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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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L'Or est le produit speculatif par excellence. Pour cette raison (et à moins d'une conversion monnetaire avec ré-accrochage à l'or) son achat massif n'est qu'une bulle supplémentaire

Qui va crever comme les autres à un moment ou à un autre

Ceux qui ont vécus dans les années 80 devraient s'en rappeler (hausse vertigineuse puis degringolade abyssale par ramassage de benefice derrière)

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La situation me semble plus grave que ça : on est plus proche de la crise des années 30 que celle du contre-choc pétrolier.

Il faut quand même accorder à l’or se rare mérite de protéger aussi bien de la déflation (ce sur quoi je parie pour les années à venir) que contre l’inflation, qui n’est d’ailleurs pas exclue en bout de crise (même si je n’arrive pas personnellement a discerner par quelle canal cela pourrait survenir) ; c’est en tout cas ce que suggère les études historiques.

En tout cas l’or est un véhicule de préservation de la valeur particulierment intéressant pour un particulier qui craint une dégénérescence de l’économie, voir un collapsus de celle-ci.

C’est en tout cas comme ça que je j’apprécie la chose ;).

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L'or est une de ces valeurs qui ne peut pas perdre sa valeur en 24h. C'est un détail qui n'est pas neutre dans une phase d'économie mondialisée où plus personne n'a d'information tangibles sur quoi que ce soit.

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Les experts européens dépêchés à Athènes pour veiller à la bonne marche des réformes s'avouent ahuris par l'absence d'un véritable Etat et par l'ampleur de la corruption : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/les-grecs-peuvent-ils-changer_1111128.html#xtor=AL-447

Ils auraient peut être du commencer par régler ce problème là avant... :-[

On entend reparler de sortir la Grèce de la zone EUR, avec le risque de domino que cela implique.

Ca serait un sacré revirement et un désaveu total des choix de Sarkozy en la matière, peut être trop obsédé par la fragilité du système bancaire, et surement aussi par le souhait de gagner du temps en vue de l'échéance électorale en cours. Hollande n'en tirerait aucune gloire non plus, Mr EUROBOUND répéterait probablement  l'erreur de son prédécesseur en réclamant un sauvetage par la BCE...sauf que les allemands ne le verraient surement pas de la même facon, perspective charmante.

Les reformes structurelles nécessaires pour rendre l'économie plus productive et l'état plus efficace ne doivent pas se faire au dépends de la croissance.

/quote]

Voilà une équation particulièrement difficile à résoudre.

Avec une balance commerciale déficitaire comme la notre on est aussi exposée aux marchés des changes, le risque inflationniste viendra par là également, surtout avec la volatilité du cours des matières premières, on parle peu du risque attaché à la baisse de l'euro qui nous rendrait plus compétitif pour nos exportations certes mais quid de nos importations et la facture du pétrole en particulier.

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ca fait plusieurs années qu'on nous annonce hyperinflation et gold à 2500 voire 5000$, je vois rien venir.

Maintenant je veux bien noter ton pronostic pour qu'on en reparle dans quelques mois : décembre 2012, ca te va ? Tu le vois à combien ?

Image IPB

Et l'or lui a une valeur intrinsèque, alors que nos billets ont une valeur qui ne repose que sur la confiance... La crise est là pour encore des années, le temps de purger la dette, et donc comment se prémunir contre une gros crash en dehors de valeurs comme l'or, je ne vois pas. L'immobilier peut-être, mais les prix sont trop hauts actuellement.

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Le coût de la corruption en Grèce :

La corruption et la fraude en Grèce touchent tous les segments de la société, de la pratique des "fakelakia" (enveloppes d'argent liquide remises aux personnels médical et infirmier dans les hôpitaux publics) aux détournements de fonds publics ou européens à grande échelle en passant par l'évasion fiscale.

Dans une formule savoureuse, l'écrivain grec Petros Markaris résume l'ampleur de ce dernier phénomène: "Tout Grec se respectant qui n'est pas intimement convaincu que le Trésor public le plume comme une volaille et n'éprouve pas le besoin de lui rendre la monnaie de sa pièce est soit un fou furieux soit un Bulgare".

Selon l'ONG Transparency International, le petite corruption de tous les jours a coûté au pays 554 millions d'euros en 2011, 78 de moins qu'en 2010. "Les scandales et la corruption font partie intégrante d'une culture du désordre kleptocratique qui a largement gaspillé les premiers bénéfices de l'adhésion à l'UE, pillé la richesse de la nation et mis en péril la monnaie unique" tranche Jason Manolopoulos, fondateur du fond d'investissement Dromeux Capital, dans son ouvrage "Les leçons de la crise grecque" (Pearson).

La suite : http://fr.news.yahoo.com/grèce-corruption-au-coeur-campagne-législative-074338558.html

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Parce que dans la vie vrai, les experts expertisent. Les politiques décident. Voilà tout.

Petit rappelle d'argument:

V Giscard d'Estain déclarait:" La Grèce doit faire partie de la CEE car c'est le berceau de la démocratie."

Voilà le genre d'argument qui nous plombe.

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Le feu couve en Grèce, mais est ce que l'incendie ne démarrerait pas finalement en Espagne?

Je vous invite a lire l'article, je ne cite que les paragraphes clés :

http://www.sudouest.fr/2012/05/05/le-glas-sonne-pour-l-espagne-706439-4668.php

"Depuis la Grèce, le scénario, connu, obéit à une mécanique infernale. Quelles sont les étapes qui ne manqueront pas de se produire avant la fin 2012 ? L'État espagnol devra lever des fonds pour rembourser la part de sa dette arrivant à échéance. La situation se dégrade si vite que les investisseurs exigeront des taux d'intérêt intenables. Le gouvernement en appellera à la solidarité européenne ; l'audit mené sans doute encore par la « troïka » (Communauté européenne, BCE et FMI) rendra un diagnostic attendu : l'Espagne est incapable, à moyen ou à long terme, d'honorer la plus grande partie de sa dette. Les créanciers perdront donc les fonds prêtés. Ceux qui devront prendre les pertes seront d'abord les banques privées, sommées depuis des années de souscrire les bons émis par leur propre ministre des Finances.

C'est là qu'interviendra la variante espagnole, différente du cas grec ou irlandais. Ces banques espagnoles sont parmi les plus importantes du monde. Plusieurs ont été déclarées « systémiques » par les autorités monétaires internationales, c'est-à-dire susceptibles, en cas de faillite, d'entraîner la totalité du système financier planétaire. En clair, les pertes liées à un défaut de l'État espagnol feraient exploser l'Europe, et en suivant, le reste du monde.

Donc, il n'y aura pas le choix : il faudra renflouer, et la facture sera très lourde pour les rares cautions de la zone. Le singulier suffirait en l'espèce : la seule garantie digne de ce nom se nomme l'Allemagne, dont la capacité de résistance se trouverait alors mise à rude épreuve. Dès lors, le colmatage impératif deviendrait le seul sujet de conversation des chefs d'État d'Occident, reléguant aux calendes « grecques » d'hypothétiques plans d'investissement ou de relance."

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Le feu couve en Grèce, mais est ce que l'incendie ne démarrerait pas finalement en Espagne?

Une partie du renflouement de l'Espagne - en sus du renfloument complet du Portugal et de la Grece - est comprise dans le MES FESF machin bidule doper a 1000 milliards. Le principal souci c'est la chute du PIB de ces pays qui rend perspective d'équilibre douteux. Et comme les autres pays eurozone n'arrivent plus a tirer le PIB vers le haut - un voisin en croissance vois sa croissance rejaillir en parti sur les autres -, on se demande bien par quel truchement on va réussir a produire la richesse indispensable pour tenir les plans.

Le souci c'est si l'Italie aussi a besoin de crédit ... Parce que la par rapport a la Grèce ou le Portugal on rentre dans un autre monde ou quelques centaine de milliards ne suffirait qu'a tenir quelques mois.

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Technicolor : la défaite du « produire français »

Pour Montebourg et Bayrou, Technicolor est devenu le symbole de la désinstrualisation. L’entreprise, qui fabrique des « box » ADSL, va fermer son usine d’Angers, sa dernière usine en France. Les fournisseurs d’accès Internet, même Orange, préfèrent faire fabriquer leurs modems à l’étranger.

Pour Arnaud Montebourg, ce sera « un dossier prioritaire » du futur gouvernement. Technicolor, entreprise française issue du démantèlement de Thompson, pourrait fermer son usine d’Angers, sa dernière en France. 350 postes sont en jeu. Le député de Saône et Loire a rencontré les salariés concernés le 1er mai. L’usine angevine fabrique notamment des « box » internet pour les FAI comme Bouygues ou des opérateurs espagnols ou israéliens. Mais Technicolor cherche des éventuels repreneurs. En comptant les postes en recherche et développement, Technicolor devrait supprimer en tout 600 emplois.

Pour éviter cela, le gouvernement est au taquet. Eric Besson, ministre de l’Industrie, en a appelé à l’intervention du Fonds stratégique d’investissement. Mais l'autre sauveur de Technicolor pourrait être la banque américaine JP Morgan qui pourrait détenir 30% des parts de l’entreprise dans le cadre d’une augmentation de capital, malgré les réticences du gouvernement à voir une entreprise étrangère prendre le contrôle d'un pilier de la haute technologie française.

La fermeture de l’usine d’Angers est devenue le symbole du déclin du «  produire français ». Un thème à la mode chez les politiques. Pas seulement chez Montebourg mais aussi chez Marine Le Pen, mais les salariés de Technicolor ont refusé sa venue à Angers. Alain Rousset, chargé de l’industrie dans l’équipe Hollande, a également rencontré une intersyndicale de l’usine d’Angers.

Délocalisations

François Bayrou a également investi le créneau pendant la campagne du 1er tour. Et il a trouvé une cible toute désignée : Orange. En effet, c’est la perte de ce gros client qui a précipité les difficultés de Technicolor selon le centriste. En septembre, l’opérateur historique a retiré le marché de la fabrication de la future LiveBox à Technicolor, préférant SagemCom, qui appartient au groupe Carlyle. 

Ce retrait a entrainé la colère de Bayrou : « Est-ce qu'ils réfléchissent un peu plus loin que le bout de leur nez ?». Le président du MoDem a affirmé sur RMC qu’Orange « supprimait la fabrication des décodeurs en France et allait la transférer dans le Sud-Est asiatique ».

Orange s’est défendue. Pour son PDG Stéphane Richard, Orange « n'est en rien responsable des difficultés de Technicolor sur le site d'Angers ». Dans Le Figaro, il a pointé les retards pris par l’entreprise dans la fabrication de la LiveBox comme cause du retrait du marché. Face à Free et sa Freebox révolution, Orange devait répliquer rapidement et n’a pas fait de sentiments face à son sous-traitant.

Pour autant, Richard a bien du admettre que la production de ses LiveBox, comme celle de ses concurrents, allait quitter le sol français. Il a indiqué en cela que SagemCom est une « entreprise française dont la recherche et développement est en France », sous-entendant que ses sites de productions sont à l’étrangers, l’entreprises ayant plusieurs implantations en Chine. Contactée, SagemCom n’a pas précisé dans quels pays précis allait être assemblée la future LiveBox.

La faute de l'OMC

L’autre coup porté contre l’usine d’Angers vient de la Commission européenne. A la demande de l’OMC, Bruxelles a mis fin en 2011 aux droits de douanes de 14% frappant les box ADSL. Pour Richard, « c'est cette décision qui a créé le manque de compétitivité de l'usine d'Angers. Ce n'est en aucun cas la responsabilité de France Télécom ! ». Cette taxe était destinée à protéger les emplois européens face aux produits à bas coûts asiatiques, mais pour l’OMC, ce n’était là qu’une entrave à la sacro-sainte concurrence. Mais comment parler de libre concurrence, quand les usines chinoises ne s’embarrassent pas ou peu de règles sociales ou environnementales.

« Nous ne pouvons plus nous permettre de fabriquer des décodeurs en France (…) Nous étions l'irréductible Gaulois, mais à un moment, il faut savoir que la bataille est perdue », a admis Frédéric Rose, PDG de Technicolor. Le « produire français » dans un domaine aussi stratégique que les nouvelles technologies a donc du plomb dans l’aile.

Si les patrons du numérique vantent le potentiel de croissance de leur secteurs, ils ferment des usines de haute technologie en France. Si Stéphane Richard dénonce dans Libé « l’idéologie de la concurrence, un dogme très européen », dans Le Figaro, il défend la délocalisation de la production française. Mais l’enjeu dépasse celui de Technicolor. La volonté de l’OMC de supprimer les barrières douanières au profit de la libre concurrence et au détriment de l’emploi est aussi en cause. Si Montebourg veut vraiment défendre l’industrie française, il devra inciter son candidat à remonter jusque là.

Marianne2.fr

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Une partie du renflouement de l'Espagne - en sus du renfloument complet du Portugal et de la Grece - est comprise dans le MES FESF machin bidule doper a 1000 milliards. Le principal souci c'est la chute du PIB de ces pays qui rend perspective d'équilibre douteux. Et comme les autres pays eurozone n'arrivent plus a tirer le PIB vers le haut - un voisin en croissance vois sa croissance rejaillir en parti sur les autres -, on se demande bien par quel truchement on va réussir a produire la richesse indispensable pour tenir les plans.

Le souci c'est si l'Italie aussi a besoin de crédit ... Parce que la par rapport a la Grèce ou le Portugal on rentre dans un autre monde ou quelques centaine de milliards ne suffirait qu'a tenir quelques mois.

Le MES pourra t'il gérer et la dette espagnole et la fragilité du système bancaire espagnol?,

les deux problématiques sont connectées mais elles demeurent distinctes dans leur traitement (du moins tant que l'état espagnol n'a pas nationalisé les dites banques  ;)). Nombreux considèrent que les bilans des banques ibériques ne reflètent pas la valeur réelle de leurs actifs, immobiliers en particulier, avec la récession la valeur des ces actifs baissera d'autant il sera difficile de faire illusion plus longtemps..a savoir si les petits génies de la commission européenne ont intégré ce risque dans leurs modélisations.

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Vue l'opacite des systemes bancaires en europe, je ne pense pas qu'il y ait un seul etablissement presentant publiquement des chiffres proches de la realite, que ce soit pour les valeurs de leurs actifs ou autre chose, qu'il s'agisse des banques iberiques ou des autres.  O0

Pour ceusses voulant echapper au marasme et/ou au chaos a venir, je leur conseille d'apprendre le mandarin, pour les jeunes qui ont les tripes de se bouger, il est encore temps.

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A la demande de l’OMC, Bruxelles a mis fin en 2011 aux droits de douanes de 14%

pas uniquement de l'OMC ... mais surtout des opérateurs internet et des nombreux intervenants du secteur qui se gavent littéralement depuis des années et qui voient dans cette mesure un moyens d'augmenter leurs bénéfices

le lobbying à Bruxelles mobilise ... 14000 personnes

le diable se niche dans les détails et l'OMC  a bon dos  ;)

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Vue l'opacite des systemes bancaires en europe, je ne pense pas qu'il y ait un seul etablissement presentant publiquement des chiffres proches de la realite, que ce soit pour les valeurs de leurs actifs ou autre chose, qu'il s'agisse des banques iberiques ou des autres.  O0

Même chez les tricheurs ou les incompétents, il existe une hiérarchie, et pour le moment les plus gradés semblent se trouver dans le sud de l’Europe, c'est ainsi, nul ne sert de le nier, surtout si on cherche à régler le problème.

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Technicolor : la défaite du « produire français »

La défaite des politiques tout court.

Qui a détricoté THOMSON ?

Ce n'est d'ailleurs pas la seule entreprise à s'être fait sabordée par le pouvoir en place et j'ai l'impression qu'il va encore y en avoir ...

Même chez les tricheurs ou les incompétents, il existe une hiérarchie, et pour le moment les plus gradés semblent se trouver dans le sud de l’Europe, c'est ainsi, nul ne sert de le nier, surtout si on cherche à régler le problème.

Mais non pas du tout ... tu n'as rien compris toi  :P

Dans le sud de l'Europe, ceux sont les plus nul, ceux qui se font prendre ...

La crême est à Wall Street and the cream of the cream is in London.  ;)

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Vu sur le blog de PJ. Le parti Néo-Nazi remporte 21 sièges en Grèce et profite de la déroute du Pasok :

Dans cette vidéo, le leader de ce parti demande aux journalistes de se lever lorsqu'il entre dans la pièce. Ceux (les journalistes) qui lui font allégeance peuvent rester. Les autres doivent partir...  :-[

Une petite brique de plus vers la troisième guerre mondiale.

http://www.youtube.com/watch?v=E4AXJx3IzdY

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Une petite brique de plus vers la troisième guerre mondiale.

Mais comme les pays européens n'ont plus vraiment d'armées on va la faire avec des bâtons et des pierres.

Maintenant oui, c'est possible que ça finisse en guerre et ce serait normal. Comme je l'ai déjà dit ça fait partie dub cycle de vie des Nations et des "empires". On n'est rien, on s'élève, on a un âge d'or, puis le déclin qui finit en écroulement (en cours) et une recomposition qui généralement est plutôt violente, puis ensuite on reconstruit, on se ré-élève, et ainsi de suite.

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Le parti Néo-Nazi remporte 21 sièges en Grèce et profite de la déroute du Pasok :

C'est un avertissement inquiétant et on ne peut plus clair. A force d'intégration à marche forcée en se foutant de l'avis des peuples, des crises économiques amplifiées par la politisation de la monnaie, de fonctionnement non démocratique qui impose de quasi diktats aux petits pays par la pression économique, cela produit forcément ce genre de réaction par effet de balancier, aussi nauséabonde, caricaturale et délirante soit elle. Les populistes et extrêmistes de tout poil ont de beaux jours devant eux, le message sous jacent n'ayant aucun chance d'être entendu: il ne rentre pas dans le format idéologique UE.  :P

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