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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Désolé, je vois pas trop le rapport entre le prix du lait et la libre circulation des biens. Il y a peut être d'autres choses.

J'ai pas compris la démonstration.

Si les biens ne peuvent circuler ... il sont commercé uniquement localement. Le marché est donc strictement local et l'offreur mieux disant et forcément local donc corrélé aux revenus des locaux. Si la production du produit est elle aussi assise sur des couts locaux, la marchandise aura un prix de vente adaptable au marché locale ... ou disparaitra.

Si les bien peuvent circuler librement et facilement, ils sont commercé sur des grande zone de chalandise ... et le mieux disant offreurs est alors le mieux disant de toute cette zone de chalandise, forcément plus la zone est grande plus il y a de chance d'avoir un mieux disant beaucoup plus cher. Un commercant n'a aucun interet a vendre sa marchandise au moins disant donc il ne lui vendra pas sauf s'il y est forcé.

Il ne faut jamais oublié que c'est l'offre la mieux disant qui fixe le prix d'une transaction ... et qui si dans une zone on a que des pauvres, plutôt que de vendre pas chers on préférera aller vendre ailleurs si déplacer la marchandise coute pas cher et est facile.

En gros sur toute l'EU le prix du litre de lait de meme qualité a toutes les raisons d’être exactement le même, s'il est moins cher dans un coin de l’Europe c'est que le vendeur est un abruti ou qu'il ne peut pas faire autrement - lait frais par exemple -. Pour les marchandise périssable on en est déjà a ce stade vu la vitesse des échange, pour les marchandise non périssable c'est pire.

Pour permettre d'adapter les prix - du marketing - en fonction des effet voulu par le vendeur, on a bien imaginé des exceptions a la libre vente de la camelote - marché réglemente comme dans le luxe, distribution exclusive, barrière douanière ou normative -, mais ça ne tiendra pas longtemps avec internet qui permet de  s'informe en un instant des prix d'une même marchandise partout dans le monde en même temps.


Pendant ce temps l'INSEE taille en piece les délire sarkozyste sur le cout du travail francais supérieur a celui allemand et l'interet de la TVA "antisociale". La solution allemande pour faire baisser les cout, faire fabriquer en Moldavie, puis coller en Allemagne l'étiquette "deutsh qualität" !

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/cout-du-travail-en-france-l-insee-fait-de-la-desintox_283855.html

Idée reçue : Avec la hausse du coût du travail, la France a perdu son avantage compétitif par rapport à l'Allemagne

Alors que le débat sur le modèle allemand s'est imposé dans la campagne présidentielle, l'Insee en repose les termes. Si l'on se contente de regarder l'évolution du coût horaire, le constat est indéniable. En 1996, l'Allemagne était le pays le plus cher de l'Union européenne. Mais depuis, c'est aussi Outre-Rhin que le coût horaire a le moins progressé (+1,9% par an). Résultat, en 2008, dans l'industrie manufacturière, le pays n'était plus au premier rang du palmarès du coût du travail. Et surtout, il a été rattrapé par la France, où cet indicateur a progressé beaucoup plus vite sur la période : +3,4%, en ligne toutefois avec la moyenne de l'UE à 15.

En revanche, insistent les experts de l'Insee, ces résultats ne disent pas grand-chose de l'évolution de la compétitivité des différents pays. " Un pays avec un coût de production élevé peut être plus compétitif qu'un autre avec un faible coût de production, si sa productivité est supérieure ", expliquent-ils. Pour l'Insee, l'indicateur important est donc le coût salarial unitaire, qui mesure le coût moyen de la main d'oeuvre par unité produite. Et de ce point de vue, les performances françaises et allemandes dans l'industrie manufacturière sont comparables, avec une même tendance à la réduction, et des rythmes respectifs de -0,5% et de -0,7% par an. Difficile, donc, de dire que la France a perdu son avantage compétitif par rapport à l'Allemagne.

Idée reçue : La hausse du coût du travail en France est due aux 35 heures

L'idée est régulièrement avancée par le Medef et par l'UMP et Nicolas Sarkozy. Mais c'est faux, expliquent les experts de l'Insee. Selon eux, la diminution du temps de travail effectif n'explique " qu'environ 10% " de la hausse du coût horaire de la main-d'oeuvre entre 1996 et 2008. Si le nombre d'heures était resté stable entre 1996 et 2008, cet indicateur aurait progressé à un rythme annuel de 3,1%, contre 3,4% observé dans l'industrie manufacturière. Dans les services, la hausse aurait été de 2,8%, contre 3,2% observé.

Idée reçue : Le taux de cotisations employeurs est un déterminant important du coût du travail

C'est l'argument avancé par le gouvernement pour justifier la réforme de la " TVA sociale ", qui consiste à baisser les cotisations employeurs, et à faire financer le manque à gagner pour la Sécurité sociale par une hausse de la TVA. Le tout, bien sûr, dans l'idée de baisser le coût du travail pour améliorer la compétitivité de la France. En réalité, constate l'Insee, il n'y a pas de " lien significatif entre le niveau du coût horaire et le taux de charges " parmi les pays de l'ex-UE à 15. Ainsi, au Danemark et en Suède, qui ont tous deux un haut niveau de protection sociale, le coût horaire du travail est assez proche. Le premier, pourtant, a des cotisations sociales patronales limitées (7% du salaire brut), alors qu'elles sont très élevées en Suède (30%). Sauf que les salaires bruts sont plus élevés au Danemark : les salariés payent plus d'impôt sur le revenu, qui finance en partie la protection sociale. " Toutes choses égales par ailleurs, à moyen terme, le taux de cotisations sociales employeurs n'est pas un déterminant du coût horaire. Seul le niveau global de taxe compte, pas la répartition entre cotisations sociales employeurs, cotisations salariales et impôt sur le revenu ", relève l'Insee.

Idée reçue : Les conditions de travail sont moins difficiles aujourd'hui

En réalité, une enquête menée par sondage auprès d'un échantillon représentatif de salariés de différentes générations montre que les " pénibilités physiques " n'ont pas diminué. En revanche, les contraintes organisationnelles et psychosociales se sont considérablement accrues. Ce sondage reposant sur la façon dont les salariés perçoivent leur travail, faut-il y voir le fait que les plus jeunes seraient aussi plus exigeants par rapport à leurs conditions de travail ? " Peut-être, répond Thomas Coutrot, un des auteurs de l'étude. Mais en la matière, c'est bien le ressenti qui compte, car c'est cela qui a des conséquences sur la santé. Donc si les plus jeunes considèrent qu'ils ont des contraintes importantes, et plus importantes que les générations précédentes au même âge, leur travail aura aussi plus tendance à les rendre malade ".

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L'INSEE... c'est pas plein de fonctionnaires, ça???  =)

Sinon l'avis iconoclaste d'Olivier Delamarche sur l'accord avec la Grèce:

http://minuit-1.blogspot.com/2011/02/videos-olivier-delamarche-sur-bfm.html

J'adore le duo qu'il fait avec son jeune contradicteur journaliste. Je suis chaque fois mort de rire de les voir faire tous les deux!  =D

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Dans un monde ou les marchandises circulent librement ... a priori les prix de ces marchandisent devraient etre grosso modo les même partout, le prix étant fixé par le mieux disant global et pas local. Le litre de lait par exemple coute plus cher en Roumanie qu'a Paris :)

L'exemple du lait n'est pas relevant.

(D'ailleurs se baser sur le lait ou sa prod est une idée datée, type 1950 , quand le PCF nous expliquait que vu que la prod de lait de la Pologne et de l'URSS était supérieure à celles des USA et de ses alliés, le clan occidental ne pouvait que perdre et s'incliner devant les kamarads lactés  :lol:  :lol: )

Plus sérieusement, le lait est soit une production locale sur lequel s'applique des variations saisonnières (comme toutes les prod agricoles) soit c'est une importation, plus chère par les coûts de transport et droits de douane (hors UE). Je ne connais pas les spécificités roumaines mais une défaillance locale de la chaîne de prod ou de ses installations peut expliquer le surcout (la réglementation locale ne doit pas être en cause ...  :P )

L'exemple n'est pas relevant car outre le contexte local (§ précédent), ce qui pèse est le prix de l'immobilier (LOCAL, donc...) et le salaire minimum légal : 300€ en Roumanie, je crois me rappeler. D'ailleurs l'implantation de l'automobile payant les ouvriers à 400-600€ a causer un problème d'inflation.

Autre élément : les taxes. Tabac et essence sont beaucoup moins taxés dans ces pays relativement à chez nous.

G4lly, je sais que l'ultra-libéral que tu es (  :lol:  :lol: ), énonce tel un souhait la libre circulation des biens, voire des personnes  ;), pour tirer les salaires vers une moyenne sur la zone euro et ainsi ré-équilibrer les pouvoirs d'achat entre pays, mais ce n'est absolument pas le cas car les pays de la zone ont entre eux un différentiel d'attractivité basé sur les infrastructures, l'emplacement initial des entreprises et de leur réseau/clients historiques, la formation, la culture et la qualité de vie.

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Le raisonnement est toujours absurde car il oublie de nombreuses choses. La libre circulation ne sert à rien dans ta démonstration.

Si on suit ta logique, alors on ne trouverait du lait (ou autre) que sur la Place Vendome et les distributeurs de lait français seraient ruinés, les roumains richissimes.

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Le raisonnement est toujours absurde car il oublie de nombreuses choses. La libre circulation ne sert à rien dans ta démonstration.

Si on suit ta logique, alors on ne trouverait du lait (ou autre) que sur la Place Vendome et les distributeurs de lait français seraient ruinés, les roumains richissimes.

:rolleyes:  :rolleyes:

C'est à moi que cela s'adresse, cette remarque ?

Le raisonnement de la deuxième ligne serait vrai si l'on parlait de caviar, c'est à dire un produit émis à faible quantité.

Le lait est en abondance et comme je le dis, plusieurs facteurs interviennent : coût de transport, structures de la filière, législation locale.

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Je remets quelques chiffres amusants pour re-situer la Grèce :

C'est amusant mais le fait que le pays soit geré n'importe comment n'est pas une raison pour appliquer des solutions qui ne mènent à rien.

Et pour les judéo-chrétiens qui aiment cette idée de faire pénitence ils peuvent punir les grecs de façon plus constructive que l’austérité.

Un retour à la drachme permet de faire fortement baisser le pouvoir d'achat, comme l'austerité sauf qu'il y'a une rédemption au bout, chose absente avec l'orthodoxie actuelle. Au moins il y'aura plus de travail, le tourisme ou la construction navale par exemple.

Petite reflexion sur l'effet pervers des subventions permanentes.

http://lebondosage.over-blog.fr/article-du-bon-usage-des-subventions-49657350.html

Si l'on devait faire un comparatif avec le plan Marshall, ce dernier fut de courte durée et c'est cette durée qui  a probablement obligé les états européens, en bénéficiant, d'en faire un usage raisonnable. Les espagnols comme les grecs, les irlandais, ou les portugais ont petit à petit, pris ce qui devait être momentané comme un intrant permanent dans leurs budgets publiques.  Les conséquences furent bonnes, à court terme, produisant croissance et dynamisme apparent, mais rendant l'industrie et le travail de ces pays trop cher, empêchant également les efforts en matière de productivité du travail, le graphique comparant l'évolution coréenne et espagnol étant suffisamment parlant sur la faiblesse hispanique.

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:rolleyes:  :rolleyes:

C'est à moi que cela s'adresse, cette remarque ?

Le raisonnement de la deuxième ligne serait vrai si l'on parlait de caviar, c'est à dire un produit émis à faible quantité.

Le lait est en abondance et comme je le dis, plusieurs facteurs interviennent : coût de transport, structures de la filière, législation locale.

Tu crois que l'industriel agro alimentaire qui a besoin de lait en poudre et dérivé - parce que c'est comme ça que se consomme la grand majorité du lait - en a quelques chose a foutre de ou il a été produit et comment. Exemple bête le jus de pomme ... en France il vient de Chine :lol: et comme le lait en poudre ou le jus d'orange c'est en partie négocié sur les marché mondiaux, et donc vendu a tout le monde le même prix ... auquel on ajoute le cout du transport et quelques bricole, mais la base c'est la même valeur de référence. Pareil pour le pétrole, y trois ou quatre tarif de référence sur lesquels tous les prix de l'énergie se base ... même l'électricité, et que tu soit en Islande ou au Burundi ça ne change rien. Même combat pour les céréale, un sécheresse en Russie, et pouf toutes les céréale monte même celles pas produites en Russie ... parce que le manque de céréale sur le marché du blé va se répercuter sur les produit alimentaire interchangeable avec.

Tous ca pour dire que dans l'UE il n'y a pas de raison particulière pour que les prix d'achat des marchandise varie beaucoup d'un coin a l'autre, justement parce qu'elle circule librement d'un point a l'autre et que ça induit une dilution des écart de prix potentiel. LEs exception ce sont des distorsion de marché lié a une surabondance de l'offre, a des client ou producteur captif etc. Y a que la drogue qui est 1000 fois moins chez le consommateur a la source que chez le consommateur final :lol:

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:rolleyes:  :rolleyes:

C'est à moi que cela s'adresse, cette remarque ?

Le raisonnement de la deuxième ligne serait vrai si l'on parlait de caviar, c'est à dire un produit émis à faible quantité.

Le lait est en abondance et comme je le dis, plusieurs facteurs interviennent : coût de transport, structures de la filière, législation locale.

Navré, je suis allé vite en besogne. Mon poste n'est pas limpide.

Tu as amplement raison.

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quelle est la sanction prévue au manquement à cette règle?

On coupe les bras des dirigeants.

Naaan, je plaisante ... ça c'est le programme de Mélanchon  :lol:

Les dirigeants continueront à pouvoir faire du golf, ne vous inquiétez pas.

(DSK est handicap 16 trous et Silvio, 24 trous ...  :P Stéphane Guillon sors de mon corps :P  :-[ )

Plus sérieusement, on fait là totalement le FMI de l'Europe. Donc en cas de manquement à la "règle", les MESF-boys prennent le contrôle financier du pays. ça implique donc que les marges de manœuvres sont réduites, ça force à la rigueur budgétaire (ça, ça va), voir à l'austérité (ça, ça va moins bien  :-[)

Ce qui est "comique" c'est que l'on ne voulait pas faire les états-unis d'Europe (d'ailleurs cette expression est utilisée volontairement par les anti car ressentie péjorativement) mais au final on fait une organisation "ONU-like" en Europe ...  :-[ : organisation administrative tentaculaire et nébuleuse, à chaque problématique, on crée une sous-organisation ; on a fait NOTRE machin  :oops: 

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Il a raison. Cet élément est déjà évoqué depuis quelques mois. O. Delamarche évoquait déjà l'histoire de l'article 27 du FESF. C'est l'abandon de la souveraineté budgétaire. Ni plus, ni moins.

Euh. Où puis-je trouver ce document ? à moins que ma version des articles of incorporation (si c'est bien de cela que tu parles) soient viciée je n'ai pas 27 articles.

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Euh. Où puis-je trouver ce document ? à moins que ma version des articles of incorporation (si c'est bien de cela que tu parles) soient viciée je n'ai pas 27 articles.

Ici, voir article 27: http://www.haoui.net/newsletter/2011/octobre18/exclusivite/MES.pdf

Le texte de l'article 27 :

L'article 27

Le statut juridique du MES, les immunités et privilèges

1. Pour permettre au MES de remplir sa mission, le statut, les immunités et privilèges énoncés dans le présent

article sont accordée au MES dans le territoire de chaque Membres du MES. Le MES s'efforcera d'obtenir la

reconnaissance de son statut, les immunités et privilèges dans les autres territoires dans lesquels il exerce des

fonctions ou détient des actifs.

2. Le MES a la pleine personnalité juridique, il doit avoir la pleine capacité juridique:

(A) pour acquérir et aliéner des biens immobiliers et mobiliers;

(B) pour contracter;

© pour ester en justice et  

(D) pour entrer dans un accord cadre et / ou des protocoles nécessaires pour s’assurer que ses statuts, privilèges

et immunités sont reconnus et mis en vigueur.

3. Le MES, ses biens, fonds et avoirs, où qu'ils se trouvent et quel qu'en soit le détenteur, jouissent de

l'immunité de toute forme de procédure judiciaire, sauf dans la mesure où le MES renonce expressément à son

immunité dans le but de toute procédure ou par les conditions de tout contrat, y compris la documentation sur

les instruments financiers.

4. La propriété, le financement et les actifs du MES, où qu'ils se trouvent et quel qu'en soit le lieu, sont exempts

de perquisition, réquisition, confiscation, expropriation ou de toute autre forme de saisie, de prise ou forclusion

par action de l'exécutif, judiciaire, administrative ou législative.

5. Les archives du MES et en général, tous les documents lui appartenant ou détenus par elle, sont inviolables.

6. Les locaux du MES sont inviolables.

7. Les communications officielles du MES accorderont à chaque Membres du MES et à chaque Etat qui a

reconnu le statut, les privilèges et immunités du MES, le même traitement qu'il accorde aux communications

officielles d'un Etat qui est un Membre du MES.

8. Pour mener à bien les activités prévues dans ce traité l'ensemble des biens, fonds et avoirs du MES devront

nécessairement être exempt de restrictions, réglementations, contrôles et moratoires de toute nature.

9. Le MES est exempté de toute obligation d'être autorisé ou agréé en tant qu’établissement de crédit, de

services d'investissement ou toute autre entité autorisée sous licence ou réglementée en vertu de la législation

de chaque Membres du MES.

[ tous les document officiel EFSF sont ici -> http://www.efsf.europa.eu/about/legal-documents/index.htm ]

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Il y'a quasiment un blackout sur ce sujet dans les medias ils preferent parler des deux guignols qui ont été choisis d'avance pour le deuxieme tour apparemment.

Ca marchera pas ce machin tout comme le pacte de stabilité qui à été bafoué par tous les membres. Ils ont beau faire toutes les immunités juridiques qu'ils veulent l'usage de la force se trouve encore dans les nations. L'Europe n'est pas une nation.

Si un nouveau gouvernement dans un pays membre decide de ne pas se soumettre au racket du MES qu'est ce que vous voulez que le MES fasse ? Qu'ils bombardent le pays rebelle à coups de lettres de recouvrements ? Personne ne voudra mourir pour une Europe principalement basée sur le fric.

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Ce truc est intouchable ! Mais c'est quoi le MES ?

Si tu veux faire participer des "fonctionnaires internationnaux" a un ouvrage national, c'est en général ce genre de précautions que tu prends, au cas ou les locaux aient le sang chaud :lol: La police grecs a déjà menancer d'émettre des mandats d'arret contre les membre de la "troika" ces menances pourraient s'étendre aux fonctionnaires du FESF. Pour éviter cela on demande au gouvernement de s'engager a ne pas pouvoir le faire. Evidement c'est une perte de souveraineté ... mais personne ne les forces a signer le papelard, et si les grecs ne sont pas content ils ont qu'a couper la tete de leur dirigeant pour l'exemple - il y a des élection en avril je crois ca pourrait etre l'occasion de le faire symboliquement -. Reste que pour  le moment la population grecque aussi mécontente soit elle veut rester dans l'eurozone et que donc il lui faut des euros, soit elle les fabrique la nuit dans la roulotte ... soit elle les mendie au FESF.

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Il est certes très provoc, le Olivier Delamarche, ce qui pourrait le faire paraître moins compétent qu'un universitaire au langage feutré, mais il connaît les dossiers, et surtout il s'avance en disant clairement ce qu'il prévoit pour l'avenir (ce qui est rare parmi les experts), et, cerise sur le gâteau, il tombe juste pour l'essentiel, à savoir que la crise s'aggrave en fait et que la récession est là. Il le dit depuis des mois et le disait quand beaucoup d'autres nous disaient que ça s'arrangeait. En plus le duo qu'il forme avec le jeune journaliste prénommé Guillaume, de BFM, qui joue le monsieur candide ou l'est?... est vraiment marrant, un vrai spectacle comique... En tout cas sur le MES et son article 27, il a levé un bon lièvre.  ;)

Tiens encore une couche, on ne s'en lasse pas...: http://www.fundamentalstockresearch.com/2012/01/olivier-delamarche-mario-draghi.html

Et la dernière, plus calme: http://www.dailymotion.com/video/xowwvw_olivier-delamarche-mario-draghi-va-imprimer-des-billets-qui-ne-valent-rien-21-02-2012-bfm-business_news

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