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Napoleon vainqueur de la campagne de 1812 et suite des évènements de cette campagne...


Lathan
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Les choix politiques qui ce présente, et la préparation de la poursuite de la campagne :

 

L'abandon de l'Espagne portait un coup supplémentaire au blocus continental instauré par Napoleon, ou ici, on ce trouve a la croisée des chemins ou deux choix politique pouvaient changer la face du monde.

Soit, on revenait a l'ancienne politique, en abandonnant la poursuite de la campagne de Russie puisque l'étanchéité du Blocus Continental n'est plus assuré, en ce contentant de dominer l'Europe comme par le passé, mais ne réglant rien du problème Anglais et entrainant des guerres mais ce contentant de ce que l'on avait, sans assurer l'avenir de la France, et en ouvrant une brèche supplémentaire dans le blocus Continental, on renforce l'économie Anglaise et encourage sa volonté politique a poursuivre dans cette voie, ou il faut espérer qu'un changement politique ce fasse en notre faveur pour trouver une solution seulement temporaire, espoir bien mince, comme cela a faillit ce faire en 1806, avec les problèmes économique au niveaux européen du Blocus qui s'aggrave.

 

Soit on continue dans cette gigantesque entreprise ou ce joue le sort de la France et de l'Europe, pour mettre ensuite l'Espagne au pas, en signant un traité économique pour le faire rentrer a nouveau dans le Blocus Continental, jusqu'a que l'Angleterre abandonne si l'on ne trouve pas d'autres solutions pour régler le problème économique.


L'Angleterre ayant perdu son armée principale, aucun secours ne parviendrais à l'Espagne, de plus, si un traité d'alliance parvenait a lier le Tzar Alexandre remit au pas et revenu a de meilleurs sentiments, ou un Tzar Francophile, avec l'Espagne et la France dans une expédition militaire aux Indes, de 50 000H chacune et ce partageant de manière égale cette colonie et ses ressources, certainement Ferdinand VII n'y serait pas insensible et trouverait des compensations plus qu'intéressante, et lui ouvrirait la voie a d'autres marchés.

 

L'expédition ce ferait par terre afin d'assurer la réussite de l'opération. ( Déja prévu secrètement au traité d'alliance de Tilsit en 1807 avec les Russes.) (Authentique )

Il serait difficile pour l'Espagne de refuser une telle proposition avec tous les avantages économique qui en découleraient. Autrement la solution militaire s'imposerait, mais il est douteux que devant cet appat on en vienne a une telle extrémité, sachant que cette fois, avec Napoleon en personne, l'Espagne malgré la guérilla et sans aide militaire, succomberait.

 

Aussi, la réussite de la campagne de Russie, la perte de l'armée Anglaise en Espagne, la prise des Indes permettant de ce passer en partie du commerce Anglais, rendrait inutile la continuation du Blocus Continental et permettrait un nouveau souffle économique Européen qui en souffre.

La Russie redevenue allié, désormais libre de commercer avec l'Angleterre, devenue impuissante militairement sur terre, la domination sur l'Europe par Napoleon, sa victoire sur la Russie faisant plier les volontés bellicistes, le commerce redevenue normal grace a la prise de l'Inde changeant la donne économique ; la paix sur le continent pourrait s'installer pour longtemps.

 

Voila les choix qui ce présente, et l'Empereur a choisi la poursuite des opérations dans le but d'assurer l'avenir de la France, que des paix temporaires qui n'étaient que des armistices pour repartir aux combats après avoir refait ses forces.

 

Ceci fait, les problèmes économiques avec les deux crises agricole de 1810 et 1811 du au climat extrème de froid et de chaleur, suivit d'une remontée agricole en 1812 limitait les possibilités de ravitaillement, ce révélant insuffisant pour une nouvelle grande levée de troupes, et ce n'est pas les pays "alliés" déja chargés de contributions de guerres, et d'impots qui pouvaient venir en aide. ( Authentique pour les crises agricoles et les problèmes économiques. )

La solution intermédiaire consistait à prélever seulement 200 000H sur les 260 000H des troupes a évacuer encore d'Espagne, les envoyer en Allemagne séjourner jusqu'en mars, en laisser 60 000H en réserve, et nourrit par la multitude des états plutot que de le faire supporter par la France, faire partir le gros des forces en fin mars, ou en un mois ils pourraient atteindre jusqu'a Vistesk, pour démarrer une nouvelle campagne.

 

Ainsi, les bras des paysans ne manqueront pas et pourraient relever le niveau des récoltes si le climat reste stable, tant nécéssaire a la poursuite de cette campagne, ou le sol pauvre de la Russie ne permet pas aux armées de vivre sur le pays.

 

Ainsi fut décider la nouvelle préparation de la campagne.

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L'hiver Russe :

 

L'hiver passa, Koutouzov, refroidit par la lourde défaite de Vitebsk, ( et le souvenir de Beningsen à Eylau en février 1807, ) refusa d'attaquer le camp retranché Français devant ce que lui proposaient certains de ses généraux, faisant valoir la supèriorité des hommes du nord contre ceux du sud, en plein hiver Russe.
Les renseignements lui avaient fourni quelques précisions sur ce camp, inattaquable de face, ou un vaste lac l'en protégeait, ne laissant qu'un étroit passage, insuffisant pour attaquer, et des retranchements et fossés a la romaine, entourant le camp, malgré un hiver exceptionnellement froid, bénéficiait toujours du ravitaillement, n'empechant pas les français de bien le défendre.

 

Donc, malgré ce froid, ou les troupes Russes souffraient aussi, et obligé de s'étendre pour leur quartier d'hiver dans les localités autour de Vélikié Lukie, Koutouzov choisi d'attendre que de nouvelles forces ce lèvent, espérant barrer le chemin de Moscou si les Français l'attaque, en ajoutant les siennes, ou bien porter ailleurs ses coups, selon que les Français auront amené de forces nouvelles.

 

Ce froid exceptionnel s'arréta en début janvier pour reprendre des températures plus conforme a la saison repassant vers moins 8°, au lieu des moins 30° pendant 2  jours, les deux camps, proches des forets purent réchauffer leurs camps, malgré la présence de cosaques coté Français, étant a l'abri grace a des troupes qui veillaient.
Ainsi, l'hécatombe parmi la troupe et les chevaux fut évité pour chaque camps, a l'abri et mangeant à leur faim.

Seul les chevaux assurant le ravitaillement eurent a en souffrir, 10 000 chevaux périrent, mais c'était insuffisant pour porter un coup sèrieux a la troupe qui disposait d'un grand dépot de ravitaillement préparer depuis plusieurs mois, pour hommes et chevaux, sachant qu'elle deviendrait une future base d'opération et tenant compte des difficultés rencontrés en début de campagne.

 

L'Autriche assurait son propre ravitaillement, et la Prusse aussi, qui dépendait de leur pays.

 

Le printemps arriva, et avec lui, nombre de contingents Français, ( 200 000H partie d'Espagne ) ou en tout début mai, tous avaient pris leurs postes, près pour les futures opérations.

 

De meme les Russes avaient levés de nouvelles milices, regroupées autour de Moscou, près de 150 000H, a peu près autant que l'année passé.

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Préparation, et départ jusqu'avant la bataille :


En début mai, Napoleon arrivé avec les premières troupes, apprend la mort de Mikael Koutouzov survenu le 6 avril 1813 du a une scepticémie. ( Authentique pour son décès. )


Wittgenstein à pris le commandement de toute les troupes, et juge nécessaire la protection de Moscou avant tout, capitale religieuse de la Russie, elle ne doit a aucun prix tomber au main de l'adversaire, c'est aussi la pensée du Tzar.


Il réunit toutes ses forces autour de Vélikié Lukie, sonnant la fin du cantonnement, et prend la route de Bieloi et de Viazma qu'il atteind en 10 jours, le 26 avril 1813.


Sa stratégie ? retraiter jusqu'a Moscou et pratiquer la terre Brulée, puis livrer bataille aux portes de Moscou ou il espère donner un coup de buttoir en s'appuyant sur de bonnes défenses, et peut etre reprendre l'initiative et imposer sa stratégie et chasser les Français de Russie. ( Reprenant a stratégie de Koutouzov ) ( Authentique pour la stratégie. )


Quand à Napoleon, devant la certitude que les Russes ont quittés leurs anciennes positions de Vélikié Lukie pour défendre la route de Moscou, dont il faudra s'attendre a ce battre inévitablement devant leur capitale, il concentre ces forces et ses dépots de ravitaillements vers Vitebsk, qu'ils accumule en vu de la prochaine campagne.

Il a fait venir de France 20 000 conscrits ( milices ) qu'il envoient  a Reynier, renforçant son armée, et totalisant avec celui de Schwarzenberg, 90 000H, ou l'on suppose qu'une offensive Russe pourrait démarrer dès le Départ de Napoleon vers Moscou.


30 000 soldats prélevés de l'ancienne armée d'Espagne s'installeront en Pologne en juin, à Marioupol, ( sous Kovno,) et pourront servir de réserves en priorité au front de la Dwina ou défendre Vilna si l'ennemi réservaient des surprises et perçait la ligne de défense, étant donné que l'on ne possède que des informations générale mais pas des plus précises...


La campagne démarrera en début juillet 1813, après les moissons, tenant compte de l'expérience passé ou les chevaux sont morts par milliers du fait d'avoir a manger du blé encore vert ou par force, des pailles des chaumières. ( authentique )


Aussi, la cavalerie, l'attelage d'une partie de l'artillerie, compensé entretemps entièrement par la récupération de 400 canons temporairement perdu fautes de chevaux en 1812, placés au camp de Vitebsk, fera que l'on ne perdra plus autant de chevaux, et la nécessité de n'avoir plus a poursuivre les Russes comme en juin 1812, évitera de grandes pertes.

Voila pourquoi le choix de Juillet, vers le 15 au plus tard, ou l'on profitera de la moisson.


Entretemps, Napoleon fit encore créer de nouveaux dépots important autour de Vilna et au camp de Vitebsk, ainsi qu'a Grodno et encore des fours a pains.


Les conscrits furent entrainé a bien viser, ainsi qu'a toutes ses troupes, tenant compte de la tactique Anglaise en Espagne qu'on lui a rapporté, ou le feux a beaucoup influée sur le sort des combats, et s'aidant en s'appuyant sur des plateaux difficile à gravir.


Stratégie et Campagne :


9 juillet 1813, toutes les troupes sont réunit, hormis la cavalerie que l'on va bientot recevoir, l'une a Orcha, ( Napoleon ) l'autre à Vitebsk, ( Marmont ), on sait l'ennemi fort de 130 000H environ a Viazma, ( en réalité, 143 000H ) et d'environ 150 000H autres vers Moscou.


Il faudra donc marcher avant d'obtenir un résultat.


Le 12 Juillet, les 15 000 Polonais à Minsk, occuperont le camp retranché de Vitebsk que l'on évacuera.


Le 14 juillet,  la cavalerie est arrivée avec les nombreux attelages d'artillerie, ( avec la réunion des 400 canons récupérés de l'année 1812,) profitant pendant son parcours de la moisson qui a été faite, et perdant de fait peu de chevaux.


L'heure est arrivée ; Le 15 juillet Napoleon donne ses instructions, puis l'ordre du départ a ses généraux.


1. Prendre Smolensk occupé par 5 000 Russes, a moins qu'ils ne l'abandonnent, avec l'armée principale.


2. Macdonald et ses 18 000H occuperont, a mesure de notre progréssion, Vehj et Bieloi, jusqu'à la source de la Dwina, prolongeant notre protection par le nord devancé par l'armée venue d'Espagne commandé a nouveau par Marmont. ( 200 000H )


3. L'armée partira sur deux colonnes au départ, chacune divisés en trois colonnes pour chacune de ces armées, en prenant des routes parallèles pour progresser plus vite, l'une au nord, Marmont, ( 200 000H ) l'autre par Orcha, Smolensk, etc... Napoleon, ( 130 000H )  pour ce réunir tous vers Viazma en meme temps, Marmont légèrement en avance, si l'ennemi y est toujours installé et ne reçoit pas de renfort et accepte le combat, en le prenant de flanc par l'armée dirigé par Marmont, et de dos, en force, pour le couper de sa retraite grace à la nombreuse cavalerie en tete qu'il disposera, pendant que l'armée principale s'approchera assez avant de préparer et fermer le piege, ( ou rechercher rapidement la décision si les circonstances l'y oblige avec l'armée sud. ( Napoleon )  et si le piège fonctionne, renforçer son aile sud de notre armée  pour entamer un enveloppement qui rejoindrait celle de Marmont avec une forte aile de cavalerie.


Donner d'abord a l'ennemi a l'approche de l'armée nord, l'illusion de faible forces venant du nord, en présentant des rideaux de troupes cachant le gros des forces qui lui tomberont dans le dos et le flanc.


C'est une affaire d'heure ou chaque étape est comptée, le départ comme l'arrivée, ou la communication et la bonne synchronisation inter-armée entre en jeu, et permettrait de détruire cette armée Russe de Viazma.

Le tout est d'arriver en meme temps, d'ou une communication régulière entre les deux armées, et chiffrée.

 

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Pour aider a la réussite de l'opération, une nombreuse cavalerie légère devancerait les deux armées pour paralyser l'action des cosaques et de la cavalerie ennemie susceptible aussi de fournir des renseignements important.

Tous ce passa comme l'Empereur l'avait décider, sauf que Wittgenstein, prudent, préféra la fuite lorsqu'il apprit l'arrivé de Napoleon, après avoir fait replier bien avant les 5000 Russes de Smolensk sur son armée, et nouvelle plus grave qui le décida, celle d'une armée arrivant par le nord, dont on n'avait pu déterminer sa force quand elle s'approchait déja trop près, qui pouvait le prendre de flanc.

Cependant, c'était un peu tard pour ordonner la retraite a cause du manque d'information déterminant du a la nombreuse cavalerie légère Française, mais il prit ce risque plutot que d'affronter deux armées ensemble.

Marmont, ( 200 000H,) venant de Bieloi à 100 Km de Viazma, arriva perpendiculairement sur la colonne Russe en fuite avec plus de la moitié de son armée, 120 000H, et l'autre partie, prévoyant d'avance la manoeuvre donc déja séparé avant, a marche forcé coupa le chemin de retraite de Russes avec 80 000H.

Et certain que Napoleon arriverait sur ces entrefaites, complèterait la victoire.


Marmont forma deux colonnes d'attaque pour commencer la bataille de flanc contre les colonnes Russes en vu de la couper en trois partie pour mieux la réduire, tout en gardant a l'arrière sa ligne d'armée pour fermer le flanc a l'ennemi.

Wittgenstein, obligé de livrer bataille pour forcer le passage, ce défendre de Marmont, ses troupes étendu sur de longue colonnes sur des kilomètres, ne purent opposer une résistance digne de ce nom.


Et Napoleon arriva, voyant la situation, attaqua immédiatement l'arrière de la colonne avec une partie de sa cavalerie, pour ajouter au désordres, a la confusion et a la panique, lança l'autre partie par le sud, pour compléter l'enveloppement de l'armée Russe, suivie de la troupe, joignant la main a l'armée qui barrait le passage des Russes et en faisait autant autant de son coté.


De cette bataille du 10 aout 1813, dés 143 000 Russes, seul 35 000H dont beaucoup en cavalerie purent s'échapper, dont Wittgenstein, s'égaillant dans la nature et poursuivant ensuite parallèlement mais à longue distance et invisible, l'armée Française allant sur Moscou pour rejoindre l'autre armée.


L'armée Française avait perdu 15 000H et eut 30 000 blessés dans cette affaire, les Russes, pris en flagrant délit, percée, couper, encerclées, en panique, 40 000H; et fait prisonniers, 68 000H dont des blessés transportables.

Napoleon, détacha de l'armée de Marmont, 10 000H des moins bonnes troupes, pour ramener les prisonniers en France.


Maintenant Moscou était l'objectif.

Mais le fait que trente a quarante milles Russes pussent s'échapper, malgré les reconnaissances Françaises lancées a leurs poursuite, il fallait pour préserver ses arrières laisser une armée de 60 000H,  qui selon les renseignements pris sur la marche de ces Russes, suivrait en parallèle la route Orcha-Moscou dans la direction de manière a protéger la communication et le ravitaillement.


Le total de son armée était réduite de 25 000H, plus 30 000 blessés, et de 60 000H suplémentaire, totalisant après cette opération : 215 000H.


C'est pourquoi, Napoleon fit appeler les 18 000 de Macdonad pour le suivre, et lui faire prendre Position à Kaluga lorsque Napoleon arrivera devant Moscou pour  protéger sa ligne de communication et espérait le retour rapide des 60 000H, ce dont il ne doutait pas pour la future bataille qui allait décider probablement du sort de la campagne.

Mais il était nécessaire que sa ligne d'opération fut en sureté.


A la fin du jour d'après, pour le commandant des 60 000H, il était clair que les fuyards avec Wittgenstein prenaient bien la route vers Moscou, après une demi journée de repos forcé et dut aux blessés qui l'encombraient.


Les fuyards, manquant de tout pour le ravitaillement, arrivèrent a 23 000H vers Moscou, en évitant la route principale de peur d'etre rattraper et fait prisonniers.

Sur les 8 000 Russes qu'il perdit, une partie c'était rendu aux Français, d'autres avaient expirés de leurs blessures, les premiers purent manger, et furent envoyer en France, ou auparavant pendant plusieurs mois, ils furent employés comme ouvriers pour aider a produire du pains, ce dont ils ce tirèrent honorablement.


Les 150 000 Russes de Moscou, ayant appris la terrible nouvelle de la perte de la première armée, eurent le moral bien bas. Ceci augurait mal des jours a venir ou une bataille ce précisait. Son commandant décidant de ce porter malgré tout en avant, à Borodino, car disposant d'un excellent terrain défensif, ou il pensait recevoir l'aide de la première armée comme prévu dans leur stratégie, hésita a rester sur place.


Il ignorait tout des pertes Française, mais la supposa bien au dessus de ce qu'elle avait perdu, et quand apprit que l'armée Française s'approchait de Borodino, il ce demanda s'il fallait retraiter, ou bien faire face et sauver l'honneur, à défaut de gagner la bataille, et il ce décida a se battre.


Napoleon arriva à Borodino sur trois colonnes par des routes parallèles, après avoir reposer sa troupe deux jours et reçu le retour des 60 000H qu'il espérait voir rapidement revenir, d'ou cette halte inhabituelle.

Mais pour protéger son ravitaillement jusqu'a Smolensk, occupé par 3 000H pris sur les 15 000 Polonais du camp retranché,  il fut obliger de laisser une a deux brigade, totalisant aux maximum: 5 000 H a chaque étapes de quarante kilomètres, pour faciliter la marche du ravitaillement et la protéger des cosaques.


De sorte que sur près de 350 kilomètres, de Smolensk à l'arrivée sur Borodino, près de 50 000H pris sur l''armée étaient employé a la tache de protection de la ligne d'opération comme du ravitaillement, ( et établit en fortin ( authentique )faisant qu'a l'arrivée au futur champ de bataille, Napoleon ne disposait après les pertes que de 225 000H sur les 330 000H au départ de la campagne.


Deux heures après, l'armée arriva devant Borodino le 17 aout 1813, et fit ses dispositions pour ce préparer au combat.


Une journée passa, sans que rien ne bougea, conscient tous que l'avenir du monde ce jouait ici.

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Préparation de la campagne, d'avril au 15 juillet 1813

( Cliquez sur les cartes pour les agrandir )

 

 

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Du 15 juillet à la bataille de Viazma au 10 Aout 1813

 

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De la bataille de Viazma, arrivée à Borodino le 17 Aout 1813.

 

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Le sort des blessés :

 

Un mot sur les blessés, le pourcentage de perte après étude, donne une moyenne en pourcentage de 5 à 6% aux combats, et à l'hopital, entre 12 à 21% a l'extrème selon les régions de France, mais ce situe en moyenne autour de 15%.

( voir ici : https://www.persee.fr/doc/pop_0032-4663_1972_num_27_1_15097  ) 


Ce qui fait que les trente mille blessés de première la bataille de Vitebsk le 28 juillet 1812 encerclant les Russes, ceux non pris en compte de la deuxième bataille de Vitebsk de novembre 1812, que j'estimerais grossièrement a moins de 15 000H étant donnée la nature du terrain surplombant de quinze a vingt mètres celui des Russes sur l'essentiel du champ de bataille, ( dont 8 000 blessés légers étaient rentrés rapidement au camp retranchés de Vitebsk. )

 

( Plus la bataille de Pskov en septembre 1812, mais dont on pourrait estimer les blessés au nombre de 5 a 8 000H, du a la protection d'une partie du champ de bataille effectué en partie dans cette ville, s'ajoutant au 45 000 blessés, donnant plus de 50 000 blessés, dont des légers. )

 

Ceci occasionnerait un pourcentage total de perte moyenne d'environ 20% en tenant compte de l'étude des pertes, donnant pour les trois premières batailles : 10 000H de pertes définitive sur les  50 000 blessés, environ.

 

 

Restant : 32 000H, ( moins les 8 000H déja rentrer. )

Une partie des blessés de la première bataille de Vitebsk en plus des 8000H revenu de l'hopital, ont pu regagner en partie la base de retranchement de Vitebsk au cours de l'hiver 1812-1813, de sorte que je n'ai pas eu à décompter les pertes en blessés de la seconde bataille de Vitebsk, les compensant toutes.

 

Ce qu'il fait qu'il reste encore 9 000H dans les hopitaux qui rejoindront leurs unités au cours de l'été, et seront incorporés dans l'armée de Napoleon.

 

( Je ne complique pas la tache en comptant les déserteurs, ceux partis en congés, les licenciés, ceux rayés a l'hopital et rayés pour longue date, mais dont on pourrait retirer probablement autour de 10% des 50 000 blessés en tenant compte de l'étude. )

 

En définitive, pour etre juste, il resterait encore environ 4 000H a cette date du 10 Aout 1813 sur les 50 000 blessés a minima, qui rejoindraient leurs corps d'armée au lieu des 9 000H escomptés.

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Borodino 19 Aout 1813 :

 

 

( J'ai repris les dispositions de la bataille de Borodino qui étaient les plus sensé et qu'ils auraient repris, rajoutés quelques divisions, des corps d'armées renforcés, donne le résultat de la carte ci dessous )

( Je ne compte pas le combat de Schewardino, ou les Français arrivés trop tot,  ( historique en 1812 ) empéchèrent la finition de ses fortifications, faisant que les Russes abandonnèrent cette position sans combat.)

 

Avant le combat, des tableaux des saints ont circulé le jour avant le combat pour tenter d'électriser le soldat Russe, mais le moral n'y était pas, trop de défaites restaient dans leurs esprit, tandis que l'Empereur y allait de sa proclamation aux troupes, faisant valoir la nécessité de vaincre et tous les avantages qui en découlerais comme espérer aussi la paix à Moscou, ce qui eu le don d'électriser les soldats qui croyaient gagner la paix rapidement.

 

Français : 225 000H      Napoleon : génie militaire, et sachant exploiter la moindre faute et la faire payer aux maximum.

Russes : 173 000H         Wittgenstein : Bon général

 

Météo : Ensoleillé.

 

Moral : Excellent moral chez les Français, mauvais chez les Russes après tous les désastres survenu depuis le début de la campagne et au choc moral de la derniére bataille en particulier.

 

Valeur des troupes : les vétérans constitue l'armée de Napoleon, tandis que les pertes Russes ne laisse plus que des milices, soldats inexpérimentés.

 

Terrain : le terrain chez les Russes ce prete bien a la défense, de plus, des redoutes ont été installées pour présenter des obstacles important, à défaut d'avoir de bonnes troupes.

 

Le ravitaillement : il a pu suivre sans etre intercepter malgré l'intervention des cosaques, la ligne d'opération est bien protégée et remplit bien son role grace aux 50 000H qui la protège jusqu'a Smolensk, repris par les Polonais après.

 

 

La bataille : conforme a la bataille historique de Borodino 1812, a part que les Russes ont 43 000H de plus et des divisions un peu plus épais, et pour les Français ayant environ cent mille hommes de plus que dans l'histoire, pour simplifier, tous grouper sur la carte.

L'artillerie : elle donne 720 canons chez les Russes, mais pour l'Empereur, décidé a obtenir la victoire par le feu, a minima, et employant les quatre cents canons récupérés de l'ancienne campagne de 1812, il dispose de 1200 Canons, dont il compte préparer la victoire.

 

La Stratégie : Elle est simple pour les Russes, il s'agit de résister le plus longtemps possible et infliger le plus de perte, de bien tenir et défendre les redoutes, une des positions cléees du champ de bataille.

Du coté d'Outitsa, il ont placés 45 000H en réserve dont de la cavalerie.

Pour le reste de l'armée, il s'agit de tenir sur des positions défensives naturelles et espérer tenir malgré la différence importante des forces.

Ils ignorent encore l'importance si grande de l'artillerie Française.

 

Pour les Français, Napoleon compte percer le front Russe en passant entre les deux redoutes (Authentique en 1812 ) avec la masse principale de ces troupes, ( historique ) mais auparavant, installer une formidable artillerie de 900 canons pour écraser les défenses des redoutes, de meme les éventuelles troupes chargées de la défense de ce front.

Davout, avec ces 15 000H, Poniatovsky avec ses 20 000H et le corps de 30 000H dirigé par Marmont, attaqueront la région d'Outitsa et le sud des Trois Flèches dont Davout contournera les défenses.

Ils disposeront de 220 Canons.

 

Cela dans un premier temps. Ensuite, le centre Russe enfoncé, l'infanterie suivit de l'artillerie s'enfoncera dans le centre Russe, stoppant les attaques Russes, idem a sa droite avec les corps Davout, Poniatovski et Marmont représentant tous ensemble l'essentiel de l'armée, avec la cavalerie, le tout bien structuré et préparé pour éviter la confusion, afin d'atteindre au plus vite la rivière Moskowa et enfermer les troupes Russes dans cette nasse ou ils ont cru ce mettre à l'abri, et occuper et tenir la route de Moscou.

C'est pourquoi, avant meme l'engagement, il avait vu cette faute et comptait en profiter en massant le gros de ses forces tel qu'il la fait
. ( Authentique en 1812, seule la malchance a fait échouer ce projet.)

 

Eugene face à Borodino, disposera de 80 Canons et pourra s'imposer face aux feux de la Grande redoute et arrosera le plateau et fera mine de menacer et déboucher de la ville lorsque l'occasion pourrait ce présenter pour retenir une partie des divisions Russes.

 

Le combat ce déroula comme l'avait prévu Napoleon, ses généraux commandant les troupes du centre ne furent pas éliminés, comme ce fut le cas historiquement et purent conduire la bataille sans perdre vingt précieuse minutes qui avait permit dans la réalité d'envoyer a temps la réserve Russe pour stopper leur avance, et donner la bataille frontale que l'on a connu. ( Authentique )

Les Russes envoyèrent bien des réserves, mais trop tard pour empécher la catastrophe, et voir tomber les premières défenses des Trois Flèches, puis perdre le plateau central derrière ces positions, ou la formidable artillerie Française empécha toute contre attaque de réussir et nettoya rapidement la plateau.
Ceci prit du temps, mais le résultat fut a la hauteur des espérances.

A sa droite, progressaient les corps, Davout, Poniatovski et Marmont, ou grace a leurs supériorité numérique, purent déborder largement leurs adversaires qui n'eurent d'autres choix que de ployer et retraiter devant eux.

 

 

Eugene, constatant l'affaiblissement progressif du front Russe, attaqua au bon moment les Russes commençant a reculer de Borodino, voyant que la bataille tournaient mal pour eux, tout en laissant une division pour garder ses arrières et Grouchy avec sa cavalerie, qui reçu l'attaque des cosaques de l'Hetman Platov, mais pu les repousser.

 

Avant la fin de la journée, la plupart des Russes étaient enfermés dans cette nasse que constituait la Kolocza et la Moskowa.

Le canon tonnait toujours et infligeait des pertes trés importantes aux Russes.

 

La batterie de 102 canons à Wagram avait suffit pour faire céder le centre Autrichien. Là, la faible artillerie Russe rescapées des combats ne pouvait soutenir la comparaison, écrasé par une immense artillerie sur laquelle Napoleon avait beaucoup compté, et ses artilleurs, encouragés, et comprenant l'importance de l'enjeu de la bataille après la proclamation de Napoleon avant le combat, firent merveille.

 

Plus de la moitié de l'armée Russe avait péri, et 45 000 milles prisonniers furent le résultat de cette bataille.

 

Seul, 33 000 Russes avaient pu s'échapper de ce piège préparé par Napoleon.

 

Grace a la formidable artillerie, au fait que tout ce déroula comme prévu, Napoleon n'eut que 8 000 morts et 23 000 blessés.

 

( Voir wikipédia, il n'y a eu que 6 562 morts et 21 450 blessés. )

Là, la formidable artillerie explique cette grande différence avec le fait qu'elle a suivit la progression des troupes.

 

Malgré une belle défense, les Russes encerclés abandonnèrent le combat, le moral n'y étant pas influença pour beaucoup leurs décisions, ainsi que la suite de défaite continuelle subit depuis le début de la campagne de 1812, qui ne contribua pas a améliorer leur moral.

 

La Garde ne donna pas.

 

La route de Moscou était ouverte.

 

 

 

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L'incendie de Moscou :

 

Les 33 000 Russes, toujours commandé par Wittgenstein, retraitèrent vers Kalouga.

Napoleon l'ignorait, puisque Wittgenstein feigna de prendre la route de Moscou, pour bifurquer ensuite sur Kalouga, ou Il y espérait recevoir plus tard des renforts, et de cette position, peut etre attaquer et intercepter du ravitaillement Français. C'est tout ce qu'il pouvait faire en attendant, car pas question de disputer l'entrée de Moscou à Napoleon avec le peu de troupe qu'il disposait.

 

En attendant, il dépecha un messager pour annoncer au Tzar le terrible désastre qui était survenu, avec la nécessité de l'abandon de Moscou.

 

Devant tous les blessés, la nécessité de conduire les prisonniers Russes a l'arrière avec une escorte de 8 000H, et devant le résultat si décisif de la bataille,  Napoleon resta deux jours sur place, jusqu'au 21 Aout.

Il laissa 9 000H en attendant pour soigner les blessés des deux camps.

 

Le 20 aout, il réunit ses généraux et maréchaux, les félicita, et distribua des titres et récompenses.

 

Tot le matin, le 21 aout 1813, il ce prépara pour partir en journée pour Moscou, ou il pensait obtenir la paix devant un si grand désastre subit par les Russes.

Mais il lui fallait assurer ses flancs. Il envoya Ney vers Kaluga avec 45 000H, a mi distance entre Gjatsk et Kalouga, le temps que Macdonald le rejoigne avec ses 18 000H, et lui laissera la moitié de son armée sous commandement d'Eugène, entretemps, et selon la situation en cours, rejoindra Napoleon à Moscou s'il y a nécessité immédiate, ou bien, Marmont, en lui abandonnant l'autre moitié de son armée. Mais Ney, reviendra vers l'Empereur.

 

Pourquoi envoyer autant de troupes vers Kalouga ? La raison en est simple, les plus de 30 000 Russes estimés par Napoleon s'échappant du piège de Borodino, n'avait que deux directions possible sérieuse : Moscou, ou bien le sud, avec la possibilité de menacer les communications des Français.

Le nord étant exclus, étant trop peu civilisé et habité, et trop boisés.


Marmont avec 20 000H s'installera a mi chemin entre Rjev et Gjatsk.

10 000H resteront à Gjatsk, et 10 000H iront à Viazma, renforçant déja les 5 000H assurant la protection du ravitaillement, et pourront constituer une réserve pouvant intervenir là ou la demande s'en fera sentir prioritairement. Ils assureront en attendant la défense de ces villes stratégiques.

 

5 000H seront laissés entre Gjatsk et Moscou, assurant la protection du ravitaillement.

 

Et avec les 87 000H qui lui resteront, il entrera à Moscou, dont il est certain qu'il n'y aura aucun combat, vu le trop peu de troupes Russe a lui opposer, plutot qu'y perdre ce qui reste de leur l'armée.

 

Il arriva le 24 Aout 1813 à Moscou. Tous les quartiers étaient vides de leurs population, a part quelques rares habitants.

 

Etonné de ne voir personne l'accueillir, pour lui remettre les cléees de la ville en signe de soumission officielle, Napoleon en pris son partie, mais comprit que la guerre pourrait continuer et que la paix serait probablement a chercher à St Petersbourg.

Il s'installa au Kremlin. Deux jour après, un vaste incendie fit rage à Moscou. On arréta des incendiaires, et tous dire qu'ils en avaient reçu l'ordre du gouverneur général de Moscou : Fedor Rostopchine, pour ne rien laisser aux Français, et montrer que les Russes ne s'avouaient pas vaincu.

 

L'incendie ce propagea, et presque toute la ville fut brulé.

On ne sauva qu'avec peine du ravitaillement pour l'armée qui campait désormais en dehors de la Ville.

 

Quatorze jours après la date du 19 Aout, le 2 septembre, Napoleon reçu la réponse du Tzar Alexandre de la lettre qu'il lui fit envoyer par un officier Russe prisonnier au soir de la bataille de Borodino.

Celui ci lui donna son accord pour négocier, et lui envoya un de ces officiers, avec pour instructions secrète, de faire durer la négociation le plus longtemps possible.
Alexandre, comptant encore sur l'hiver Russe et sur la levée de nouveau renforts, ayant aussi appris l'incendie de Moscou, l'encouragea à résister.

 

Les négociations commencèrent, sans jamais apporter de solutions convenable, et le temps passa.

 

Napoleon avait voulu espérer, mais il comprit que la seule solution passerait par les armes pour dénouer le noeud Gordien.

 

Douze jours après, le 14 septembre, Napoleon rompit les négociations, et il donna l'ordre du signal du départ.

 

( Il avait apprit lorsqu'il était de retour à Paris, que le climat pouvait etre combien terrible, malgré ses études faites sur vingt ans en arrière ( Authentique ), et l'hiver 1812 avait été de ceux là, aussi, il ne voulut pas risquer le sort de son armée. )

 

C'est ainsi qu'il prit le chemin du retour, mais en passant par Maloïaroslavets pour éviter la route déja pillé a l'allée, et le fit sans rencontrer de résistance, étant trop fort pour l'ennemi, ( maintenant a 55 000H,) après avoir ralliée, Marmont ( 40 000H , qui reçu 20 000H de Ney ).

MacDonald, ( 45 000H ) et les 10 000H de Gjatsk et de Viazma ce regroupèrent, formant une armée de 65 000H, défendant la route de l'allée, et donner l'ordre aux brigades de 5 000H chargés de veiller a la protection du ravitaillement établit par étapes, de ramener leurs unités en arrière a mesure de recevoir cette armée, et reculant a mesure de la progression de l'armée Principale de Napoleon pas trop éloigné en descendant à Kalouga et restant a cette hauteur, pour y recevoir par étapes prévu a l'avance, du ravitaillement pour eux aussi, tout en profitant aussi des ressources du terrain qu'ils traversaient...

 

( Les 23 000 blessés de la bataille étant déja évacués a l'arrière, avec les 9 000H chargés de les soigner. )

 

Ainsi, l'armée principale pu progresser sans avoir a subir la famine, a travers des régions non dévasté par l'armée Russe de Wittgenstein qui les suivaient a une bonne distance.

 

Ils purent regagner leur base sans grands problème, les camps retranchés d'Orcha et de Vitebsk, sans subir de froids intense, au 1er novembre 1813, ou l'armée cantonna sur leurs positions pour l'hiver.

 

Macdonald alla regagner Glubokoé avec ses 18 000H.

 

Voici la carte de l'incendie de Moscou :

 

 

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La fin de l'Opération et la retraite :

 

Moscou brulée, n'entre plus dans aucune combinaison stratégique ni politique, d'ou l'abandon de cette ville.

 

Certaines garnisons seulement sont représentées. ( 5 000H chacune, totalisant de Moscou et au delà de Dorogubuj : 50 000H protégeant la ligne de ravitaillement et d'Opération. )

 

( Je n'ai pas chiffrés les deux réserves a 10 000H chacune, occupant Gjatsk et Viazma sur la carte. )

 

 

( Je ne compte pas le reste de l'armée repassant par la meme route jusqu'à sa base, et récupérant au passage toutes les garnisons assurant la protection du ravitaillement. )

 

Météo : 1er Nov, pluie, température : 5°.

 

 

Résultat des pertes, et autres fronts :

 

Blessés :

 

Sur les 30 000 blessés de la bataille de Viazma, il y eut 4 800 morts

 

Sur les 28 000 blessés de Borodino 1813, il y eut 4 200H morts.

 

(  Tout ceci est conforme en pourcentage a l'étude faite sur la periode du 1er Empire pour les morts et les blessés. )

 

 

Total restant de l'armée en campagne partie à 330 000H, dont ceux revenu aux camps, ayant la charge de reconduire les prisonniers Russes, il reste : 288 000H, en décomptant aussi les 33 000 morts des combats.

( Je ne compte pas les petites pertes légères du a l'intervention de cosaques sur la ligne d'opération, dont des garnisons furent l'objet d'attaques, ne dépassant pas probablement 1000H durant toute cette opération.)

 

 

Fronts :

 

Le front Nord et Sud, resta calme.

 

Schwarzenberg avait conclu un accord secret dans lequel il n'attaquerait pas les troupes de Tormasov (  authentique )

 

Le Tzar Allexandre, déçu de la tournure de la négociation et n'ayant pu retenir Napoleon jusqu'à l'hiver, dut ce contenter de créer de nouvelles divisions qu'il réunit autour de St Pétersbourg.

Fédor Rostopchine, ayant répandu le faux bruit de l'incendie de Moscou attribués injustement aux Français, fit crier vengeance a nombre de paysans qui s'enrolèrent pour ce battre.

De sorte qu'a la fin de l'hiver 1814, Alexandre disposa de près de 110 000H.

 

Et 100 000H supplémentaire s'ajouta fin mars des régions de l'Empire pour ce réunir vers St Pétersbourg.

 

 

 

Voici la carte des opérations a partir du 21 Aout jusqu'au retour des troupes pour l'hiver :

 

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Stratégie : pourquoi des batailles aussi décisives ?

 

L'Empereur a pu obtenir en juillet 1812, avec l'élimination de l'armée Russe sous Vitebsk, une supériorité numérique et dans la valeurs de ses troupes,  que l'ennemie ne peut plus lui contester, ni rattraper, ne pouvant plus lui opposer que de la milice inexpérimentées, comme le comptait la stratégie de Napoleon pour commencer la campagne de 1813. ( Authentique.)

 

Le fait qu'il choisisse le cantonnement que la poursuite, lui permet de libérer de la cavalerie pour récupérer toute son artillerie perdu, soit dans les quatre cent canons en début de campagne, fautes de chevaux suffisants pour les tirer, morts pour beaucoup d'avoir mangés du blé encore vert ou des chaumes des toits de chaumières, les faisant périr par milliers. ( Authentique comme histoire )

 

La puissance feu a pris une proportion telle, quelle fait beaucoup dans les combats, et le matériel Russe, perdu en grande quantité ne permet pas de remonter la pente pour s'opposer a combat égal avec celui de Napoleon.

 

Le cantonnement déja préparer assez tot par la logistique, a permit de protéger hommes et bètes des grands froids historique de 1812, et le ravitaillement a pu suivre, sans devoir parcourir des distances trop importantes et ce déroulant encore dans une bonne saison lors des opérations de 1813, dont Napoleon veilla a quelle ne ce déroule ni trop tot, ni trop tard.

 

Ce qui permit dans ce scénario, numériquement et en qualité et grace a ses manoeuvres, de battre les armées dont il comptait ce charger, en comptant celle de la Dwina battu à Pskov, et dans la campagne suivante.

 

La cavalerie n'ayant pas subit l'hécatombe de la retraite de Russie, plus la cavalerie venu de France et d'Espagne, lui permit des manoeuvres rapide d'encerclement sur une armées prise en flagrant délit, du aux dispositions tactiques en rideaux pour empécher l'ennemi de s'informer correctement sur les forces réelles de l'adversaire, ni de ses véritables intentions, sauf quand il était trop tard, comme ce fut le cas pour Mack en 1805.

 

 

Et la nouvelle campagne de 1813 démarre au bon moment, profitant des moissons, dont la cavalerie venue de France et d'Allemagne, entre autre, a pu profiter pour sa remonte... des dépots accumuler durant toute la période et des nombreux fours a pains construit à la demande de L'Empereur, ont permis de passer l'hiver sans trop de casse, et le fait que le camp soit a l'abri de surprise a éviter une guerre d'hiver normalement favorable aux Russes, mais dont l'exemple de février 1807 par Bennigsen, n'a pas été concluant à Eylau.

Et avec la milice, s'engager contre des troupes ainsi protéger par le camp, et leurs grande expérience, a fait reculer Koutouzov qui choisit sagement la prudence, ne voulant pas risquer son armée.

 

C'est le manque d'endurance de la milice dans les marches et le combat, et le manque d'officiers de valeurs, les commandants, prisonniers lors du premier combat d'encerclement, hormis Wittgenstein, et avec la nombreuse cavalerie de Napoleon supérieure numériquement et en valeur a celle de l'ennemi qui ont permis de triompher si rapidement à Viazma contre une longue colonne en marche, étendu sur des kilomètres, qui a pu etre percés, encerclé, pour en finir le plus rapidement possible et donner un autre coup décisif, comme a Borodino, ou Napoleon appliqua son plan tel qu'il l'avait conçu en 1812 historiquement, sans que la malchance intervienne pour le gacher. ( Authentique.)

Le moral ayant une grande part, avec l'accumulation de défaites continuelle, les Russes le payèrent cher à Borodino, résultat de leur stratégie et conséquence inéluctable et logique dès la première bataille perdu de 1812.

 

Si le Tzar Alexandre persiste apparemment contre le bon sens, après avoir perdu une nouvelle armée à Borodino, c'est qu'il craint d'etre assassiné s'il cède, et il suppose encore que le climat pourrait lui venir en aide, a condition que les opérations durent plus longtemps que prévu.

De plus, il avait acquis la certitude d'etre missionné par le Divin pour battre Napoleon, et remettre l'ordre ancien en Europe en ré-installant la monarchie en France, ( Authentique ) mais avec les défaites, il n'y croit plus trop.

 

C'est donc par crainte et entètement qu'il continue la lutte...( Et cela fera plaisir aux lecteurs.)

 

Mais Napoleon n'a pas abattu toutes ses cartes.

 

Mais si les lecteurs choisissent la difficulté, et la perte de la campagne, il est possible de le réaliser. A vous de voir. Mais cela reposera sur une base réaliste et logique, pas fantaisiste, et fera partie des potentialités qui peuvent survenir.

 

Ou bien je vous mettrais les deux scénarios.

Qu'en pensez vous ?

 

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Dispositions prévue par Napoleon pour l'hiver :

 

Un jour après son arrivé au camp retranché, le 2 Nov 1813,  Napoleon jugea de la situation stratégique, étant donné que Moscou n'a plus de valeur stratégique, ni politique, ni religieux, l'ennemi ce concentrera sur ce qu'il a encore à défendre, St Pétersbourg, ou il faut s'attendre a ce qu'il y réunira toute ses nouvelles forces venue de l'Empire, et fera le maximum pour éviter la défaite.

Le centre de gravité a changé, le danger principal vient maintenant du nord.


On dispose d'une ligne de défense trop faible sur la Dwina au cas ou elle serait attaquée, ou, pour s'opposer a ces nouvelles forces Russes qui ce ressembleront, dont on peut les estimer a l'avance a plus de 200 000H, nécessite une re-disposition des forces.

 

Aussi, 100 000H sur les 288 000H, plus les 14 000 Polonais, sur les 15 000H, quitteront les camps retranchés pour ce mettre en route pour Minsk immédiatement.

Smolensk sera garder par 1000 Polonais, elle n'a plus l'importance stratégique d'alors depuis que Moscou a brulé.


MacDonald, et ses 18 000H, vont reprendre leur ancienne position à Glubokoé, dans six a sept jours.

 

Toute ces troupes formeront une réserve de 305 000H dans cette région, pouvant ce réunir rapidement en cas d'attaque surprise.


En Pologne, à Marianpol, 30 000H protège déja l'arrière du front, qui avait été prélevés sur les 60 000H encore disponible.

Donc, les 30 000 autres restant les rejoindront en mars.

 

 

Les depeches reçu de Paris annonce une nouvelle crise agricole, ( Authentique ) aussi, il n'y aura aucun prélèvement de nouvelles troupes en France afin de ne pas diminuer le rendement agricole pour l'année suivante, et lui permettre de remonter.

J'estime les forces encore suffisante contre la Russie.
Il faudra remplacer les pertes qu'a subit la cavalerie et l'artillerie.

 

La bourse après sa chute en 1812, ( Authentique ) , remonte, devant les résultats de la campagne de cet année qui continue d'etre favorable.

 

C'est une année décisive, et l'Angleterre va certainement jeter son poids financier dans la balance pour aider la Russie, et va probablement tenter de remuer l'opinion afin de fomenter des révoltes en Allemagne, en Prusse et en Autriche.

Heureusement, près de 180 000H surveille ces deux dernier pays.
L'Allemagne, morcelé, ne peut qu'attendre de l'aide pour etre dangeureuse.

 

Quand à l'Espagne, elle revient vers l'ombre et le passé, alors qu'on tentait de l'en sortir pour la ramener vers le siècle des lumières, elle supprime nos réformes bienfaisantes. (Authentique )

Mais plus de danger avec elle, elle a trop de problème intèrieur a régler du à Ferdinand VII, loin d'etre un homme des lumières, mais seulement du passé, pour etre une menace potentielle pour la France, et avec une Angleterre privé de son armée pour intervenir sur le continent, ne l'incitera pas a vouloir nous attaquer.

 

Voila pour la stratégie et la politique.

 

 

 

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Comme vous le remarquez, je ne prend pas en compte les pertes du aux maladies, a la désertion, qui ne sont pas quantifiable, pour simplifier le scénario.

 

Résultat des nouvelles dispositions au 20 Nov 1813 :

 

 

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Hiver 1813-1814 :

 

Retour de Napoleon à Paris en novembre :

La nécessité de conduire les affaires de la France, de tenir les rènes du pays en y étant présent et pour empecher de possible complot ce préparant en son absence, pour rassurer le peuple, obligea Napoleon à revenir à Paris pour quelques mois, jusqu'en mars, en laissant comme par le passé le commandement de l'armée à Murat Roi de Naples, et pour la question militaire, Davout, ou arrivé a la capitale, il s'occupa immédiatement des finances qui avait rechuté, et du problème agricole qui faisait de meme, sans parvenir a le résoudre, et ou l'effet du Blocus Continental y avait aussi sa part. ( Authentique )

 

Juste avant l'arrivée de l'Empereur, Savary, ministre de la police, déjoua une tentative de coup d'état du général Malet, qui échoua de justesse.
Napoleon, quand il l'apprit, en fut mécontent, car aucun n'avait pensé a son fils, l'Aiglon, et il mesura la fragilité de l'Empire.

Il fallait au plus tot conclure cette campagne de Russie.

 

Il prépara la remonte de sa cavalerie, prévoya l'augmentation de ses chariots et chevaux pour le ravitaillement, ou l'armée devra suivre leurs rythme, afin de ne pas y perdre trop d'homme.

 

Il ce renseigna sur la Prusse et sur l'Autriche et ce que lui rapportaient ces espions, notamment par un certain schulmeister, qui lui révéla que la Prusse était au bord de l'explosion avec la Tugenbund derrière malgré que la ligue fut interdite par Napoleon, puis par le roi de Prusse en décembre 1809, mais que le roi y veillait par intéret a quelle n'éclate pas.

( La ligue entre alors en clandestinité, et vise les milieux étudiants et militaires. Nombre de ses membres parviennent aux plus hautes fonctions du royaume, et ses idées inspirent les réformes administratives, économiques et militaires que connait alors la Prusse.) ( Authentique.)

 

 

Quand a l'Autriche, elle n'est pas une véritable allié, et Napoleon s'en défiait avec raison.

 

Il donna des ordres pour faire rapprocher un corps d'armée de 20 000H devant Berlin, à Gardeleden, au nord ouest de la ville de Magdebourg, pour faire comprendre au roi de Prusse que la France ne tolèrerait pas un soulèvement possible du pays sans conséquence immédiate, car disposant encore d'une armée de 180 000H environ, qui surveillait ses "alliés..

 

Signal qui devrait etre aussi comprit par l'Autriche et Metternich, sans avoir besoin de les menacer, ce dont ils prirent note, et qui apaisa par force leur attitude politique en pliant devant la nécessité, et en laissant au placard la tentation de la trahison envers Napoleon.

L'Autriche fit des voeux pour la perpétuation de l'alliance avec l'Empire, avec un fort regret de devoir s'y soumettre.

( Jamais l'Autriche n'a été un allié sincère avec la France. )

 

 

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Quand a l'Angleterre, ses espions lui apprirent qu'elle disposait d'une armée de 100 000H, après une nouvelle levée de troupes, afin d'inquiéter les cotes Françaises.

Aussi, il prévoya la levée de 60 000 Conscrits, de 10 000 Hollandais et 20 000 Italiens comme armée de réserve, dont 20 000 Conscrits s'installeront à Paris, et les 70 000H autres, en Allemagne de l'ouest, proche du Rhin.

 

En Russie :

Wittgenstein, fit son possible pour soulever la population Russe contre les Français, en les enrolant dans son armée, ou tout allait ce jouer l'année qui vient.

 

Il fit renforcer Novgorod, porte d'entrée de St Pétersbourg en cas de combats futur.


En stratégie, il fit la remarque a ses généraux que Napoleon avait toujours pris l'offensive en été, et qu'il serait bien de les devancer dès qu'il auraient une force dépassant largement les 200 000H et qu'il réfléchissait au moyens d'infliger le plus de perte possible, a défaut de vaincre, avant d'avoir a reprendre la route du Nord, si l'offensive n'était pas concluante.

 

Il tira partie des expériences du passé, ou l'artillerie ennemie fit une telle différence a la bataille de Viazma et surtout Borodino, qu'il commanda au moins 300 canons de plus, car sur les 1 600 canons que la Russie disposait au départ en 1812, il n'en restait que 700 Canons.

 

Manquant encore de moyens suffisant, la logistique insuffisante, Wittgenstein dut ronger son frein pour tenter de prendre l'initiative au printemps 1814.

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L'attaque Russe du printemps 1814 :

 

Wittgenstein dut attendre le printemps pour voir ce compléter ses armées, totalisant 270 000H, plus qu'il en attendait. Hélas, tous inexpérimentés.

 

Sachant qu'il ne ferait pas le poids malgré tout en attaque frontale, il résolue une attaque sur la Dwina et sur Vilna, dépot principal des Français, qui, s'il était brulé, nuirait grandement a la campagne de Napoleon qu'il préparerait.

Ses généraux réunit en conseil approuvèrent, et certains, voulurent meme porter une offensive importante dans le meme temps, sur les arrières de la première base d'opération de Napoleon, dérrière le Niemen, en portant le chaos en Pologne du nord est, couper le ravitaillement passant par là pour les affaiblir davantage, puis ce retourner contre les Français pour leur porter des coups sévères, en exploitant aux maximum la situation.

Wittgenstein refusa, c'était faire prendre trop de risque a l'armée Russe.

Certe, l'on pouvait y porter le désordre et la destruction, mais sans pouvoir y rester longtemps, c'était surtout un raid pour faire gagner du temps aux Russes et ce renforcer davantage pendant l'été en ralentissant les opérations de Napoleon par ce moyen.

Si l'on tentait une telle manoeuvre, c'est nous qui nous nous retrouverions coupé de nos bases et rejeter vers la mer par une attaque venant de l'est, et condamnerait la Russie du meme coup.

 

( Il faut savoir que peu de généraux Russe était instruit sur le plan militaire, ( Authentique )  et toutes les pertes subie n'avait pas arranger la situation.)

 

Stratégie :

Wittgenstein, avait réunit le 30 mars, ses troupes autour de Liutzin, 240 000h sur les 270 000H, laissé 10 000H à Pskov, sa base d'opération, et 20 000H a bonne distance du corps Prussien de Yorck, montrant qu'il n'avait pas l'intention de les attaquer, afin de les ménager politiquement quand leurs reconnaissances les découvriront.

 

Trois jour après, Dvinaburg et Drissa étaient attaqué par 30 000H chacun, détecté seulement 12 H avant.
Devant le nombre, ils repassèrent derrière la Dwina et interdirent aux Russes la traversée des ponts.

10 000 Russes occupèrent chacune de ces deux villes, et le reste constitua une réserve de 40 000H a Sebej, et 105 000H à Opochka, afin d'assurer les arrières.

 

Et 35 000 Russes passèrent la Dwina...suivit de forces importante.

 

Devant cette situation, la Garnison de Drissa ce replia sur MacDonald, et celle de Dvinaburg, vers Kovno, pour en défendre le passage quand ils apprirent qu'une puissante force avait franchie la Dwina, mettant en péril la ligne défensive du nord.



Napoleon, de retour a la mi mars, avait fait installer en 1812 le télégraphe Chappe, de sorte qu'il apprit la nouvelle en moins de trois heures de temps, et relié le télégraphe a ses généraux, Davout, MacDonald, et au corps d'armée en Pologne, maintenant a 60 000H, dont Augereau avait pris le commandement.

 

( Napoleon avait apprit par ce moyen, l'attaque Autrichienne en 1809, ou mille kilomètres plus loin, en 8 heure, il apprit la nouvelle à Paris. )( Authentique )

 

Bien lui en pris à Wittgenstein d'avoir choisie la prudence.

 

A ce moment, 35 000 Russes foncèrent sur Vilna, cavalerie en tete, et 40 000H assurèrent leurs retour en tenant la route de Vidzi, jusqu'a la rivière Dwina.

Mais ils arrivèrent trop tard, Napoleon occupait Vilna avec son armée venu de Minsk, la perte de quatre heures pour la traversée de la Dwina et plusieurs heures de perdu a traverser d'autres Rivières sur leur route, firent que Napoleon avait gagné six heures sur ses ennemies grace au télégraphe, qui constatant leur echec, et l'arrivée de nouvelles forces, ( Les 60 000H de Marianpol, ) tournèrent bride, et poursuivit par Napoleon, puis menacé de flanc par MacDonald devant de si faible forces et sachant Napoleon poursuivant l'ennemie, menaçait Sventziani, et ne put prendre que son arrière garde de 3 000H.

 

Dans le meme temps, Davout avait reçu l'ordre de remonter avec 180 000H  la route de Polotzk, pour fermer le passage a toutes les troupes ennemie ayant passer la Dwina, mais il arriva trop tard.

Mais le corps d'armée Russes de 35 000H subit des pertes au moment du passage du fleuve, et 5000H suplémentaires furent perdues pour l'adversaire.

 

Quand a Davout, avec les reconnaissances, apprenant l'Aflux des forces Russes convergent vers lui dans le but de l'encercler, il retraita sagement vers Polotzk.

 

 

Puis, l'ennemi prit le partie d'évacuer la région et les postes prit, n'attendant pas la réunion des forces Française sur la droite de la Dwina, il retraita vers Pskov qu'il atteignit vers la mi avril.

 

Quand a Napoleon, il n'avait pas l'intention de les poursuivre au delà de la Dwina, sauf si l'occasion ce présentait, faute d'etre a la bonne saison pour le ravitaillement.

 

Tout repris son calme et l'Empereur refit des modifications a son dispositif.

 

Quand a Wittgenstein, il ce félicita de sa prudence qui sauva l'armée, et de n'avoir perdu que 8 000H.

 

Napoleon n'avait perdu que 1 000H, car l'ennemi, pressé et en retraite, attaqué de flanc et au passage de la Dwina, était pris en flagrant délit.

 

 

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Voici la carte des opérations du printemps 1814, du 30 mars a la mi avril environ, ou les Russes retraite sur leur base de Pskov :

 

Wittgenstein a eu raison de ne pas dépasser la Dwina avec le gros de ses forces, sauf pour en garder le passage, car l'adversaire pouvait s'opposer fermement a lui vers Vilna, et dans le meme temps, lui menacer sa route de retraite qu'il lui fallait garder avant de retraverser le fleuve, et avec combien d'unités serait-il menacé...?  d'autant que Davout pouvait l'attaquer par la droite du fleuve, ce qui n'a pas manqué d'etre tenté, ou il lui fallait là aussi de nombreuse forces pour parer a ce risque.

 

Attaquer aussi les Prussiens de Yorck eut été malvenue politiquement, et il fallait songer a la politique de demain, mais en campagne eut été plus intéressant.

Mais au final, il aurait fallu lacher les conquètes rapidement, car Napoleon eut tenter de rejeter les Russes a la mer, en les empéchant de retraiter par ses manoeuvres.

 

D'ou une action si limitée malgré de si grande forces.
Et la troupe n'a pas l'expèrience de la guerre, ni l'endurance nécessaire.

 

Et pourquoi Napoleon ne les a pas poursuivit ? ...parce qu'il voulait ce réserver pour la bonne saison afin de limiter ses pertes en hommes et en cavalerie qui n'aurait pu profiter de la récolte des moissons et subir beaucoup de pertes dont la campagne prochaine s'en serait ressentit.

 

 

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La campagne de 1814, 1ere partie :

 

( Les dispositions faite au Printemps après la tentative raté des Russes pour incendier le dépot de Vilna, n'aura que peu changer, Napoleon et ses 113 000H, ( moins 1000H ) est revenu à Minsk, Augereau, et ses 60 000H à Vilna, Davout, au camp retranché, et les garnisons ont repris leur place sur la Dwina. )

 

Les espions ont fait savoir que le gros des forces Russes ce trouvent au nord, vers Luga, probablement 140 a 150 000H et qu'environ 100 000H pourrait manoeuvrer ou etre en renfort.

 

D'autres unités ce trouvent plus au nord, mais ils ignorent  leurs emplacements et leurs forces.

 

Quand a l'est, vers la route de Moscou, aucune informations n'est disponible.
Au sud, Tormazov ne bouge pas et n'a pas semble t-il l'intention de bouger, mais méfiance, car on ignore ou est passé sa réserve de 20 000H, elle peut nous frapper soit au sud-est, soi des environs de la route de Moscou.

 

Stratégie :

 

10 juillet.

 

Napoleon, ayant réunit ses maréchaux vers 10 juillet, exposa son plan après leur avoir fait part des informations reçu par ses espions.

 

Il leur dit : Nous connaissons a peu près l'essentiel de leur forces au nord et de leur emplacement ; cependant, il faudra s'attendre a ce que Wittgenstein pratique la terre brulée et nous menace par les flancs, quand nous nous enfoncerons vers Luga ou Novgorod.

Nous ignorons s'ils possèdent d'autres forces, il y a tout lieu de croire que c'est possible, car Alexandre joue son va-tout. Nous devons donc avoir des flancs forts, mais pas trop proche des ennemis afin d'y parer a temps et convenablement a la situation.

Et notre ligne d'opération, double au départ, a cause d'importantes forces mise en mouvement, partira de Drissa pour remonter par Ostrov, pour atteindre Pskov. La seconde partira de Dwinaburg, Liutzin, et directement Petchori, mais en dessous, puis Pskov. Ce dont l'ennemi aura compris lui aussi qu'elle devenait une position stratégique, d'importance.

Nos lignes de ravitaillements seront entre ces deux lignes d'opérations.

 

Voici donc mes ordres : Davout, vous laisserez 8 000H dans le camp retranché, et avec 180 000H, vous remonterez la route d'Ostrov, puis Pskov, en restant a la meme hauteur que la seconde armée de 160 000H qui passera par Drissa, Liutzin et vers Ostrov, ou il y laissera 100 000H.
20 000H continueront la route à Pskov, et 40 000H, au lieu d'aller à Ostrov iront à Petchori, couvrant nos flancs autour de Pskov et pouvant ce réunir sur cette ville en moins d'un jour.



20 000H sont prélevées de l'armée d'observation de l'Autriche et de la Prusse, lui laissant encore 160 000H, et sous peu de jour avant le 15 juillet, prendront la place des 20 000 Prussiens de Yorck, qui ce positionneront à Valk.

Et cela leurs évitera la tentation de nous jouer de mauvais tour en quittant une position stratégique, ou trop peu de forces les surveilleraient.

 

Les garnisons de Dwinaburg et Drissa, d'un total de 20 000H occuperont Sebej.

 

20 000 Polonais pris sur le corps de Reynier au sud, remonte déja vers Polotsk déja occupé par 9 000H, et les 14 000 Polonais initialement parti de Minsk, iront au nord ouest de Liutzin, totalisant dans la région d'une force de 49 000H, plus la réserve de 14 000H, et pourront rapidement intervenir selon que l'ennemi pourrait nous réserver comme surprise.

Elle sera sous le commandement de Soult.



La garnison de Vitebsk et du camp retranché, 18 000H, pourront ce rabattre sur eux, au besoin, montant alors leur force régionale a 81 000H, et fermant notre flanc jusqu'a la Dwina.

 

Les 1000H de la garnison de Smolensk resteront sur place et enverront tous les jours de profonde reconnaissances, comme pour toute les unités occupant les fronts.

 

1000 Cavaliers seront prélevés des troupes qui occuperont Ostrov, et s'avanceront sur Novorjev, pour y envoyer de profondes reconnaissances, car il importe de connaitre le dispositif ennemi dans la région avant de s'engager.

 

Voila pour les dispositions de mise en place au nord.

 

 

Au centre, Bobruisk, Orcha, Mogilev et Rogatchev, soit 2 700H dont 700 cavaliers, nous préviendrons a temps si l'ennemi veut passer en force par là  par surprise. L'armée de Soult pourra s'y opposer en tout, ou partie, et le télégraphe nous avertira assez tot.

 

Voila messieurs les dispositions que vous devez connaitre, et si le Tzar ne veut toujours pas céder une fois la réunion de nos forces principales à Pskov, nous déclencherons la seconde partie de notre plan.

 

Puis, il congédia ses maréchaux pour qu'ils prennent leurs dispositions.

 

( Dans la réalité, Napoleon ne disait que le minimum de ce que chacun devait savoir, et ils ignoraient toujours tout de l'ensemble des opérations.)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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La campagne ayant commencé le 15 juillet 1814, comme l'année d'avant pour profiter pleinement de la moisson, ce trouve douze jours plus tard, le 27 juillet, chacun sur leurs positions prévu par Napoleon.

 

Les fleches en pointillées noires représente les possibilités des Russes selon le temps qu'il disposerait et la stratégie prévue a l'avance, dont il faut ce prévenir, d'ou, de profondes reconnaissances, des flancs forts et ressemblés  autour de Pskov qui commande la région, plus un prolongement des flancs nécéssaire sur ce vaste espace pour ce garantir de danger encore ignorés mais possible, notamment la possibilité de vouloir forcer la région de Vitebsk pour menacer tout l'arriere du dispositif installé a l'avant, à Pskov afin de le faire tomber.

C'est pourquoi l'armée de Soult est là pour parer a ce danger, et ajouter des garnisons de Vitebsk et du camp en dessous au besoin pour faire bonne mesure, totaliseraient 81 000H et pourrait ce charger aussi de la protection du centre du front, comprenant Minsk et Vilna.

Au besoin, la nouvelle garnison remplaçant les Prussiens, pourront s'ajouter a l'armée de Soult si des éfforts ennemi important viendrait du centre est, vers Minsk et Vilna, ou des dépots importants sont à défendre.

 

La garnison Polonaise de 14 000H représente la seconde ligne de défense du front nord, et incitera aussi les Prussiens intégré dans le dispositif a faire plus consciencieusement leurs devoir, auxquel, l'armée de Soult prévoiera là aussi la défense et l'offensive au besoin.

Mais comme ce secteur que Soult tient sera moins menacé par l'ennemi, il est normal qu'il aura plusieurs tache a remplir, mais on estime que la force ennemi ne sera pas suffisante pour l'en empécher.
Si par contre le russe entreprennait une manoeuvre des plus audacieuse en prenant les devant, le corps de 100 000H à Ostrov pourrait ce lier a lui et repousser ensemble l'ennemi, et vice versa.

 

Cette année, Napoleon a fait augmenter encore le nombre de charroies pour le ravitaillement pour ne pas subir trop fortement des éffets de la terre brulée avec l'armée qui suit leurs rythme afin d'éviter des pertes inutiles. ( Non quantifiable. )

 

L'artillerie a été portée a 1450 canons et la cavalerie est entièrement remonté.

 

L'hiver n'a pas été rude, mais de saison, il n'y a donc pas eu d'hécatombre parmi la cavalerie, et chaque année, a mesure que le temps passe, le ravitaillement est renforcé, plus de nouveau fours a pains sont construit.

 

Les soldats ont garder le moral malgré la longue campagne, la victoire réparait tout, la troupe était pleine d'entrain.

 

 

Chez les Russes malgré leurs pertes du printemps ( 8000H ), ils ont recrutés encore de nouvelles milices au nord, montant leurs armées a 275 000H.

Le moral est mauvais, les troupes inexpérimentés et peu endurant.
Alexandre a fait savoir qu'il ne capitulerait pas, et attend que chacun d'eux face son devoir.

Ils ont reçu de l'Angleterre 100 000 fusils par St Pétersbourg, et assez d'argent pour soutenir cette campagne.

 

Au sud, Tormazov a envoyer une armée de 20 000H depuis le printemps, en face du centre du dispositif Francais, dans l'intention d'attaquer la base d'opération Française, estimant qu'il pourrait sérieusement nuire a la stratégie Française une fois lancée pendant l'été sur St Pétersbourg.

Il attend le moment favorable.

 

Et Wittgenstein a fait courrir le bruit que d'importante forces ce levaient et pouvait a nouveau menacer par la route de Moscou le centre du front Français, d'ou la nécessité de ce couvrir grace a l'armée de Soult, et le besoin d'utiliser les garnisons pour cette défense, qui pourra servir en partie comme réserve pour Napoleon, selon le degrés d'évolution du danger plus ou moins éliminée ou reposant sur de la propagande.

 

Tout va ce jouer dans le cours de cette année, mais quel que soit l'issue, le Tzar n'abandonnera pas.

 

( Cliquez sur la carte pour l'agrandir. )

 

 

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La campagne de 1814, 2eme partie.

 

Dès l'arrivée de l'armée sur leurs positions, de profondes reconnaissances sont lancées pour savoir ou ce trouve le gros des forces.

Une semaine après, la 3 aout, Napoleon a une idée assez précise du dispositif ennemi, et grace aux espions.

 

L'ennemi ce situe entre Luga et Novgorod, partagé en trois groupes pour plus de mobilité, mais d'après la nature de la région, Novgorod est plus indiqué pour recevoir la bataille, car Luga est trop boisé et ne peut recevoir l'ennemi que par le sud. ( Authentique )

Et vingt a trente mille Russes tiennent le nord dans le but de ne pas etre tournée et menacer la capitale.

 

Puisque le flanc droit n'est pas menacé, Napoleon ( 200 000H ) appelle a lui le corps de Davout de 100 000H d'Ostrov, et celui de Petchori ( 40 000H ) qui occupera Pskov dès que Napoleon sera partit, ou entretemps, l'armée en fait un camp retranché, de manière a doubler ses forces...
De plus, il appelle le corps Polonais de 14 000H sous les ordres de Soult qui arrivera dans huit jours, pour venir à Pskov, formant une armée de 54 000H, sous le commandement d'Augereau, dès que l'armée de Napoleon sera partit de là avec l'armée de Davout.

 

D'autres instructions seront a suivre pour Augereau selon que la situation évolue.

 

Le 10 Aout 1814, Napoleon part en direction de Novgorod avec 300 000H, partagé en trois groupes marchant a la meme hauteur, sauf un qui suit a trois heures de marche du gros de l'armée.

Il a réunit le maximum d'artillerie possible sur les 1450 canons, sans mettre en danger ses autres corps d'armée français, soit 1 200 Canons.
Les Polonais et les Prussiens ayant les leurs.

 

Wittgenstein est informé de l'arrivé de Napoleon, il a placé ses troupes de manière a répondre a la menace qui pèsera sur l'un des deux objectifs, Luga ou Novgorod.

20 000 Russes tiennent la rive droite de la Louga, et 2 000 autres, la ville de Luga.

 

Le 14 Aout, Napoleon arrive a quarante kms de Luga, soit a mi distance entre cette ville et la route de Novgorod, et a quinze Kms de la rivière.
Bien entendue, des reconnaissances devance largement son armée, et vers Luga et Novgorod.

 

Le lendemain, Napoleon, envoie un de ces généraux foncer vers Luga avec une partie de ces forces pour l'occuper, 30 000H, laissant le plus gros sur place, mais prete a intervenir, et un rideau placé en avant les cachent, de sortent que l'ennemi n'a pas connaissance de la manoeuvre sur Luga, avant de l'apprendre 3 heures plus tard par un parti de cosaques.

Le terrain et cette région ne ce prete pas a la bataille, étant trop boisée.

 

2 000 Russes qui l'occupaient, sans attendre la confrontation, l'évacuent et traversent la Louga, large par endroit de 370 mètres, pour y couper le pont.


C'est ce que souhaitait Napoleon a ce moment, juste occuper la ville, ou il laisse 3 000H, afin de ne pas avoir les arrières couper ou devoir la surveiller au cas ou il s'avancerait trop, et cette armée rejoignit les gros des forces, en arrière de l'armée principale, totalisant 127 000H.
 

 

D'ailleurs, l'ennemi ne comptait la défendre qu'a la condition qu'il y ait un combat général qui menacerait la capitale, mais en retrait de la ville, a droite de la rivière.

 

Mais Wittgenstein donna l'ordre de rapprocher l'armée un peu plus vers Luga en cas de mauvaises surprise, et donna l'ordre au 20 000H de Yamburg de descendre entre Gdov et Luga, afin de menacer les communications de Napoleon, et aux 5000H occupant Eva d'aller sur Derpt et Petchori, faire des démonstrations de forces, sans s'engager pour ce dernier a fond.

 

Augereau, quand à lui, avait reçu l'instruction de quitter Pskov avec 15 000H et de s'installer à Porkov, deux jours après le départ de Napoleon, afin de sécuriser les communications, et avec l'autre moitié, de tenir le carrefour et le pont entre Novgorod et Perkov.

 

( Déja, 7 000H avaient été prélevée de l'armée principale pour sécuriser les communications, plus les 3 000H laissé à Luga en surveillance, restant, 290 000H. )

 

Napoleon plaça son armée vers l'angle droit de la Louga, tard le soir, a l'abri d'un rideau de troupes afin que l'ennemi ne puissent déterminer exactement la force envoyer vers ce point, et qui pouvait décider d'attaquer  en moins d'un jour, Novgorod ou Luga.

Aussi, le Lendemain, Napoleon partit avec 200 000H en trois colonnes marchant a la meme hauteur sur Novgorod, pour menacer St Pétersbourg, avec un rideau de troupes pour faire écran dans sa marche.

 

100 000H restant sur place, sur l'angle droit de la Louga.

Wittgenstein, avertit de ce mouvement, laissa 30 000H a Luga en cas de mauvaises surprises, partit vers Novgorod, sur trois colonne, dont avec la dernière, il comptait prendre de flanc l'armée de Napoleon lorsque la bataille commencerait.
Mais Napoleon avait prévu cette possibilité, cette réserve pouvait soit le renforcer une fois l'ennemi réuni à Novgorod, soit tenir largement plus de dix heures lorsque c'est en plaine, avec de surcroit, la Louga large de 25 mètres en moyenne a cet endroit, mais trop boisé pour aller y combattre en vérité, si Wittgenstein comptait l'attaquer, et Napoleon aurait eu le temps de revenir, soit tomber sur cette attaque de flanc qu'il prévoyait, et au besoin, revenir sur ce point, tout en laissant une arrière garde assez forte pour contenir ce qui composerait l'armée Russe à Novgorod, si elle intervenait elle aussi.

 

A suivre, la manoeuvre sur Novgorod.

 


 

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Voici les manoeuvres éffectuées du 10 aout au 19 Aout.

 

Les Russes au nord restent d'abord sur leurs position par crainte d'une manoeuvre surprise Française qui pourrait les prendre à revers et menacer St Pétersbourg.

Au sud, Wittgenstein renforce sa droite vers Luga par crainte d'etre tournée, avec 32 000H, et la rivière est large de plus de 130 mètres sur plusieurs kilomètres.

Il laisse 80 000H dans la boucle de la Louga, dans l'espoir d'attaquer le flanc de bataille de Napoleon, et l'arrière, lorsqu'il sera engagé dans le combat à Novgorod, retenu par 138 000H, ou il sait qu'il ne peut faire jeu égal avec l'Empereur du fait que ses troupes sont inexpérimentées, car face a face, il est perdu.
Il doit donc manoeuvrer, et pour le moment, pressés par les événements et manquant de temps, et d'informations suffisante, il suppose la force de Napoleon bien plus puissante qu'elle n'est en réalité allant sur Novgorod, et le rideau de troupes des deux groupes principaux Français ne permette pas de connaitre leur forces.
Il mise tout sur cette manoeuvre de flanc, il sait qu'il sera intercepter par des troupes située a l'angle droit de la Louga, qu'il estime bien infèrieure a ce qu'elle est en réalité, mais il s'estime capable d'y résister et d'accomplir sa manoeuvre de flanc.

Car il lui faut tenir Novgorod. Si celle ci tombe, c'est toute la ligne de la Louga qui sera tournée et deviendra inutile, c'est pourquoi il prend un risque calculé dans une certaine mesure, mais Napoleon ne l'oblige t-il pas a faire une faute  en fonçant sur Novgorod ?

Il ne sait...mais il est mis dans l'obligation d'agir, et d'un autre coté, il a des chances qui lui restent s'il choisissait une autre manoeuvre...

 

Car de par la position centrale qu'il tient dans la boucle de la Louga avec 80 000H, il a la possibilité d'attaquer avec 110 000H en réunissant celle a droite de Luga, soit pour attaquer cette ville, soit traverser la Louga plus bas, dans le but d'attaquer l'armée Française située a l'angle de cette rivière, et celle ci probablement battu ou contenu, serait rejoint par le corps Russe de Yamburg en passant vers Luga, après plusieurs jours car trés boisés pour cheminer, et pourrait selon les évènements menacer les communications de Napoleon, qui, meme victorieux à Novgorod, aurait du soucis a ce faire.

 

C'est donc un jeu trés serré qui ce joue, et la moindre faute pourrait ce payer trés cher.

 

 

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Voici cette région avec Google Earth, qui explique pourquoi il n'y a pas eu bataille principale a Luga, ou le front est trop étroit pour déployer toutes ses forces et sa puissance feux, et ou la retraite du Russe serait trés difficile.

 

 

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La manoeuvre sur Novgorod, et bataille du 20 au 21 Aout :

 

Napoleon est conscient du danger de la manoeuvre de Wittgenstein visant probablement a le prendre de flanc lorsqu'il serait engagé contre les Russes à Novgorod, aussi, pour le tromper, et le faire tomber dans son propre piège, il divise sont armée en deux, Davout commandera 60 000H et protègera son flanc, en ce tenant a l'entrée de la foret, de sorte que l'ennemi ne puisse déployer son artillerie, tandis que Napoleon continuera vers Novgorod avec 140 000H, sans s'engager a fond dans la bataille.

 

De plus, Masséna, commandant les 90 000H placé dans l'angle de la Louga interviendra avec 60 000H pour intercepter Wittgenstein, dès qu'il entendra les coups de canons indiquant le nombre de dizaines de milliers Russes voulant traverser, soit vers la droite, soit vers la gauche, ou, un coup de canon vaudrait pour 10 000H dans ce cas précis.

Il laissera son commandement a Victor provisoirement pour les 30 000H qui resteront sur place.

 

( Méthode employé par Bonaparte en Italie pour l'artillerie. )

 

La carte montrant les manoeuvres n'indique pas les forets, ni les lacs qui gèneront le passage sur la Louga et l'unique chemin permettant de la relier a Luga ( 3000H environ en 1814 ) qui traverse la foret avant d'atteindre la plaine de Novgorod, dont Napoleon a donner l'ordre de saboter l'unique chemin en faisant abattre des arbres en travers pour empecher tout du long la progression des Russes et pour soutenir par leur renfort, les Russes occupant Novgorod.

 

La bataille devrait durer deux jours avant que la victoire ce décide grace a l'arrivée des 50 000H de Masséna le lendemain, tot le matin, qui ira renforcer la gauche de Napoleon, en laissant au passage 10 000H à Davout.

 

D'ici là, l'ennemi aura fait peu de progréssion contre Davout.

 

Grace a ses renforts, Napoleon entreprend une manoeuvre tournante avec Masséna sur la gauche de Novgorod, débordant largement l'ennemi, ( tout en protégeant ses arrières ) qui ce voit rabattu contre la Volkhov, large de près de 300 mètres.

L'unique pont qui la traverse par la forteresse de Novgorod est impraticable, car l'Empereur a déja fait tirer a boulet rouge dans cette zone, pour empécher justement cette traversée grace aux incendies provoqués, qui sauverait les Russes enfermée dans cette nasse, et désormais prisonnière.

Les milices Russes inexpérimentées, le moral défait par toutes les défaites déja subit depuis 1812, la puissance feux en faveur des Français dans le combat rapproché en particulier, ou là ou la milice Russe tire un coup ou deux par minute, ( Authentique pour la milice ) le Français en tire deux, allié a leur grande expérience et l'art du combat, ont finalement vaincu dans une bataille décisive l'ennemi qui du subir de grandes concentrations de feux aux point névralgiques et pour affaiblir la puissance feux de l'adversaire moins expérimenté, là ou le Français, comme à Wagram, tirait deux fois plus vite que leurs adversaire avec leurs artillerie, ( authentique ) faisant une nette différence et préparant la victoire.

 

Du coté de Wittgenstein, l'artillerie de Davout qui cueillait ses troupes dès la sortit du chemin, n'ayant aucune artillerie pouvant ce déployer en nombre, fut contenue dans le bois, malgré ses tentative pour déborder Davout.
Mais celui ci, avait former deux ailes trés forte pour eviter ce problème, de sorte que le Russe ne put atteindre aucun résultat.

De plus, la Jeune Garde était prete a etre envoyé par Napoleon pour soutenir son maréchal.

 

Quand on lui apprit la défaite de Novgorod, avec la demande de Négociation de Napoleon a envoyer au Tzar, Wittgenstein retraita et dut retraverser la Louga, suivit tranquillement par 50 000H de Davout, qui envoya les 20 000H restant a Victor, commandant les 30 000H dans l'angle de la Louga au soir du 21 Aout.

 

La campagne est donc déja décidée, ce 21 Aout 1814, malgré qu'elle puisse continuer avant un probable cesser le feux général pendant l'ouverture des négociations.

 

Malgré cela, ignorant encore cette défaite, les 32 000 attaquèrent Luga, le 19 Aout, et les 3 000 Français qui l'occupaient n'attendirent pas le choc et retraitèrent vers les 30 000H occupant encore par sécurité l'angle de la Louga. Voyant cela, les Russes qui les suivaient revinrent à Luga et attendirent les 20 000H de Yambourg devant arriver le 21 Aout.

D'ici là, Victor, commandant les 30 000H, plus les 3 000H, rappela a lui les 7 000 Polonais placé a près de 18 Kms sous lui, sauf les reconnaissances, et les 2 000H a sa gauche protégeant le ravitaillement, totalisant 42 000H, et restant sur place, obligeant l'adversaire a perdre du temps pour une journée et demi, ou d'ici là, il renforça ses positions pour en faire un camp retranché.

 

Il fit appel  à la garnison de Pskov, de 15 000H pour le renforcer, dont le courrier l'atteignit 3 jours et demi après, le 24 Aout.

Le 22 Aout, Victor reçu les 20 000H que lui avait envoyer Davout, sécurisant lui de son coté, la gauche de Napoleon en allant sur la Louga.

 

C'est a cette date que les 20 000H de Yamburg et les 32 000H arrivèrent devant le camp retranché de Victor et ses 62 000H désormais.

Mais ayant connaissance de la défaite décisive des Russes à Novgorod, de la retraite de Wittgenstein après cela, et de la volonté de Napoleon de vouloir négocier, il leurs prendre connaissance de ce fait, avant de vouloir engager le combat.
Ce dont ils se soumirent et laissèrent la diplomatie prendre la pas sur les armes, et évacuèrent Luga pour ce reformer derrière la Louga.

Quand à Wittgenstein, passant par la droite de Luga,il ce porta au devant de St Pétersbourg avec son armée, et la lettre de négociation que le Tzar reçu le 26 Aout par le courier.

 

 

Au centre du front, bien avant cette victoire décisive, le corps de 20 000H envoyé par Tormasov, commandé par Markov,  traversa le Dniepr a Mogilev, dans le but d'attaquer le dépot de Minsk.
Le télégraphe Chappe fit encore la différence et put largement alerter Soult, qui fit envoyer la garnison de Vitebsk et du camp retranché, soit 18 000H, par Orcha sur Mogilev, et envoya 10 000H des 20 000 Polonais installé à Polotsk, les soutenir.

Ceci suffit a arréter la progression des Russes de Markov, qui préféra renoncer devant l'arrivée de tant de troupes, plutot que d'etre battu.

 

MacDonald envoya sur ordre de Soult, 10 000H à Minsk pour sécuriser le dépot et tenir ce carrefour éssentiel.

 

Une surprise attendait tout le monde, ce fut le débarquement vers Riga de 30 000 Anglais, mener par le contre amiral William Sidney Smith, pensant les 20 000 Prussiens toujours à ce poste, pour pouvoir soit faire cause commune avec eux, ou bien sans qu'ils interviennent, aller attaquer les voies de ravitaillement des Français aux maximum passant dans la région, avant d'embarquer sans attendre la réaction des Français, ou ils pensaient que cela pourrait leurs porter assez de torts, et peut etre influer sur le résultat de la campagne ce déroulant dans le nord.

D'ou le choix de cette expédition, et comptant peut etre trop sur la trahison des Prussiens, mais qui sait...

Grande fut leur surprise, quand il la virent occupés par les Français, et attaquer la forteresse aurait mener inévitablement a l'échec et ferait perdre trop de temps, assez pour que des renforts Français les renforcent et les rejettent a la mer.

Devant cette mauvaise surprise, l'amiral Sidney Smith commanda la retraite.

 

Au Sud, Tormazov, toujours fidèle au traité secret signé avec Schwarzenberg, ( Authentique ) ne bougea pas.

 

Ainsi, tout le front ce calma, les réserves ayant joué leur role, empecherent l'ennemi d'apporter la destruction.

 

La place est maintenant au négociations.


Mais comment obtenir un changement d'attitude du Tzar qui comptait meme ce réfugier au Kamtchatka et compter sur l'hiver Russe pour vaincre l'ennemi ? ( Authentique )

 

Qu'apporte donc Napoleon de nouveau pour le convaincre ?...

C'est ce que nous verrons...

 

 

Je n'ai pas compter les morts et blessés dont le plan et le déroulement du combat, étant donné que le résultat militaire est décisif pour la campagne et poussera inévitablement le Tzar a négocier, meme si ce serait pour gagner du temps.


 

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Voici la carte des opérations du 19 au 22 Aout 1814.

 

( En regardant la carte, deux posts, plus haut, montré par Google Earth, vous verrez les forets que cette carte ci dessous ne montre pas, et qui explique que Wittgenstein soit bloqué par Davout sans pouvoir ce deployer en artillerie au sortir du chemin face a toute l'artillerie de Davout. )

 

 

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Voici la ville de Novgorod en 1862 :

En 1875, la ville comptait 17 000 habitants, donc on peut l'estimer a plus de 10 a 12 000 habitant en 1814.

La forteresse de droite a gauche fait plus de 2 100 mètres, et dans son épaisseur jusqu'au fleuve, 1 100 mètres, environ..

C'est ce qui explique la possibilité d'encerclement opéré par Masséna et ses 50 000H suplémentaire qui déborde largement ses adversaires et qui permet l'encerclement de l'armée Russe pris au piége, avec un seul pont, impraticable due aux incendies provoqués par les tir aux boulet rouge.

 

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Voici la forteresse de Riga, en 1800, et la ville compte a cette date, plus de 29 000 habitants.

 

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Base du traité de négociation et suite... :

 

Lettre a sa Majesté le Tzar Alexandre de toute les Russies de la part de l'Empereur des Français.

 

 Sire, votre armée n'existe presque plus, mes légions ont triomphés partout, mais c'est avec peine que je vous ait fait la guerre.

 

En 1813, vous avez refusé mes propositions à Moscou, comptant encore sur votre armée pour apporter votre solution.

J'y est été forcée pour vous acculer a la sagesse, afin de tenter de ramener la paix entre nos deux pays.

 

Vous avez voulu sortir du Blocus Continental qui était un mal nécessaire pour tout le monde, je comprend votre position.

 

Vous l'avez apprit au passage, l'Espagne a de nouveau un Roi, et commerce avec l'Angleterre, le Portugal fait de meme, portant un coup sévère au Blocus Continental.

 

Cependant, il y a un moyen d'entrevoir la sortie, qui avantagera nos deux pays et l'Europe au dépend de l'Angleterre, c'est de lui prendre l'Inde, de nous la partager équitablement avec l'Espagne, en passant par la voie terrestre, comme proposé déja au traité de Tilsit. ( Authentique.)

 

L'Angleterre, privé de cette colonnie, son économie fortement impactée, ne pourra plus perturber autant l'Europe en faisant lever des armées contre la France.

 

Dès lors, la nécessité du Blocus Continental ne sera plus nécessaire, et nos deux pays prospèreront ensemble, libre d'échanger, et assureront la paix en Europe qui subira un nouveau soufle économique bienfaisant.

 

La Pologne ne s'en trouvera pas agrandit après ces campagnes, comme vous le craignez. Je vous l'ai promis, et je tiendrais parole.

 

La question des Balkans qui intérèsse tant votre Majesté, sera réglé rapidement.

 

La Roumélie ( Roumanie ) et la Bulgarie, seront en votre possession, de meme le Caucase.

 

Tous ceci devrait satisfaire votre Majesté en accédant a vos demandes.

 

Le détroit du Bosphore est plus délicat, et indisposerait les puissances Européenne, dont l'Angleterre qui verrait fort mal un nouveau concurrent en Méditérrannée.

 

Si vous accepter de négocier sur cette base, je vous enverrais Caulaincourt qui comprend votre Majesté.

 

Mais si vous persistez dans votre refus en écoutant de mauvais conseil, je me verrais au regret de soulever la population Russe qui refuse le servage et qui a apprécier d'avoir a user de plus de liberté depuis la présence des Français, et verrais mal le retour au servage complet.

 

Cette colère s'étendrait rapidement une fois enflammée, et vos armées ne pourront la réduire.

Votre trone meme serais menacé, et il s'ensuivrait une révolution qui bouleverserait toute la région civilisé de la Russie.

 

La paix ou la guerre est donc entre vos mains, mais si vous écouter votre coeur, sa Majesté fera le bon choix.

 

Napoleon, Empereur des Français.

 

 

 

Napoleon lui donne un délais d'un mois pour conclure, a cause de la saison tardive d'été.

 

(  Là, Napoleon bluffe a moitié à propos de la colère des paysans Russes, en mélangeant le vrai du faux. Car il est vrai qu'au départ la partie civilisé de la Russie jusqu'au Dniepr et Smolensk, comptait sur les armées des Français pour secouer le joug du servage, puis, ne voyant rien venir pour améliorer leurs sorts, ce sont retournés contre eux en 1812.
Mais le fait que la France occupe depuis deux ans une partie de la Russie, il est bien probable, que les paysans ce sont assagit par leurs présence a force d'habitude, et auraient pu reprendre les armes s'il avaient été poussé a le faire. )

Si cela ce confirmait, le trone meme de la Russie tomberait.  ( Authentique )

 

 

Le 25 septembre, Alexandre signe le traité d'alliance sur la base que lui a proposé Napoleon.

Désormais, il est certain que Napoleon tiendra parole a propos du Duché de Varsovie, ( Pologne ) qu'il craignait le plus de voir agrandit au dépend un jour de la Russie, ou sur la Prusse, et constituer a l'avenir un glacis important, menaçant la Russie.

La question des Balkans et du Caucase qui lui tenait a coeur, sera réglé.

L'expédition sur l'Inde, n'est pas pour lui déplaire, il hait les Anglais, il l'a dit à Tilsit en 1807 à Napoleon, et la signature mettra fin au Blocus Continental et fera repartir l'économie dont souffre l'Europe.

 

Pour les récalcitrants au traité, Alexandre a fait valoir la menace paysanne pour les soumettre a la raison.

 

Les cinq prochaine années montrèrent que le Tzar avait eu raison de ce fier a la Parole de Napoleon, et récupéra les pays convoités, dont l'Inde, ce qui n'était pas pour lui déplaire face aux Anglais, " Ces marchands de chairs humaine", comme il l'avait dénoncé devant Napoleon en 1807.

 

 

 

La nouvelle de la victoire et de la signature de paix avec le Tzar a son retour en Europe de l'ouest et en France, soumit définitivement l'Autriche et l'Allemagne devant l'aura d'invincibilité de Napoleon de retour de Russie, et l'annonce de la fin du Blocus Continental contenta tous les commerçants.

Napoleon, récompensa par force pour le peu qu'elle a fait, l'Autriche, comme promit, en lui restituant l'Illyrie, ou elle pourra commercer par mer et améliorer son économie, et la perspective d'avoir la Russie comme surveillant de l'Europe, calma la politique agressive de l'Autriche.


Metternich fut renvoyer, pour mettre en place le frère de l'Empereur François, l'archiduc Jean Baptiste, favorable a l'alliance Française. ( Authentique )

 

 

Afin de brouiller pour longtemps la Prusse et l'Autriche, Napoleon restitua la Silésie à l'Autriche, gagné par le Grand Frédéric II, ce qui souleva un tollé en Prusse, mais que la puissance de la France, sortit victorieuse d'une si vaste campagne, ce contenta seulement d'une protestation officielle par le roi de Prusse, mais avec le temps, la haine si longtemps contenu éclata contre la France.

200 000H se soulevérent, grace aux réforme de Scharnhorst et Gneisenau, au lieu de ne disposer que de 42 000H imposé par Napoleon.



La Russie, envoya une armée de 150 000H prévu par le traité de Tilsit toujours viable en conservant l'éssentiel de ce traité, hormis le Blocus.
Napoleon envoya 280 000H, occupa d'emblée, Berlin, les forteresses de Sttetin, de Kustrin, de Glogau et Breslau, le long de l'Oder.


Ses ailes bien protéger, partant de Berlin, il battit les Prussiens dans plusieurs rencontre, dont une décisive, pendant que l'armée Russe s'enfonçait en Prusse orientale, avec l'intention manifeste de combattre.

 

Devant ces défaites, le Roi de Prusse Frédéric III consentit à négocier.

Cette fois, Napoleon lui enleva tous les territoires, sauf la Prusse orientale, ou le roi du s'en contenter plutot que de tout perdre, et aussi pour éviter d'avoir pour frontière la Russie, afin de ne pas indisposer le Tzar.

 

L'Espagne, est toujours aux prises avec les problèmes interieur, (authentique ) et l'Autriche, désormais seule face a la Russie et à la France, avec une Angleterre incapable de monter une puissante coalition de ce fait, permis a l'Europe de vivre pour un temps la paix, jusqu'a la mort de Napoleon en 1840.

Modifié par Lathan
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Voici donc un scénario qui aurait trés bien pu ce réaliser, et reposant sur des bases réalistes.

( Sauf que je n'ai pas compter la désertion et les maladies qui frappait les deux camps, et qui au final aurait probablement compté a peu près dans la meme proportion plus ou moins équilibré, d'homme aux combat. )



La campagne de Russie, avec ses opérations mesuré dans le temps et dans l'espace, sans etre trop excéssif, une cavalerie sans cesse remonté chaque année, avec l'artillerie, sans avoir eu a subir la retraite et le climat terrible de 1812, car deja cantonné et ravitailler, les campagnes démarrant a la bonne saison, de bonne lignes d'opérations bien défendu, contre une armée ou ne restait plus que de la milice inexpérimenté, ni endurante, et des généraux Russes médiocre qui ne passaient pas par l'école de guerre ( Authentique ) , qui les commandaient, hormis Wittgenstein, une puissance feu infèrieure aux Français, en artillerie comme aux tirs rapprochés, une rapidité supérieure dans les manoeuvres avec une capacité a couvrir des distances plus importantes aux besoin, ont permis des encerclements décisif grace a la supèriorité acquise dès le début de la campagne, que les Russes n'ont jamais pu rattraper, en me fondant sur les nouveaux effectifs levée de l'année 1812.
Le fait que le Tzar cède, malgré qu'il comptait meme ce réfugier au Kamtchatka et compter sur le climat que Napoleon à déjoué sur ce dernier point, est qu'il voit ce réaliser ses souhaits en Europe, sauf pour le détroit du Bosphore, avec la fin du Blocus Continental ( grace a a prise de l'Inde) , ou lui manquait des matières premières indispensable pour la Russie, et la victoire de Napoleon, indiscutable et les propositions si intéressante qu'il lui a offert, malgré qu'il pouvait le remplacer par un Francophile, ont fait de lui un bon allié, et la perspective d'etre un des acteurs principal dans le monde avec les intérets économique que la Russie en tirerait, et une Pologne non ressucitée, sa grande crainte qui n'a plus lieu d'etre, l'on décidé a accepter, là ou il n'y avait que des avantages, alors qu'il aurait pu perdre le Trone.

Et cela, le Tzar ne l'oublia jamais.

 

Edit : Il ne lui en voulait pas pour Moscou, car Napoleon lui avait apporter des preuves irréfutables que cet incendie avait été ordonné par le gouverneur, Fédor Rostopchine, en lui envoyant quelques incendiaires prisonniers au Tzar, qui avaient avouer la vérité, vérité, qui après son alliance fut répandu a travers toute la Russie, afin de favoriser plus aisément la conquete de l'Inde.

Quand à Rostopchine, il expia ses fautes en sibérie.

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