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Torpille a changement de milieu


g4lly
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Durant les année 60 les marines de guerre ont developpé des torpilles associé a des vecteur fusée pour leur navire de surface et leur sous marin.

Les navire de surface avait donc la possibilité de tirer sur un sous-marin sans que celui ci ne le sache jusqu'au moment de l'entrée dans l'eau de la torpille, donc très près du sous-marin. De plus le vecteur fusée de la torpille permettait de couvrir la distance bien plus vite que ne l'aurait fait une torpille et donc de ne pas laisser le temps au sous marin deployer des tactiques défensive.

Le même type d'arme était disponible sur les sous-marin avec un conteneur ejecté par le tube lance torpille qui se comportait comme un missile puis larguait la torpille qui réentré dans l'eau pour chasser le sous marin - ou un navire de surface -.

Les ASROC - Anti Submarine ROCket - sont encore disponible - il équipe la marine US entre autre. L'équivalent français Malafon  n'est plus utilisé. le remplacant MILAS codeveloppé avec l'Italie a été abandonné par la France. L'Ikara Australien a été retiré du service, le RPK-2 Viyuga russe semble encore en service.

MILAS portée 55km, tout-temps, embarque une torpille légere, 3 minute de vol pour 35km.

VL ASROC portée 30km, tout-temps, torpille Mk46.

Les points positif de ce genre de vecteur

+ Tout-temps, toute condition.

+ Trés-rapide. 700km/h mini.

+ Portée supérieur aux torpille-lourdes.

+ Tir du missile quasi-indetectable depuis le sous marin cible.

+ Réentré de la torpille a proximité immédiate du sous-marin limitant fortement les action défensives.

+ Permet de tiré en urgence a la limite de portée sonar en riposte a la detection d'un tir de sous marin ennemi.

Les Malafon et leur remplacant MILAS ont été abandonné par l'armée Francaise qui se contente des hélico pour délivrer l'arment ASW a distance.

La question c'est avec un seul hélico par frégate ASM et l'incapacité pour l'hélico de voler ni tout le temps ni par tout les temps, les sous-marins vont avoir la belle vie pendant le gros temps et les pause ravito, d'autant que comme nos PA n'ont pas de patrouilleur ASM l'engagement rapide a distance par voie aérienne est impossible ...

Pourquoi ne plus doté nos navire ASM de ce genre d'arme???

Les MILAS - sur base Otomat Mk2 - équipent les Classe Luigi Durand de la Penne Italiennes.


Le meme type d'arme était disponible depuis les sous-marin US c'était le SUBROC - depth charge nuke -, qui devait etre remplacer par le SEALANCE - qui devait aussi remplacer aussi les ASROC - , annulé en 1990 malgré des tentative de relance, privant les sous marin US d'arme anti sous marine longue distance.

SEALANCE depth charge 200kw, portée 185km, vitesse mach 1.5, rayon létal 10km.

SEALANCE torpille Mk50, portée 65km, vitesse mach 1.5.

Les russe dispose du RPK-2 Viyuga en version sous marine avec tete nuke ou torpille. portée 45km.

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La question c'est avec un seul hélico par frégate ASM et l'incapacité pour l'hélico de voler ni tout le temps ni par tout les temps, les sous-marins vont avoir la belle vie pendant le gros temps et les pause ravito, d'autant que comme nos PA n'ont pas de patrouilleur ASM l'engagement rapide a distance par voie aérienne est impossible ...

N'est il pas extrêmement difficile pour un sous-marin de repérer un navire par gros temps?

Si l'hélico ASM ne peut décoller à cause de la pluie, je pense que le soum aura lui même du mal à entendre quoi que ce soit!

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Comment peut-on repérer un sous-marin à des distances aussi lointaines? A part avec un hélicoptère je ne vois pas. Et dans ces conditions, il est aisé de transporter des torpilles légères.

Pour les sous-marins repérant des navires à de telles distances, il y a les missiles anti-navires (Exocet, Harpoon).

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pourquoi ? c'est simple, pour faire des économies

Pas toujours ! il y a 2 ans sur ce forum, je disais ceci :

http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=2900.0

L'abandon de huit programmes français d'armement a coûté 1,5 milliard d'euros.

Je lance ce post sur les projets et abandon de missiles ,ce sujet est apposé dans la rubrique marine ,car plusieurs concernaient des missiles navals ,mais d'autres sont des programmes terrestres.

J'ai retrouvé un article focalisant l'ampleur des dégats de la précédente LPM qui a causé des gaspillages pécuniers.

Je vous le fais partagé.

Pour cinq des huit programmes qui ont été examinés par le CPRA, la décision d'abandon a été prise à la fin du développement : les missiles antichar AC 3G à longue portée et à moyenne portée, le missile antinavire futur, le missile porte-torpilles Milas et enfin le drone Brevel.

En outre, le satellite radar Horus n'a pas été poursuivi une fois qu'a été acquise la faisabilité.

Par ailleurs, l'abandon de la revalorisation du système de missile sol-air Roland est intervenu en 2003 peu après le lancement de la production de la part française. Enfin, le missile à fibre optique Polyphème a été arrêté : les études préliminaires révélaient que ce projet "posait des problèmes techniques dont la solution était trop coûteuse par rapport aux estimations".

Ces programmes impliquaient à l'époque Aerospatiale et Matra (filiale du groupe Lagardère) réunis depuis au sein de la partie française d'EADS.

Nous pouvons en débattre.

Sources :Au cours de la période 1997-2002, la précédente loi de programmation militaire (LPM), l'abandon de huit programmes d'armement a coûté à l'Etat la bagatelle de 1,516 milliard d'euros en pure perte. Ainsi, le coût effectif des travaux déjà réalisés au moment de l'arrêt des programmes a été "estimé à 1,516 milliard aux conditions économiques de janvier 2003", précise le Comité des prix de revient des fabrications d'armement (CPRA) dans son 27e rapport.

http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=2900.0

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Comment peut-on repérer un sous-marin à des distances aussi lointaines? A part avec un hélicoptère je ne vois pas. Et dans ces conditions, il est aisé de transporter des torpilles légères.

Pour les sous-marins repérant des navires à de telles distances, il y a les missiles anti-navires (Exocet, Harpoon).

En fait on a pas besoin d'être sur de la position du sous-marin. Puisque c'est la torpille elle meme une fois sur place qui va faire l'acquisition via son sonar.

En fonction des manœuvre un sous marin peu être assez bruyant/visible. et repérable a des dizaines de kilometres.

- Il peut être détecté au radar en surface, a  cause de ses différent mat, des missile qu'il tir, de son propre radar, de ses émission radio...

- Il peut être détecté au sonar s'il fait certaine manœuvre genre transit rapide, ouverture des tube, tir torpille/missile

- Il peut être détecté par un autre navire qui souhaite rester discret et déléguer le tir a un système de missile qui découple tireur/entrée dans l'eau de la torpille.

Si un sous marin ouvre le feu a l'exocet/torpille lourde sur ta flotte a 40km ... alors que tu n'as pas d'hélico en l'air - panne, ravito, mer formée... - la riposte via Milas est immédiate tu lui indique le point supposé de sorti de l'eau du missile et tu laisse faire la torpille, et en même temps que l'exocet arrive sur ta flotte le sous marin attaquant a une torpille au fesse, ça rééquilibre immédiatement la balance chasseur/proie.

Je ne sais pas exactement la disponibilité temporel des hélico sur les frégate ASM mais il est fort probable qu'entre la maintenance les ravito la meteo les aller/retour au bateau la presence sur la zone de patrouille soit assez faible.

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Un hélicoptere ASM n'est pas destiné à rester in extenso sur zone. Il y a les avions de patrouille maritime pour cela. Son role est de relocaliser puis d'attaquer, ce qui présuppose une localisation initiale par un autre moyen de surface ou aérien.

En fonction du niveau de la menace, l'hélicoptere est en alerte plus ou moins renforcée sur le pont de la frégate pouvant aller jusqu'à équipage assis à bord, harnaché, appareil sous tension CC et CA, gyros lancés, navigation recalée, en liaison filaire permanente avec le central de lutte ASM, pret à decoller.

Concernant la météo, il faut savoir que seules les conditions givrantes sont un frein à l'emploi en mer d'un hélicoptere ASM. Compte tenu du domaine de vol en ASM, entre 0 et 300 pieds, exeptionnellement 500, les conditions givrantes sont très rarement rencontrées. D'autre part,avec les moyens modernes de stabilisation de plate forme, il est possible de faire decoller puis de reprendre un hélicoptere par très grosse mer, de jour comme de nuit.

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pour le milas lors de la conception il y avait un projet concurent d'aérospatiale avec une base exocet comme propulseur.

L'otomat fut retenu en partie parce qu'il portait loin et que son propulseur à réaction était plus facile à gèrer en vol (extinction à la demande) que le propulseur à poudre de l'exocet.

Autre problème le milas tient de la place (sur les g. Leygues déjà un peu chargées c'eut été délicat) seules les F67 auraient pu en prendre en lieu et place du Malafon.

L'idéal serait un vecteur ASM tirable par le sylver 70... pas mal pour les FREMM...

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Un hélicoptere ASM n'est pas destiné à rester in extenso sur zone. Il y a les avions de patrouille maritime pour cela. Son role est de relocaliser puis d'attaquer, ce qui présuppose une localisation initiale par un autre moyen de surface ou aérien.

On a pas de patrouilleur emabarqué ...

Concernant la météo, il faut savoir que seules les conditions givrantes sont un frein à l'emploi en mer d'un hélicoptère ASM. Compte tenu du domaine de vol en ASM, entre 0 et 300 pieds, exceptionnellement 500, les conditions givrantes sont très rarement rencontrées. D'autre part,avec les moyens modernes de stabilisation de plate forme, il est possible de faire décoller puis de reprendre un hélicoptère par très grosse mer, de jour comme de nuit.

mer très grosse c'est des creux de plus de 10m ... c'est limite a naviguer pour une frégate, je pense pas que dans c'est condition on puisse mettre en œuvre un hélico ! Je crois que les FREMM sont limité a mer force 6 pour le décollage/récuperation des hélicos.

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