de conduire à une progression très lente. Avec une question sur ce qui restera en  équipement blindés après tout ceci...

Les pertes humaines potentielles ne sont pas un sujet à proprement parler démographique. Comme c'est le bordel permanent au sud et en Cisjordanie et que la négociation n'est pas au programme gouvernemental, l'armée à besoin de troupes disponibles. A ce sujet le bain de sang serait doublement déraisonnable.  

 

 

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en lien avec mes propos précédents : une pétition échoue à convaincre l'armée d'étendre aux femmes l'accès aux unités blindées de combat

https://www.jpost.com/israel-news/defense-news/article-810469

Motif invoqué : pas possible, on manque de char et de munitions "we emphasize that weapons in the Maneuverable Armor Corps, including tanks and armaments, are currently assigned to the war as priority over the expansion of training soldiers, including training female personnel for combat duty

Ce qui semble indiquer que l'armée ne manque pas de servants de char. Situation qui pourrait s'expliquer par un vivier de réserviste formé à l'emploi des merkavas ou par une proportion de pertes/indisponibilité de char très supérieure à celle des tankistes. En 2006, cette situation s'était rencontrée et s'expliquerait en partie par la conception des merkavas. 

son de cloche différente côté TOI, avec une thématique davantage tournée "pas de gonzesse dans nos blindés"

https://www.timesofisrael.com/idf-delays-tentative-pilot-program-for-female-tank-troops-by-another-year/

In an interview last month with Channel 13 news, the chief logistics officer for the 162nd Division, Lt. Col. Efrat Baruchyan, said the unit’s tanks were on average at 92 percent competency after nine months of fighting in Gaza. The network reported that some 500 tanks had been damaged in the war, but nearly all have returned to battle. The IDF is also in possession of hundreds of older models of Merkava tanks, used by reservist units. Many reserve armor units were activated in the early months of the war, but its members have since been released, meaning the pilot program could potentially be conducted using older tanks that are currently not in use.

Le dernier point me semble valide (disponibillité des mk2), pour le reste, je ne sais pas 

 

Modifié par Akilius G.
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https://www.smh.com.au/politics/federal/labor-works-to-cool-fear-of-israel-lebanon-war-as-wong-lambasts-israel-20240718-p5jusk.html

Le ministre [australien] de l'Immigration Andrew Giles a organisé une table ronde avec des dirigeants de la communauté libanaise pour discuter de la manière dont le gouvernement aiderait à évacuer les Australiens ou leurs familles au Liban en cas d'éclatement de la guerre.

Le gouvernement s'inquiète pour les plus de 15 000 Australiens au Liban, dont beaucoup sont en visite pendant l'été de l'hémisphère nord, et de la perspective d'une fermeture de l'aéroport de Beyrouth, comme cela s'est produit lors de conflits précédents, ce qui obligerait à des évacuations par voie maritime. Le gouvernement a renforcé son avertissement « ne pas voyager » ce mois-ci.

Dès octobre dernier, des hauts fonctionnaires du ministère des affaires étrangères et du commerce ont appelé les Australiens à quitter le Liban, craignant une répétition des évacuations lors de la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah.

En 2006, le DFAT disposait de trois semaines pour déplacer 5100 Australiens et 1200 ressortissants étrangers par ferry, avion et voie terrestre à travers la Syrie. Mais aujourd'hui, il n'est pas possible de traverser la Syrie par voie terrestre, les aérodromes sont inconnus et il y a moins de ferries disponibles en Méditerranée orientale.

Mercredi, le chef du groupe terroriste Hezbollah, soutenu par l'Iran, Hassan Nasrallah, a menacé d'élargir ses zones cibles en Israël si l'armée israélienne ne cessait pas de frapper des zones civiles au Liban. Le Hezbollah est lourdement armé et frappe régulièrement Israël.

M. Nasrallah a prononcé un discours télévisé à l'occasion de l'Achoura, jour de deuil pour les chiites, en citant des villes du Sud-Liban où, selon lui, Israël a récemment tué des civils. « Les missiles de la résistance viseront de nouvelles colonies israéliennes qui n'étaient pas visées auparavant », a-t-il déclaré.

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