Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
 Share

Messages recommandés

  • Réponses 9,1k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Que l'on m'explique alors  l'interet des agences de notation qui disaient lundi que certains pays, dont la France etaient stable et aucune menace ne pesait sur leur AAA.

Tu vois pas qu'on nous cache la gravité de la situation ? POUR EVITER la panique de chez PANIQUE !!! En plus , ceux ne sont pas les notations qui plombent la bourse, mais bien le dessous des iceberg : grec/italien voir espagnol

la detente des tx longs sur l'obligataire, du vrai cinema !!!!pour gogo

au lieu de purger un bon coup en juillet....on en parlait plus......................on est barré pour passer 2800 PTS ce soir ou demain soir...

Et la perte de confiance s'installe...et là....bienvenue aux "vadeurs"  

on découvre ce qu'on aurai du "savoir "en juillet...

A SAVOIR que les dettes dites souveraines de certains pays européens  vont poser des problemes plus serieux qu'on a bien voulu penser , tous avant de se barrer en congés fin aout, je vous parlais DES PROVISIONS HIER SOIR, c'est confirmée, elles ne sont pas assez importantes !!!

dettes souveraines + ralentissements éco...........uh làlà

un conseil, ne pas rentrer en bourse pour l'instant tant que la direction  de celle ci n'est pas clairement définié, au risque même de perdre certaines occasions...

C'est trop chaud.... :O

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Que l'on m'explique alors  l'interet des agences de notation qui disaient lundi que certains pays, dont la France etaient stable et aucune menace ne pesait sur leur AAA.

Les trois l'ont répété hier ... sauf que c'est pas valable ad vitam eternam. C'est réévalué régulierement au vu des ratio économique et financier, et de ce coté les choses ne vont pas s'arranger, c'est d'ailleurs pour cela que NS a lancer le branle bas a ses ministre pour trouver des sous partout ... mais en période de campagne c'est pas évident.

Petit exemple les réduction d’impôt et autres allégement deci dela depuis 2002 c'est 50 milliards de manque a gagné par ans, soit un peu plus de 400 milliards, soit 20 point de PIB ;)

Autre exemple frappant, les aide au entreprise allégement de charge et autres arrangement, coute plus que l’impôt sur les entreprise rapporte.

Des marges de manœuvre il y en a et des grosses... c'est probablement ce qu’attendre les agences pour pérenniser le triple AAA

Dernière chose les retraites ... avant noël normalement le systeme devrait encore gripper et on devrait pour satisfaire les ratio machin bidule encore modifier les conditions pour rester dans les clou.

A ça faut ajouter la participation de Paris au fond de soutient machin qui va nous couté quelques centaine de milliards qu'il faut trouver aussi ...

Sinon moi je reste sur 3000 point CAC en daily comme seuil ... je vois pas trop l’intérêt d'aller chercher en dessous.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On voit aussi qu'avec AAA la France emprunte plus chère que les USA avec AAx et ce cout ne cesse d'augmenter et ça deviendra de plus en plus difficile d'aider les autres PIIGS sans se passer la corde autour du coups.

A quand un "La France n'a qu'à vendre ses iles, ses participations dans les entreprises xyz au rabais, Carla?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Juste une précision. Les agences donnent deux choses:

- une note qui défini la situation à l'instant T

- une tendance (hausse, stable, baisse) sur une durée de 6 à 24mois.

Donc concrètement, si S&P annonce AAA stable, nous avons juste à conserver notre politique pour rester en AAA.

Maintenant, nous sommes surévalués par les agences. Nous sommes plus proche de AA+ dans les faits. Et il y a des subtilités. Ainsi, comment coter un PIB dont 30% vient de l'économie parrallele: l'Italie?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et voilà, le cac qui s'installe sous les 3000 POINTS

on s'en rappellera du mois d'aout :O

C'est trop chaud.... :O

pas d'affolement,  ;)

Tu me fais bien rire en tout cas Trimix. Prends de la distance. Part en vacance, t'es trop le nez sur les cours, c'est là que l'on fait des erreurs et que l'on perd de l'argent au final.  :-[

Enfin ... heureusement G4lly est là pour parler d'économie et pas de bourse(s)... :P

Les trois l'ont répété hier ... sauf que c'est pas valable ad vitam eternam. C'est réévalué régulierement au vu des ratio économique et financier, et de ce coté les choses ne vont pas s'arranger, c'est d'ailleurs pour cela que NS a lancer le branle bas a ses ministre pour trouver des sous partout ... mais en période de campagne c'est pas évident.

Petit exemple les réduction d’impôt et autres allégement deci dela depuis 2002 c'est 50 milliards de manque a gagné par ans, soit un peu plus de 400 milliards, soit 20 point de PIB ;)

Autre exemple frappant, les aide au entreprise allégement de charge et autres arrangement, coute plus que l’impôt sur les entreprise rapporte.

G4lly, attention certains de ces "arrangements" permettent tout simplement à l'activité de se maintenir. Je ne dis pas que c'est le cas non plus pour tout mais on a clairement soutenu l'économie dans les trois ans qui viennent de s'écouler.

Dernière chose les retraites ... avant noël normalement le systeme devrait encore gripper et on devrait pour satisfaire les ratio machin bidule encore modifier les conditions pour rester dans les clou.

Ceux sont les fonctionnements de toutes les caisses sociales qui sont à revoir en France.

On fonctionne avec des systèmes de cotisations dont les paramètres (durée de cotis, age de départ, nb de médoc remboursés, etc ...) sont à revoir tous les quatre ans pour se réajuster sur l'évolution démographique et constater que la caisse est trop dans le rouge.

La VRAI réforme qui ferait sortir la France de ce marasme, c'est la modification systèmique pour ne plus que ces caisses puissent être déficitaires. D'ailleurs, il faudrait changer leur nature pour en faire des caisses de solidarité, les riches pouvant déjà se payer des retraites complémentaires et mutuelles qui prennent le gros des paiements à leur charge (enfin après cotisations ...).

J'ajoute la TVA "sociale" (qui n'a rien de sociale  :P, mais permet de rebalancer la balance commerciale) et le contrôle des prix de l'immobilier par l'état (augmentation du pouvoir d'achat réel) et on est bon pour éponger la dette en 30 ans  :oops:  :oops:  :oops:

Triple A, easy.  :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Juste une précision. Les agences donnent deux choses:

- une note qui défini la situation à l'instant T

- une tendance (hausse, stable, baisse) sur une durée de 6 à 24mois.

Donc concrètement, si S&P annonce AAA stable, nous avons juste à conserver notre politique pour rester en AAA.

Maintenant, nous sommes surévalués par les agences. Nous sommes plus proche de AA+ dans les faits. Et il y a des subtilités. Ainsi, comment coter un PIB dont 30% vient de l'économie parrallele: l'Italie?

Le grooos probleme des agences qui note la solvabilité, en ce ce moment c'est le risque pays/politique. Or en France ce risque est faible du fait du systeme majoritaire. En gros un gouvernement qui a forcément une majorité a l'assemblée nationale du fait meme du systeme électoral, peut faire passer n'importe quelle hausse d’impôt ou baisse de dépense a la sauvette s'il faut. Et comme je l'explique plus haut il y a des marges importantes, malgré le fort tôt de prélèvement obligatoire.

Le CAC a pris 2.89% et le DJI finira a nettement au dessus autour de 5% :) La fin du monde n'était pas pour aujourd'hui.

Un petit graphique interessant de chez JP Morgan relayé par the Big Picture, qui relativise quantitativement la crise actuelle.

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

VAD, pas seulement celle a nue, suspendues sur les bancaires.

Ventes à découvert interdites à Paris sur les valeurs financières pour 15 jours

PARIS - L'Autorité des marchés financiers (AMF), le gendarme boursier français, a interdit les ventes à découvert sur les valeurs financières cotées à Paris pour une durée de 15 jours, a annoncé jeudi soir son président Jean-Pierre Jouyet.

L'Espagne, l'Italie et la Belgique vont prendre des mesures similaires, a indiqué de son côté l'ESMA, le régulateur financier européen, sans préciser la nature exacte de ces mesures.

Nous avons décidé d'interdire (...) les ventes à découvert sur les actions de onze banques et assurances cotées sur le marché français, cela pour une durée de quinze jours, a déclaré M. Jouyet à l'AFP.

L'AMF avait déjà interdit les ventes à découvert sur les valeurs financières cotées à Paris entre septembre 2008 et début février 2011.

Les ventes à découvert sont un mécanisme spéculatif qui consiste à emprunter un actif dont on pense que le prix va baisser et à le vendre, avec l'espoir d'empocher une forte différence au moment où il faudra le racheter pour le rendre au prêteur.

Cette pratique est accusée de précipiter la chute des actions les plus fragiles et d'aggraver l'instabilité sur les marchés financiers.

Cette décision a été prise en concertation avec les autres autorités européennes de régulation des marchés sous l'égide de l'ESMA, a ajouté M. Jouyet.

Nous avons à faire face dans différents pays européens à des rumeurs qui ne sont pas fondées et qui entravent le bon fonctionnement des marchés, a relevé le président de l'AMF.

Ces rumeurs peuvent être assimilées à des abus de marché, a expliqué M. Jouyet en reprenant le terme par lequel l'AMF désigne les manipulations de cours, les délits d'initié et la diffusion de fausses informations.

Depuis mercredi, la plupart des valeurs financières françaises sont la cible de rumeurs alarmistes sur les marchés boursiers et ont subi de lourdes pertes, de plus de 10% pour certaines.

M. Jouyet a d'ailleurs estimé que des investisseurs avaient voulu tester la résistance française en provoquant les chutes des valeurs financières en Bourse ces derniers jours.

On a voulu tester la résistance française, a-t-il déclaré à l'AFP. Voilà notre réponse, elle est comme toujours très déterminée et elle le sera face à tous ceux qui veulent nous tester, a-t-il affirmé.

Les valeurs financières concernées par l'interdiction sont Axa, April Group, BNP Paribas, CIC, CNP Assurances, Crédit Agricole, Euler Hermès, Natixis, Paris Ré, Scor et Société Générale, a précisé l'AMF.

(©AFP / 11 août 2011 23h26)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le CAC a pris 2.89% et le DJI finira a nettement au dessus autour de 5% :) La fin du monde n'était pas pour aujourd'hui.

Un petit graphique interessant de chez JP Morgan relayé par the Big Picture, qui relativise quantitativement la crise actuelle.

Image IPB

Rebond technique mon g4lly,

En revanche, sauf à ne pas comprendre le graphe de droite, il met en evidence la grande depression de 29 ( us)

le probleme aujourd'hui est l'imbrication des économies mondiales....

le ralentissement est planetaire, ou presque.

sinon, je suis OK avec le reste

a +

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les trois l'ont répété hier ... sauf que c'est pas valable ad vitam eternam. C'est réévalué régulierement

Ca, je l'ai bien compris. Mais qu'une chose dite vendredi ou lundi soit mise en doute le mercredi suivant, c'est de la blague.

PAr contre, le AAA de la France, il me semble effectivement bien mal en point.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Un petit graphique interessant de chez JP Morgan relayé par the Big Picture, qui relativise quantitativement la crise actuelle.

A mettre cependant avec d'autres données pour en évaluer l'impact:

- niveau de concentration de la richesse dans un pays donné

- taux d'urbanisation

- taille de la population agricole

- niveau/capacité pour l'agriculture vivrière

....

Juste quelques exemples histoire de montrer l'impact potentiel peut-être pas si éloigné que ça non plus: des populations urbaines pour l'essentiel et une agriculture réduite à sa plus simple expression = une population qui n'a pas la possibilité de vivre, ou même vivoter, d'agriculture vivrière, élément qui procurait une certaine "résilience" de populations à majorité rurales à d'autres époques. Même l'Amérique des années 30 est encore à plus de 50% paysanne, et malgré les icônes venant de Steinbeck et le panorama du "Dust Bowl", c'est un "coussin amortisseur" majeur pour une société. Une population essentiellement urbaine forgée par une division du travail très poussée est dépendante à l'extrême, fragile. Pour le coup, les mécanismes sociaux peuvent être largement dépassés, et là y'a rien pour compenser la différence, sinon de brusques poussées de "l'économie parallèle". Marseille est à cet égard un cas révélateur.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

http://www.atlantico.fr/decryptage/crise-sarkozy-ps-avenir-162295.html

Le cruel manque de courage politique face à la crise

Pour répondre ou compléter l'excellente analyse d'Alain Renaudin sur le double crack, il faut maintenant se poser la question du comment faire. Ce ne sont pas ceux par qui les problèmes arrivent qui sont en mesure de résoudre les difficultés qu’ils créent. Nos démocraties courent après les électeurs car c’est le propre d’une démocratie, ce sont eux qui ont le pouvoir.

Le résultat, c’est qu’on est atterré de voir qu'en France au moment où l’économie du monde bascule, nos "élites " politiques ne pensent qu’à accuser le camp d'en face : Sarkozy serait à l’origine de la dette et la seule réaction face à la proposition de voter l’inscription dans la constitution de l’obligation d’un budget équilibré (ce à quoi personne ne peut dignement s’opposer) est de dire que cela va " profiter" à Sarkozy ! On veut bien que ce soit bon pour la France mais uniquement si cela ne profite pas au Président sortant : c’est le sens de l’Etat à la française.

Oublions la technique financière un instant, au moment où les Français ont besoin d’une union nationale qui serait la fierté de la classe politique, on ratiocine sur les cadeaux fiscaux histoire de capitaliser sur la jalousie sociale et la désignation d’un bouc émissaire, c'est toujours payant ! Et pendant ce temps les  primaires socialistes continent d’agiter les esprits : beau challenge lorsque les révolutions se bousculent à nos portes, révolutions économiques, sociales, monétaires... Des socialistes mal à l'aise face à une crise dite du capitalisme : en effet comment revenir en arrière après avoir décrié des années durant les profits boursiers ? Comment faire semblant de s’inquiéter aujourd'hui  de voir toutes les bourses chuter ?

Alors on se frotte les mains : les puissances du mal capitalistique se sont déchainées : « on vous l’avait bien dit ». Aucune remise en question, aucun désir de consensus, un seul objectif de réappropriation de tout ce qui peut d’une façon ou d’une autre être utile électoralement ; aucune vision, aucun remord de s’être trompé, aucun désir de voir plus loin que le supermarché des programmes politiques ; un manque de hauteur très préoccupant. On aimerait pourtant qu’à droite comme à gauche on sache reconnaitre qu’une idée est bonne ou qu’une proposition mérite d’être testée quel qu’en soit son auteur. On ne sait plus réfléchir en dehors d’un schéma clanique, si tout le monde maintenant s'accorde à dire qu’il faut réduire de façon drastique l’endettement, on continue de promettre des sommes folles pour le budget de la culture, festival d’Avignon oblige... Et on ressort les vieilles lunes : le départ à la retraite  qu’on remettra plus tôt, les 35 heures sacrées, le droit au logement, les effectifs de la fonction publique à renforcer, etc.

Quid d'un débat non-partisan ?

Il n’y a plus de débat intellectuel et  non-partisan, et le peuple le sent. Les opinions publiques sont plus exaspérées par l’indigence des discours et l'absence de crédibilité des propos tenus, que par la dégradation de leur condition. Perdre la foi en ses élus c’est perdre la foi en son pays, en son avenir, et courir après ces opinions révoltées c’est la certitude de les révolter un peu plus.  L’Europe toute entière est concernée par ces petites lâchetés successives qui ont abouti à des mensonges d’Etat ; à force d’accuser l’Europe des contraintes qu’on n’avait pas le courage de justifier, on a fini par faire détester cette Europe qui n’a jamais moins existé  qu’aujourd’hui.

Le devoir de pédagogie de la situation que nous vivons, est pourtant un devoir d’Etat. Il faut dire les choses, reconnaitre les erreurs, sortir des clichés et des solutions éculées, dépasser les idéologies racoleuses.

Prenons l’Euro, ce tabou des élites. On ne peut en évoquer la sortie sans se faire snober et balayer d’un revers de main méprisant  par des experts qui pourtant vont d’erreurs en fausses prévisions présomptueuses. Si l’on envisage la question d’en sortir, on se fait  traiter de Lepéniste. On ne peut partager une idée sans être montré du doigt et catalogué comme appartenant à la secte de ceux qui défendent la même opinion.

On a vendu l’idée et le principe d'un Euro qui est devenu le cache sexe des dépenses publiques, ces dépenses publiques destinées à acheter une paix sociale à coup d'une redistribution mal gérée et exorbitante. L’Euro a masqué la nécessité de dévaluations qui auraient rétabli la compétitivité  et surtout qui auraient contraint ceux qui dévaluaient à expliquer pourquoi et à cesser de dépenser ! L’Euro a laissé croire aux peuples que lorsque les caisses étaient vides elles ne l’étaient pas vraiment. Bref, l’Euro a permis aux gouvernements de frimer ! Alors il va falloir revenir en arrière, Euro ou pas, et c'est ce qu’il y a de plus difficile. Expliquer qu’il faut travailler plus, que l’on ne peut pas entretenir tout le monde, que l'on a trop promis, que l'éducation fonctionne mal, que nos dépenses de santé doivent s’envisager autrement et par tous les acteurs et par tous les consommateurs, que les congés maladie ne sont pas un du, que les pays de cette Europe trop multiple ont des économies à des niveaux trop différents.

Il va falloir aussi donner l'exemple de la mesure et les grands patrons en premier, même si leurs renoncements ne feront pas gagner un euro de plus à leurs salariés, c’est une question de décence témoignant de la fin d’un  certain mépris indifférent.

A l'inverse, il va falloir laisser les gens s’enrichir sans leur mettre des bâtons dans les roues à tout propos. Les hommes politiques donneront l’exemple aussi, réduiront visiblement (important le « visiblement ») leur train de vie et celui de l’Etat au sens large. Les médias cesseront un peu de jouer la carte du misérabilisme et de la catastrophe qui fait vendre, on renoncera un peu à traiter de salauds ceux qui réussissent et à excuser ceux qui vivent au crochet des autres. Cela n’empêchera peut-être pas les banlieues de partir en guérilla comme en Angleterre, mais une responsabilité individuelle retrouvée, un peu d’honneur à la place des compromissions, des vocations sincères pour redresser d’abord la France puis l’Europe sans tout réduire à de la promotion électorale, voilà qui serait de bonne augure et qui pourrait à la longue changer la face du monde. C’est ce que tout le monde réclame en ce moment, non ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour Asselineau la fin de l'euro peut arriver très vite. Il explique pourquoi.

http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/le-chateau-de-cartes-s-effondre-la-98836

Quand les Allemands ne profiteront plus de l'euro (pour cause de pays latins et anglo saxons trop endettés) il le laisseront tomber. Leur plan serait deja dans le tiroir. Tandis que chez nous nous n'avons rien prévu, en cas d'explosion de l'Euro on va improviser dans l'urgence.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour Asselineau la fin de l'euro peut arriver très vite. Il explique pourquoi.

http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/le-chateau-de-cartes-s-effondre-la-98836

Quand les Allemands ne profiteront plus de l'euro (pour cause de pays latins et anglo saxons trop endettés) il le laisseront tomber. Leur plan serait deja dans le tiroir. Tandis que chez nous nous n'avons rien prévu, en cas d'explosion de l'Euro on va improviser dans l'urgence.

Sans l'euro les allemands verrait leur mark se valoriser de 50% ce qui ne les arrange pas vraiment ... et leurs clients intracommunautaires ne plus acheter leur produit. Faut pas se leurrer, les allemands fanfarronnent mais ne sont pas dans un situation magique, sauf qu'ils se sortent moins mal que les autres de ce contexte.

Pour ce qui est des eurobond, ca implique une quasi mise sous tutelle des budget nationnaux... Les italiens l'ont inauguré avant hier, il ont du soumettre leur plan de retour a l'équilibre a la BCE avant de ce voir octroyer le rachat de dette. Les eurozonard du nord ne participeront aux eurobond que si un tel mécanisme de contorle des budget nationaux existe, garantissant la non dégration de la solvabilité globale.

Si les allemands perdent leur voisins clients quasi captifs ... les choses pourraient moins bien se passer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les Allemands sont les premiers bénéficiaires de l'Euro. En sortir serait largement contre-productif pour eux.

Dévaluer l'Euro serait aussi assez catastrophique pour l'Allemagne quoiqu'on en dise.

Enfin, l'Euro, dans sa globalité est sain si on mutualise toute la zone Euro.

D'ailleurs le fait que les fonds souverains, en particulier Asiatiques, achètent de l'Euro à tour de bras montre que les fondamentaux sont bons. Ils ne le font pas que pour diversifier face au dollar.

Je les vois mal investir 20% de leurs fonds dans du dollar Zimbabwéen...

Nous ne vivons pas une crise de l'Euro, nous vivons une crise de la dette. L'avantage de la France est que les Français ont tout plein d'économie. L'état serait bien inspiré de faire des emprunts d'état - réservés aux Français.

Virer les niches fiscales, mettre la TVA à 20%, etc... Il y a de quoi faire.

Et dérouler le tapis rouge aux PME, surtout exportatrices.

Problème : Les élections arrivent en Allemagne comme en France ce qui paralyse les actions à mener.

Autre problème : Les marchés n'attendront pas les élections.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 979
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Personne
    Membre le plus récent
    Personne
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...