Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
 Share

Messages recommandés

  • Réponses 9,1k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Ça vas surtout finir par s'effilocher tout ces plans d'austérités qui ne servent à rien, car ils enfoncent les pays encore plus profondément dans la crise et floue les peuples.

Forcément y sont pas trop con et ne veulent pas se laisser faire, ça ne tiendra jamais sur le long terme de telles politiques, soit les pays exploseront en vol, soit les peuples renverseront les gouvernements.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qu'il y a c'est que la Grèce est placée sous la coupe réglée d'institutions étrangères, pas l'Espagne.

Et? souveraineté nationale? difficile de parler de souveraineté nationale quand on est obligé de mendier de quoi payer ses fonctionnaires.

Les grecs cassent tout parce que on leur demande de se serrer la ceinture un peu vite, alors que les espagnols et les tugais font ca en serrant les dents.

Je vois pas ou est la morale.

Est ce que toute les nations se valent? :O :lol:

De toute facon, la grèce c'était foupoudav, dés le début peu y croyait, on a essayé de ménager les banques pour éviter que le système bancaire soit déstabilisé (ce qui aurait été bien plus grave), on a gagné du temps, ils vont se faire sortir de la zone parce que ils sont pas au niveau, peut etre vont-ils demeurer plus ou moins sous perfusion de l'UE ou du FMI. Mine de rien on peut difficilement les laisser revenir au moyen age non plus, ils pourraient devenir le pays honnis du continent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les Espagnols en Portugais serrent les dents mais rien de comparable avec la Grèce ! De plus pourquoi avoir embarqué la Grèce dans l'Euro alors qu'on savait que ce n'était pas viable ?

Par exemple l'espagne a un taux de chômeur à 23% celui des grecs est à 21%.

Foupoudave le sauvetage pas le passage à l'euro, tout le monde s'est fait avoir! grace à nos grosses têtes de goldman sachs, j'ai entendu quelques commentateurs reparler d'une action en justice contre la banque!! :happy:

quitte à bruler des idoles, brulons celle-là! elle est une insulte aux bonnes volontés de ce bas monde! Burn GS!

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

De plus pourquoi avoir embarqué la Grèce dans l'Euro alors qu'on savait que ce n'était pas viable?

Parce que les grec voulait de l'eurozone - ca permettait de s'endetter massivement et pas cher, et de vendre de la camelote plus facilement - , parce que les grec sont dans la CEE depuis le début 1981 ... et surtout parce que durant le processus d'adhésion, en gros avant 2001 la situation grecque été pas très inquiétante, c'était un petit pays "occidental" et l'Europe se sentait comme mission de tirer vers le haut ce genre de petit pays. Sauf que depuis tous les espoirs on été déçu, et pire, c'est parti grave en sucette coté dépense publique. Résultat la situation qui n'était pas mirobolante mais pas catastrophique et dont on avait espoir qu'elle s'améliore a empiré. Résultat les grecs ont bouffé tout leur pain blanc - massivement sponsorisé par l'UE, aussi bien en aide direct, qu'en "caution" bancaire- sans développer leur pays, d’où le pschittttt. Les autres entrant type Irlande, Portugal et Espagne, on fait un peu pareil, mais en bien moins pire. L’Irlande s'est développé sur une rente fiscale, en conserve quelques fruit. L'Espagne a une parti de son développement basé sur une bulle immobilière certes mais a aussi développé une industrie assez actif. Pour le Portugal ... c'est juste la Grèce en moins pire, au moins ils arrivent a lever l’impôt :lol:

Par exemple l'espagne a un taux de chômeur à 23% celui des grecs est à 21%

- les chiffres grecs du chômage sont bidonné, y a tout un tas de "chômeurs" compté comme "handicapé" par exemple - pratique courante en Europe notamment dans les pays du nord :) - .

- la Grèce emploie massivement des "fonctionnaires" pour faire baisser artificiellement le chômage depuis des lustres.

- les statisticien et prévisionniste s'attendent a un chômage de pres de 30% en 2012. Il était d'environ 23% - source statistique GSEE - fin 2011 - officiellement le taux était de 17% -.

- le chômage des "jeunes" est de 40% - meme source -

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Au pire, pour ce faire une idée de la situation réelle de l'emploi, il suffit de regarder le taux d'emploi :

Définition INSEE :

Le taux d'emploi d'une classe d'individus est calculé en rapportant le nombre d'individus de la classe ayant un emploi au nombre total d'individus dans la classe. Il peut être calculé sur l'ensemble de la population d'un pays, mais on se limite le plus souvent à la population en âge de travailler (généralement définie, en comparaison internationale, comme les personnes âgées de 15 à 64 ans), ou à une sous-catégorie de la population en âge de travailler (femmes de 25 à 29 ans par exemple).

Selon Eurostat le taux d'emploi en Grèce est de 59.6%, c'est quelques points en dessous de la moyenne européenne mais rien de bien méchant.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour compléter ce qu'ecrit G4lly sur l'adhésion de la Grèce, lors de l'étude de l'adhésion à l'Euro, deux acteurs avaient une vision différente.

Les financiers qui étudiaient les comptes grecs avaient de gros doutes. Ils trouvaient les chiffres étranges. Pour eux, la grèce ne pouvait être de l'Euro.

De l'autre côté, ils y avaient les politiques (décideurs finaux) qui n'avaient pas les même arguments. Il y avait confusion alors entre des buts politiques avec des actes monaitaires. On a pris des arguments politiques pour prendre une décision monétaire. Voilà le début du problème.

Rappelons ainsi que VGE déclarait que la Grèce se devait d'être dans l'euro de part son passé antique. Et oui, ça c'est le type d'argument qui nous a conduit là où nous en sommes.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petit aparté. Est ce que la Turquie ne presenterait pas des symptômes d'economie "bulle" ?

http://lebondosage.over-blog.fr/article-la-turquie-une-grece-de-74-millions-d-habitants-95859757.html

  Dans le cas de la Turquie, il suffit de voir l'état de la balance commerciale pour voir qu'il y a une couille dans le potage comme on dit vulgairement.  Avec un joli -10% au compteur, on peut dire que la Turquie fait largement mieux que la Grèce qui n'avait jamais dépassé les 4% de déficit commercial malgré sa tare génétique de pays méditerranéen, dixit Angela Markel. Même l'Espagne championne d'Europe des déficits commerciaux avant sa panne sèche n'avait jamais dépassé 9.5% et pourtant elle était protégée par l'euro

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Au pire, pour ce faire une idée de la situation réelle de l'emploi, il suffit de regarder le taux d'emploi :

Selon Eurostat le taux d'emploi en Grèce est de 59.6%, c'est quelques points en dessous de la moyenne européenne mais rien de bien méchant.

Des fois chez eurostat on se demande comment ils comptent?! Le fait est que la Grece n'a pas une culture du chomage comme l'espagne qui a longtemps vécu avec des niveau tres élevé.

Image IPB

Meme problématique sur le chomage des jeunes mais en 3 fois pire.

http://www.google.fr/publicdata/explore?ds=z8o7pt6rd5uqa6_&ctype=l&strail=false&bcs=d&nselm=h&met_y=unemployment_rate&fdim_y=age_group:y_lt25&fdim_y=seasonality:trend&scale_y=lin&ind_y=false&rdim=country_group&idim=country:gr:pt:fr:es&ifdim=country_group&tstart=411346800000&tend=1323817200000&hl=fr&dl=fr&q=graphique+chomage+en+grece

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Portugal: la récession s'aggrave dans un contexte d'austérité

LISBONNE - La récession s'est aggravée au Portugal dans un contexte d'austérité, avec une contraction du PIB de 1,5% en 2011 et de 1,3% au quatrième trimestre, selon des données provisoires publiées mardi par l'Institut national des statistiques (Ine).

Cette contraction a toutefois été légèrement meilleure que les prévisions du gouvernement et de la Banque du Portugal qui tablaient sur un recul de 1,6%.

D'après cette estimation rapide de l'Ine, le recul au quatrième trimestre a été 2,7% du PIB en glissement annuel.

Le recul accentué du PIB au quatrième trimestre traduit une aggravation significative de la demande interne en raison d'une forte baisse de l'investissement et de la consommation des ménages, a expliqué l'Ine.

L'observatoire des statistiques a souligné toutefois que la demande extérieure a augmenté en raison surtout d'une diminution des importations et d'une croissance élevée des exportations sur un an.

En échange d'une assistance financière internationale de 78 milliards d'euros accordée en mai 2011, le gouvernement a mis en oeuvre un plan de réformes marqué par de strictes mesures d'austérité qui devraient cependant entraîner cette année une récession de 3%.

Ce programme comprend diverses hausses d'impôts, une baisse des prestations sociales, une forte augmentation des tarifs des transports publics urbains ou encore une révision du code du travail introduisant un assouplissement des horaires et la suppression de jours de congés.

Ces mauvais indicateurs ont été publiés alors que les créanciers du Portugal -Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne- doivent débuter mercredi, et pour quinze jours, leur troisième mission d'évaluation de la mise en oeuvre des réformes exigées en contre-partie du plan de sauvetage.

La récession que traverse le Portugal a alimenté des craintes selon lesquelles le pays pourrait être contraint à demander un ajustement de son programme d'aide, dans la mesure où selon les analystes le pays ne pourra pas revenir sur les marchés en 2013 contrairement à ce qui était prévu.

C'est l'une des raisons qui a amené l'agence de notation Moody's a dégrader lundi d'un cran la note du Portugal, qui reste dans la catégorie des investissements spéculatifs, en raison notamment des faibles perspectives macroéconomiques du pays, qui vont continuer de peser sur la confiance déjà fragile des marchés.

Par ailleurs, la contraction économique plus profonde et plus longue que prévue, les niveaux d'endettement du pays et les craintes d'un défaut grec vont probablement allonger la période où le Portugal ne pourra accéder aux marchés, précise Moody's.

Le gouvernement de centre-droit a toutefois souligné à plusieurs reprises qu'il n'avait pas l'intention de recourir à une aide supplémentaire et qu'il comptait remplir les objectifs fixés.

Afin d'apaiser les marchés, l'Union européenne et le FMI ont de leur côté loué à plusieurs reprises les efforts de réforme du gouvernement.

(©AFP / 14 février 2012 12h28)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les grand argentiers européen sont en rogne, l'Espagne n'applique pas les mesure d'austérité auquel elle s'est engagée. Résultat la Commission va prendre des sanction contre l'Espagne http://www.capital.fr/bourse/actualites/bruxelles-va-sans-doute-sanctionner-madrid-pour-ses-deficits-697847

Ca plus les manipulations des chiffres du budget http://www.eitb.com/fr/infos/europe/detail/830295/a-madrid-rajoy-aurait-surestime-chiffres-du-deficit-espagnol/ :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les grand argentiers européen sont en rogne, l'Espagne n'applique pas les mesure d'austérité auquel elle s'est engagée. Résultat la Commission va prendre des sanction contre l'Espagne http://www.capital.fr/bourse/actualites/bruxelles-va-sans-doute-sanctionner-madrid-pour-ses-deficits-697847

Ca plus les manipulations des chiffres du budget http://www.eitb.com/fr/infos/europe/detail/830295/a-madrid-rajoy-aurait-surestime-chiffres-du-deficit-espagnol/ :lol:

La sanction, ca va etre de leur demander de l'argent pour les aider a combler les deficits ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ca prépare le terrain, avant un éventuel grand ménage! O0

http://www.eitb.com/fr/infos/europe/detail/830295/a-madrid-rajoy-aurait-surestime-chiffres-du-deficit-espagnol/

Quoi-qu'en disent les journalistes basques, (pas mal la photo du marché aux vaches de la place de sarre  :lol:) Surestimé les chiffres du déficit, c'est plutôt un péché de prudence, vaut mieux se tromper dans ce sens que dans l'autre, parce que nous les petits français on se trompe toujours dans l'autre sens. :oops: :lol:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petit article de 'Atlantico:

Ce mardi, Laurence Parisot a présenté Besoin d’Aire. Initialement, ce devait être un livre programmatique publié en janvier. Finalement, c’est un livre électronique présenté mi-février. Dureté des temps oblige, à un moment où les cotisations rentrent difficilement, le e-book, comme on dit, est une solution rentable.

J’en recommande la lecture. Dans un monde où tout change de jour en jour, où la vérité de la veille est une erreur du lendemain, Besoin d’Aire nous prouve que certains ne changent pas et restent ancrés sur leurs certitudes inébranlables et leurs méthodes traditionnelles. Notamment sur leurs silences.

Crise financière: avec un impressionnant sens du déni, le MEDEF fait complètement l’impasse sur la crise financière qui nous étrangle depuis 2008. Certes, il y a bien l’idée qu’il faut remettre de l’ordre dans les finances publiques, comme on demanderait à un cancéreux de se lever plus tôt le matin pour être plus en forme. Mais à la diagnostication d’une tumeur, point d’allusion.

En page 7 de la synthèse, au chapitre «Pour une gouvernance mondiale», il est fait allusion à la finance : "Lutter contre les abus du monde de la finance comme beaucoup le demandent nécessite un travail à l’échelle mondiale." Admirez l’astuce rhétorique : lutter contre la finance ? Beaucoup le demandent. Mais visiblement pas le MEDEF (on n’en sera guère surpris), qui, dans sa proposition de gouvernance mondiale, s’abstient sagement de proposer la moindre mesure susceptible de régler structurellement les désordres financiers, en dehors de la convertibilité du yuan.

Avec un peu d’ironie, le lecteur remarquera que les propositions du MEDEF au niveau mondial consistent quand même à accroître le rôle des institutions existantes (FMI, FESF, OIT) ou à en créer de nouvelles (B20 pour la représentation des entreprises, OME pour l’environnement, Agence Mondiale des Matières premières,...) On a beau déplorer les déficits publics et l’excès de réglementation, on n’en reste pas moins français: à chaque problème, son agence ou son institution.

Dans tous les cas, nous aurons tous bien compris que le désordre financier ne peut être combattu dans un seul pays, ni sur un seul continent, ce qui a le mérite de renvoyer aux calendes grecques le règlement du véritable problème qui frappe les entreprises et le marché mondial aujourd’hui: l’instabilité financière et son corollaire, l’instabilité de l’activité.

Industrie: là, je dis «chapeau!». Parce que prétendre représenter les entreprises françaises sans prendre une seule fois position sur la place de l’industrie dans notre économie, fallait oser. Pas un mot sur le contenu de notre production. Pas une allusion au sujet. Une très belle leçon de déni.

Du coup, on reste perplexe sur la signification de ce silence. Car le programme du MEDEF parle bien de quelques sujets économiques: la révolution digitale, les marchés du futur, à savoir les écosystèmes d’innovation, la biodiversité, "une richesse inappréciable". Mais... l’industrie dans tout ça ? Nous faut-il plus d’usines ? Moins d’usines ? Plus ou moins de services ?

Les seules réponses à ces questions pourtant basiques sont en creux. Il faut de nouveaux marchés, notamment numériques, ce qui est bien, ce qui est compréhensible. On en déduit que l’industrie est dépassée et que le MEDEF ne se bat plus pour elle?

Made in France:  Là encore, silence radio. Comme si ce sujet n’intéressait pas le MEDEF, et avait déjà fait l’objet d’une prise de position définitive, de l’ordre du «démerdez-vous!». En dehors de la convergence franco-allemande, le lecteur ne trouvera donc pas grand chose sur ce sujet. Aucune vision particulière, si ce n’est le flot commun des positions archi-connues du MEDEF: le pacte fiscal et social consistant à transférer dans l’impôt le coût de la protection sociale, le report de l’âge de la retraite, le développement de la négociation d’entreprise.

De grande ambition pour la relocalisation des activités en France, point.

Action: on ne me pardonnera peut-être pas d’être désagréable, mais il manque quand même quelque chose de majeur dans le programme du MEDEF, c’est l’action. Car l’article 1 du Code du Travail confie aux partenaires sociaux, parmi lesquels le MEDEF est de fait le seul investi d’un droit d’initiative, le pouvoir de négocier à peu près tous les sujets qui concernent la vie des entreprises. La moitié des propositions du MEDEF pourrait directement être négociée par le MEDEF lui-même, avec une intervention purement accessoire de l’État.

En Allemagne, ils font comme ça.

Alors il y a quelque chose d’agaçant, à lire ce livre de gros chat sur son radiateur, à écouter cette conversation de joueur de pétanque sous le soleil, qui donne de grandes leçons à tout le monde (il y a trop d’État, trop de fonctionnaires, trop de règles, pas assez de négociations, il faut faire comme en Allemagne, etc.), mais qui se garde bien de les mettre en application chaque fois qu’il le peut.

http://www.atlantico.fr/decryptage/programme-medef-crise-financiere-made-france-existe-pas-besoin-aire-eric-verhaeghe-289016.html

Pour avoir suivi la conference de press, c'était lamentable. Tout étais dans la forme (regardez c'est génial les e-book. Les geeks seront heureux..."). Rien sur le fond.

Le plus inquiétant étant la description fait de l'Europe idéale. Ce ne fut pas de la représentation syndicale mais de l'entrisme politique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le MEDEF ne va pas se risquer à sortir un brûlot à l'orée des élections présidentielles et à la veille de l'entrée en campagne du Président sortant.

Quand à Parisot, quand à faire mumuse avec une tablette, pourquoi ne pas prendre une tablette Française (ARCHOS), performante et moins chère que l'Ipad... Mais il est vrai qu'Apple a un contrat avec les ministères.

La présentation avait quand même un coté didactique grand public assez rafraichissant malgré l'Ipad et l'utilisation à outrance du terme "Geek" (limite syndrome de la Tourette). Les 35 heures sont d'ores et déjà condamnées.

Je conseille ce texte publié par le site Revue Defense Nationale et repiqué sur Theatrum Belli :

Que sera 2012 ? L’année des « pièges et des surprises stratégiques » - Xavier Guilhou

http://www.defnat.com/site_fr/tribune/fs-article.php?ctribune=215

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"il faut faire comme l'Allemagne"

AH ok donc doubler le budget de la justice par habitant et celui des forces de police et des pompiers.

Bizarre, sur certains points, on ne compare pas les données FR et DE...

Parce qu'en fait, ils s'en fichent de l'Allemagne, ils veulent faire comme Hartz le ministre de Schroder. La suppression du SMIC, 20 % de travailleurs pauvres.

Voila ce qui fait rêver Mme Parisot. Une vraie caricature du patron français à courte vue.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Au sujet de la dette Grecque. 11 millions d'habitants. 5 millions d'actifs (dont 800 000 fonctionnaires !).

Je me suis amusé à calculer. Fin 2011 : chaque Grec doit payer 38 800 000 Euros (38 Millions et huit cent mille Euros).

Le taux de suicide a doublé en une année.  :-[

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 975
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Personne
    Membre le plus récent
    Personne
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...