Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
 Share

Messages recommandés

J'aime bien. C'est de qui ?

C'est de lui:

Éric Verhaeghe est l'ancien Président de l'APEC (l'Association pour l'emploi des cadres) et auteur de Jusqu'ici tout va bien (éditions Jacob-Duvernet, 2011).

Diplômé de l'ENA (promotion Copernic) et titulaire d'une maîtrise de philosophie et d'un DEA d'histoire à l'université Paris-I, il est né à Liège en 1968.

Il publie des articles sur "Atlantico.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 9,1k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

La vidéo de Pierre Jovanovic plus haut est un bon résumé de la situation apocalyptique.

Intéressant aussi : Max Keiser en 2009 qui nous exhorte à sortir du dollar tant qu'on le peut encore et à acheter de l'or qui allait vers... les 1000$ l'once (1900$ l'once à l'été 2011 !).

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=DvQO1NPX5sk

EDIT/ En fait,Keiser dit "two thousand dollars", l'once. Cela n'enlève rien au fait qu'il avait raison. On y est à l'automne 2011.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En 2010, Christine Lagarde négociait secrètement avec la Chine pour le "Bankor", un retour au standard OR !!!

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=Q1XFuB8PBU8

Le très probable futur président américain Ron Paul annonce que "Les USA sont foutus !!!"

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=7pOca3-yUMU

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui enfin la CNUCED oublie de nmbreuses choses.

L'ensemble des points sont régulièrement débattus. Et le marché est et restera le point central. Nous ne sommes pas en economie administrée aussi la hausse des salaires comme d'autres points ne dépendent pas pas de l'état mais de la capacité ou non des employeurs à augmenter les salaires. De même pour le cas grec. Le mesures appliquées sont regulierment dénoncées.

Pour les auteurs économiques que l'on écouté pas, Marianne parle-t-elle de la fin de l'Euro qu'ils voient comme inéluctable?

Les recettes appliquées a la Grece sont équivalentes a celles appliquées a l'Argentine en 98 et a d'autres pays d'AmSud. Les conséquences sont sans surprise, c'est la récession et le défaut de paiement. Et ils vont recommencer si on les laisse faire.

Dans un marché qui fonctionne normalement la monnaie d'un pays avec un deficit de la balance des paiement se dévalue et arrête ainsi la récession.

Une régulation des marchés est tout ce qu'il y'a de plus commun. Les taux de réserves obligatoires des banques ou bien les droits de douane existent dejà aujourd'hui, la séparation des activités bancaires ont existés dans le pays liberal n° 1.

C'est juste que les régulations ont été soit supprimés, soit leurs taux sont devenus ridicules sous la pression de la tendance néolibérale.

Les marchés totalement libres ne fonctionnent qu'un temps et se dérèglent avec monopoles, ententes, lois funestes contre l'économie réelle dues a la corruption de la classe politique etc... et donc soit on laisse sur le bord du chemin la plupart de la population active soit on a une exploitation injuste de la force de travail. T’inquiètes pas imposer des limites aux marchés nous mèneront pas en Corée du Nord.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les marchés totalement libres ne fonctionnent qu'un temps et se dérèglent avec monopoles, ententes, lois funestes contre l'économie réelle dues a la corruption de la classe politique etc... et donc soit on laisse sur le bord du chemin la plupart de la population active soit on a une exploitation injuste de la force de travail.

Nous pensons la même chose. Le désastre fut le passage du libéralisme aux sirènes du neo-libéralisme.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En 2010, Christine Lagarde négociait secrètement avec la Chine pour le "Bankor", un retour au standard OR !!!

C'est un secret de polichinelle... depuis le début de la crise on envisage un retour a l'étalon or pour fixer la parité des monnaie en dur et eviter la course a l'échalotte des change flottant et des émissions monnaitaire a l'emporte piece.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hopla le gouvernement allemand envisage officiellement un défaut de paiement de la Grèce, et donc d'une restructuration profonde de la dette grecque ... en gros un non paiement.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/09/12/berlin-n-exclut-plus-une-faillite-de-la-grece_1570782_3234.html

Le sujet est de moins en moins tabou. Dans un commentaire à Die Welt, le ministre de l'économie allemand, Philipp Rösler, n'exclut pas une faillite de la Grèce pour sauver l'euro. "Pour stabiliser l'euro, il ne doit plus y avoir à court terme d'interdiction de penser à certaines options. Parmi elles, il y a, en cas d'urgence, l'insolvabilité ordonnée de la Grèce, si on a à disposition les instruments nécessaires", y écrit-il.

M. Rösler est vice-chancelier d'Allemagne, en tant que président des Libéraux, petit partenaire de la coalition gouvernementale avec les chrétiens-démocrates d'Angela Merkel. Mais celui qui donne réellement le ton en matière économique dans le pays est le ministre des finances, Wolfgang Schäuble, membre du parti conservateur. Selon M. Rösler, les efforts d'Athènes en matière d'austérité sont encore insuffisants. "Le gouvernement grec doit savoir que les aides prévues dépendent de l'engagement du pays à se réformer", ajoute-t-il. Et d'appeler à l'établissement d'un système automatique de sanctions : "En cas d'entorses à la règle, il doit y avoir des conséquences, notamment un versement soumis à autorisation des aides issues des fonds structurels de l'Union européenne. En cas d'entorses persistantes, une suppression à court terme du droit de vote au sein du conseil des ministres de l'UE ne doit plus être un tabou."

En dernier ressort, une faillite ordonnée de la Grèce doit être possible avec pour objectif de "rétablir la capacité de fonctionner de l'Etat concerné, le cas échéant en limitant de façon temporaire ses droits de souveraineté", ajoute-t-il. Il prône également la participation substantielle des créanciers privés. L'Europe a besoin d'un "code de stabilité que les Etats membres appliqueraient selon leurs règles nationales et leur propre politique économique et financière", continue M. Rösler.

ET SI LA GRÈCE SORTAIT DE LA ZONE EURO ?

Cette prise de position intervient au lendemain de la publication par le magazine Der Spiegel d'un autre article sur le sujet. Dans celui-ci, le ministre des finances allemand, Wolfgang Schäuble, expliquait qu'il étudiait l'impact potentiel d'un défaut de la Grèce, imaginant plusieurs scénarios, dont l'abandon de l'euro par Athènes. Et, signe que la persistance de la crise de la dette inquiète profondément en Allemagne, l'ancien ministres des affaires étrangères Joschka Fischer, a déclaré que l'euro pourrait s'effondrer sous le poids de la crise.

Réunis vendredi à Marseille, les ministres des finances et banquiers centraux du G7 n'ont fait aucune annonce nouvelle. Ils se sont simplement engagés à répondre de façon forte et coordonnée aux défis posés par le ralentissement de la croissance, les déficits publics et les dettes souveraines. Une déclaration d'intention qui ne devrait pas dissiper les craintes existant en Allemagne et en Europe.

Selon le Spiegel, que la Grèce reste ou non dans la zone euro, les responsables allemands sont d'avis que le Fonds européen de stabilité financière (FESF) jouera un rôle clef dans la gestion d'un éventuel défaut du pays. La magazine ajoute que le FESF devrait être équipé le plus vite possible des nouveaux pouvoirs qui avaient été définis par les dirigeants européens le 21 juillet. Un porte-parole du ministère des finances a refusé de commenter l'article du Spiegel, tout en indiquant que Berlin travaillait à la mise en place de l'accord du 21 juillet, facteur de divisions en Allemagne. "La situation en Europe n'a jamais été aussi sérieuse. Jusqu'à présent, je ne pensais pas que l'euro pouvait échouer, mais si le choses continuent comme cela, alors il va s'effondrer", déclare Joschka Fischer dans le journal Bild am Sonntag.

Les paris sont lancés ... a quand la nationalisation de nos banque?!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A quand la prochaine vague de privatisations? Y a 70 milliards d'euros à récupérer : http://www.lesechos.fr/opinions/analyses/0201622449943-privatiser-pour-desendetter-217647.php Certes la Bourse est dans ses basses eaux, mais nous sommes en situation d'urgence non?

Pour que des privatisation aient un quelconque intérêt, autre qu'idéologique, faut il encore qu'il y ai des acheteurs ... les grecs n'ont pas renoncé a privatisé pour rien ... il n'avait pas d'acheteur a prix intéressant.

Et si les bourses baissent autant c'est justement qu'il y a pléthore de vendeurs et pas d'acheteurs, alors que les prix sont historiquement bas.

Accessoirement le probleme c'est pas le désendettement ... notre incapacité a produire de la croissance. Croissance qui est sérieusement la seule issu a la dette, en la dilluant dans l'augmentation du PIB.

Le message rassurant ce serait un budget structurellement a l'équilibre ET un minimum de croissance, mais même ca on en est incapable.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a un truc que je ne capte pas ; peut-être que tu as des pistes d'explication G4lly...

On nous explique que les Etats sont trop endettés. Je crois que c'est vrai mais POURQUOI DIANTRE, les investisseurs préfèrent déserter le marché actions pour se ruer vers les obligations d'Etat ??  :rolleyes: :P

ça devrait être le contraire, non ?

A moins que ce ne soit qu'un placement (sur les obligations d'Etat) de court terme, le temps de faire chuter les actions et de faire flipper les petits épargant qui vont vendre à perte, pour, ensuite, revenir sur le marché action et se servir.

Conséquence, je ne débouclerai pas !  >:(

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a un truc que je ne capte pas ; peut-être que tu as des pistes d'explication G4lly...

On nous explique que les Etats sont trop endettés. Je crois que c'est vrai mais POURQUOI DIANTRE, les investisseurs préfèrent déserter le marché actions pour se ruer vers les obligations d'Etat ??  :rolleyes: :P

ça devrait être le contraire, non ?

A moins que ce ne soit qu'un placement (sur les obligations d'Etat) de court terme, le temps de faire chuter les actions et de faire flipper les petits épargant qui vont vendre à perte, pour, ensuite, revenir sur le marché action et se servir.

Conséquence, je ne débouclerai pas !  >:(

Achète de l'or, il est encore temps, même s'il a déjà pas mal monté, car il va le faire encore avec la faillite probable de la Grèce.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a un truc que je ne capte pas ; peut-être que tu as des pistes d'explication G4lly ... On nous explique que les Etats sont trop endettés. Je crois que c'est vrai mais POURQUOI DIANTRE, les investisseurs préfèrent déserter le marché actions pour se ruer vers les obligations d'Etat ??

Quelles obligations d'états ;) LEs allemandes les US ... et quelques états dont ont estime la faillite absolument impossible... pour le reste les marché d'obligation d'état sont tenu par les banques centrales seulement.

Le probleme c'est qu'il faut bien faire quelques chose du cash ... sinon on perd de l'argent mécaniquement. Et donc les achat actuels sont des placement par défaut servant de couverture ni plus ni moins.

Pas sûr, je crois que lorsque l'abscé grec sera creuvé, sera un mal pour un bien.

La grosse inquiétude c'est que non paiement de la dette grecques n'entraine la même chose chez d'autres. Espagne, Italie, Portugal, France... d'autant que ca massacrerait les bilans des banques européenne qui les détiennent ces créances.

Outre le souci du défaut grec, l'autre gros probleme c'est que la politique d'économie et de restriction budgétaire qui impliquera mécaniquement une baisse de la croissance, déjà pas bien croissante ... baisse de la croissance qui aboutit a l'incapacité a court terme d'honorer la dette etc.

Au états unis la solution politique c'est la relance ... la relance et encore la relance. Ca vaut ce que ca vaut mais au moins ca donne le change et on sait ou on va. En Europe c'est le néant ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On commence à entendre chez les commentateurs : "vaut mieux sacrifier la Grèce maintenant que tout les PIIGS plus tard!"

Ou encore : "vaut mieux sacrifier la Grèce maintenant que l'EURO plus tard!"

Je parie un billet, ou plutôt un napoleon  ;) que la Grèce va être mise en position de défaut octobre au plus tard!

Les bancaires vont toucher le fond, l'EURO va se faire dérouiller et les dettes des PIIGS restant vont se faire massacrer.

Forte probabilité la France suivra, à moins qu'elle n'ait l'intelligence d'un sursaut coordonné avec les allemands de gouvernance économique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La relance ça a déjà été fait aux Etats-Unis et en grand. On recommence, et ce faisant on alourdit la dette. Ne serait-il pas plus judicieux de baisser les dépenses?

Plomber la croissance en allégeant massivement les dépense c'est la garantie d'une dette ingérable, par défaut de croissance et donc impossibilité d'assumer les interets.

Le seul moyen de maintenir la croissance a un niveau faible mais acceptable c'est d'injecter du cash en espérant que ca fera un peu de croissance et un peu d'inflation, les deux dilluant mécaniquement la dette et donnant une impression de santé correcte. Accessoirement ca entretien un monnaie faible qui aide les exportations.

Alors effectivement c'est une escalade qui peut sembler délirante, mais c'est malheureusement la seul issue qu'on connait. La dette - en ratio Pib essentiellement  - ca se réduit quand les chose vont bien et qu'on a des marges ... pas quand ca va mal.

Le jour ou on saurait produire de la croissance avec un fort recul des dépense publique on changera e tactique, mais pour le moment on sait pas faire. D'ailleurs la croissance depuis les année 70 est essentiellement basé sur l'emprunt, et sur un enchainement de "bulles", la croissance réelle de la richesse effective produite est bien plus faible que la croissance apparente.

En gros l'urgent c'est d'apprendre a vivre avec moins de déficit budgétaire ... mais sans réduire massivement la dépense publique, pour préserver un minimum la croissance déjà pas folichonne.

A cela il faut ajouter a tout prix des projet de croissance a moyen terme ... et les espoirs qui vont avec. La conversion énergétique "apres pétrole" est un des moteur potentiel, mais il faut en développer, re-développer, d'autre pour donner un sens a l'économie nationale. Il faut aussi rétablir l'autorité des état sur les flux financiers ... voir carrément sur le comportement des banques, et ainsi directement leur responsabilité sur le crédit aussi bien privé que public.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La relance ça a déjà été fait aux Etats-Unis et en grand. On recommence, et ce faisant on alourdit la dette. Ne serait-il pas plus judicieux de baisser les dépenses?

Par gouvernance économique, je n'ai jamais parlé de plan de relances, je pense plutôt à un signe clair de plan de réduction des dettes, harmonisation fiscale et réglementaire, règle d'or..etc, une sorte de fédéralisme économique franco-allemand auxquels se joindront ceux qui voudront de la zone EURO, les autres tant pis pour eux.

Les marchés ont besoin de voir qu'il y a un pîlote dans l'avion économique européen, il faut ensuite prendre à bras le corps le problème des banques, la nationalisation partielle est une solution mais elle doit se faire à l'échelle, au moins franco-allemande.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Donc on avait dit : BNP à 25 Euros, SG je n'ose même pas imaginer et CA... CA : CA vaut rien.

Fantastique !

Et Moody's n'a pas encore dégradé les banques ! Et la Grèce n'a pas encore fait officiellement défaut.

Bon, je vous l'accorde, la Grèce a déjà annoncé qu'il lui reste du cash pour octobre et après wallou.

Avec des contrôleurs de trains payés 7000 Euros par mois - véridique - (avec l'argent que l'Europe leur a prêté pour développer leur économie...), exemple parmi tant d'autres, il est temps que l'armateur Europe coupe les amarres du bateau Grèce.

J'aime ce type. Au moins il est est franc et direct : Jim Rogers, trader. "Je veux couler l'Europe pour me mettre l'épargne, les retraites, les dépôts des Européens dans mes fouilles".

http://plus.cnbc.com/rssvideosearch/action/player/id/3000044747/code/cnbcplayershare

LA VRAIE DETTE DES US: 211 TRILLIARDS

du 5 au 9 septembre 2011 : L'ancien conseiller économique de Reagan, Laurence Kotlikoff, a calculé que la vraie dette des US est de 211.000 milliards de dollars, et pas 14.000 comme l'a laissé penser le cirque de cet été, soit 15 fois plus :

http://www.npr.org/2011/08/06/139027615/a-national-debt-of-14-trillion-try-211-trillion

Ouf ! La Société Générale est sauvée ! La Société Générale demande à Rothschild de soutenir son cours de Bourse (28 août). Et ce, avec... 180 millions d'Euros (...). Je rappelle que la SG a 1021 Milliards dehors... Résultat : 15 Euros => tendance baissière version spéléologie.  :lol:

Ah !?!, bah non alors. Pas sauvée...  :lol: Des p'tits zig-zags tout pourris sur les graphiques, pas plus.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/banque/20110822trib000643686/la-societe-generale-demande-a-rothschild-de-soutenir-son-cours-de-bourse.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 980
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Personne
    Membre le plus récent
    Personne
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...