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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Je conseille le Marianne de cette semaine avec son reportage sur les dépenses de l'Elysée. C'est assez hallucinant. Un parc automobile de 105 voitures (moins de 30 en Allemagne), des frais en tout genre qui varie du simple à 15 fois plus si l'on compare à des pays voisins (Allemagne, Angleterre et même Etats-Unis)...

:rolleyes:

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L'affaire du siècle ?

500 chars de combat Abrams M1A1 (soit 100 de plus que l’offre initiale américaine), 700 véhicules blindés de transport de personnel de type M-113, un nombre « important » de véhicules Hummer, voire des hélicoptères Apache… les emplettes du ministre grec de la Défense, Dimitri Avramopoulos, et de son chef d’Etat-Major, au Pentagone ont été fructueuses. Tout cela pour 0 euro, l’offre est alléchante et imbattable pour tout Européen normalement constitué…

Ces véhicules sont, en effet, offerts par les Etats-Unis et proviennent de leurs stocks. Et le transport – un point clé qui bloquait toute négociation puisqu’il représente un coût non négligeable de 10 millions d’euros – pourrait être assuré par des « sponsors privés », des armateurs et des expatriés aux Etats-Unis, selon le quotidien grec Kathimérini. Ce sans compter la maintenance et remise en état, pour lesquels les Grecs escomptent un coup de pouce des Américains. Tout n’est pas encore tout à fait réglé. Et les chefs d’Etat-major respectifs, le Grec Michael Kostarakis et l’Américain Martin Dempsey, ont convenu de se reparler au téléphone directement, pour finaliser l’accord négocié par leurs équipes. Les Allemands ou Néerlandais qui pouvaient être tentés de vendre leurs surplus de chars Leopard en seront pour leurs frais…

Lors de l’entretien avec Leon Panetta, les deux ministres de la défense ont également fait un large tour d’horizon des questions stratégiques du moment, à commencer par la Méditerranée, le Moyen-Orient, Chypre et le statut de la Macédoine/Fyrom (le litige portant sur le nom de l’ex-république yougoslave de Macédoine bloque toujours son intégration pleine et entière dans le processus d’adhésion à l’OTAN). « Le système de défense national grec, en dépit de la crise économique continue d’être l’être des plus forts et plus sûrs de la région et sera toujours un (outil) au service de la paix, de la coopération, de la sécurité et de la stabilité dans notre région » a déclaré à la presse le ministre grec à l’issue de cette réunion.

Ce geste américain est destiné à remercier la Grèce pour son engagement lors de la Libye notamment et dans la lutte anti-piraterie, assure-t-on officiellement. Mais on ne connait pas très bien encore tous les tenants de la (des) contrepartie(s) offerte(s) les Grecs. (*). Avramopoulos en aurait aussi profité pour vanter les mérites des tailleurs grecs qui pourraient contribuer à fournir l’armée américaine en uniformes… Ce qui semble aussi certain, c’est que les Américains veulent contrebalancer leurs efforts dans la région ; ils mènent actuellement des manoeuvres militaires conjointes avec les Grecs et les Israéliens. « Une alliance stratégique » a précisé Avramoupoulos qui a profité de ce séjour outre-Atlantique (sur trois jours) pour rencontrer non seulement la communauté grecque expatriée mais aussi déjeuner avec différents responsables influents de l’American Jewish Committee. La Grèce occupe un point stratégique face à un Proche-Orient et à un monde arabe en pleine ébullition, et à un Iran menaçant. De façon générale, le ministre hellenique s’est ainsi engagé à développer « des programmes de coopération en matière de défense » avec les Américains. Plus concrètement, les Américains souhaiteraient également que les Grecs s’impliquent de façon plus active dans le bouclier anti-missiles en cours de déploiement en Europe.

(*) Je ne crois pas à l’acte de « pure » générosité en matière internationale  

http://www.bruxelles2.eu/defense-ue/armees-europeennes/en-grece-des-blindes-contre-des-uniformes.html

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Tout cela pour 0 euro

hum pas vraiment

Il s'agit de stocks anciens deja amortis et dont la remise à niveau risque de couter bonbon (et rapporter un max aux prestataires US)

Double effet kiss kool

On vide les stocks (on peut donc commander du neuf)

On se gave sur les mises à jour

et on ni**e l'UE (oui ca fait en fait 3 effets kiss kool)

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La question demeure surtout de savoir ce qu'ils vont bien pouvoir faire de tout ce fourbi... ils croulent déjà sous les matériels !

Et ils vont les entretenir comment ? Avec l'argent qu'ils versaient aux faux aveugles et paralytiques ?

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C'est un scandale. L'Europe aurait dû empêcher ça. Les Grecs ont autre chose à f...... en ce moment que d'avoir la folie des grandeurs au niveau de leur armée.

C'est pas faux et en même temps on ferait bien de fermer nos gueules, une partie des prets européens ayant été donnés sciemment pour l'achat de matériel militaire (sous marins, chars et obusiers automoteurs ..... allemands  :happy: )
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La question demeure surtout de savoir ce qu'ils vont bien pouvoir faire de tout ce fourbi... ils croulent déjà sous les matériels !

Et ils vont les entretenir comment ? Avec l'argent qu'ils versaient aux faux aveugles et paralytiques ?

On pratique encore la conscription en Grèce. Les grecs ont déjà des M113 ? Si oui ya des chances que ça serve purement et simplement pour cannibaliser non ?

Voir pour les Humvee (future revente cette fois-ci pour une pognon ?) mais les M 113 sont encore du matos un peu rustique non ? Surtout s'il s'agit de trucs d'origine ayant une pure vocation de transport. le machin fut conçu pour être produit en masse et ne pas couter trop cher il me semble.

C'est un scandale. L'Europe aurait dû empêcher ça. Les Grecs ont autre chose à f...... en ce moment que d'avoir la folie des grandeurs au niveau de leur armée.

Oui mais ils vont s'en servir pour quoi ? L'histoire sur la police est intéressante....

http://www.lemonde.fr/europe/article/2012/04/08/la-grece-met-ses-policiers-en-location-pour-cause-d-austerite_1682364_3214.html

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Quoi tu penses qu'ils vont louer leur armée ?  :oops:

Ils ont qu'a la louer aux turcs pour reconstruire l’empire Otoman :lol:

D'un coté utiliser les ressources de l'état pour produire un revenu n'est pas plus malsain que d'externaliser tout et n'importe quoi ... sous prétexte d'économie a court terme.


http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/04/11/espagne-les-investisseurs-attendent-que-tous-les-cadavres-soient-sortis-des-placards_1683951_3234.html

Espagne : "Les investisseurs attendent que tous les cadavres soient sortis des placards"

Alors que la situation économique de l'Espagne inquiète de plus en plus, faisant chuter les Bourses et trembler les investisseurs, Thomas Costerg, économiste Europe à la Standard Chartered Bank à Londres, estime que les investisseurs et, par ricochet, les marchés, se focalisent trop sur le court terme, faisant valoir que les fondamentaux espagnols sont, selon lui, meilleurs que dans d'autres pays de la zone euro.

Pourquoi l'Espagne secoue-t-elle autant les marchés ?

Les investisseurs se focalisent sur le déficit budgétaire important et la récession, liée en grande partie aux mesures d'austérité particulièrement énergiques menées par le gouvernement de Mariano Rajoy et qui vont avoir de graves conséquences sur la croissance du pays. A mon avis, on n'a pas encore vu le pire concernant l'activité espagnole.

Hormis ces facteurs nationaux, le sentiment des investisseurs est, par ricochet, influencé par une conjoncture économique mondiale défavorable, notamment aux Etats-Unis et en Chine. Cette situation n'allant pas s'améliorer à court terme, je pense que les craintes des investisseurs vont encore subsister dans les mois qui viennent.

Hormis l'austérité et la récession, qui touchent la plupart des pays de la zone euro, quelles sont les craintes spécifiques à l'économie espagnole ?

Il existe effectivement deux autres raisons. D'une part, je pense que les investisseurs attendent que tous les cadavres soient sortis des placards - notamment dans le système bancaire - et qu'il y ait, par conséquent, d'autres pertes qui impacteraient les comptes de l'Etat.

D'autre part, il y a les over-spending - ces dépenses des régions à mettre sous contrôle des régions. Il faut fermer les rangs au niveau des barons régionaux qui ont tendance à dépenser trop. Mais ce sont des dépenses qui sont très sensibles politiquement et qu'il va être difficile de réduire drastiquement, ce dont les investisseurs sont conscients.

La Banque centrale européenne estime que la situation sur les marchés ne reflète pas les fondamentaux de l'économie espagnole. Quels sont-ils ?

Les économies espagnole et italienne doivent relever des défis très différents. L'Italie a clairement un problème de croissance potentielle, de productivité et de compétitivité, ce qui n'est pas le cas en Espagne : celle-ci a une base industrielle relativement forte, son économie est compétitive. En particulier, la balance des paiements s'est améliorée sensiblement ces derniers mois grâce à un bond des exportations.

Parmi les atouts de l'Espagne, il y a également l'abondance en liquidités fournie par la Banque centrale européenne via, par exemple, les prêts avantageux à trois ans dont les banques du pays ont bénéficié en décembre et en février. Le pays peut également avoir recours au fonds de secours européen, qui est assez puissant pour, s'il en avait besoin, recapitaliser son système bancaire. Enfin, l'Espagne bénéficie d'une volonté politique forte pour aider le pays à sortir de la crise. Je pense donc qu'avec ces atouts, il peut y avoir, à long terme, un scénario positif pour l'Espagne. Malheureusement, les investisseurs se focalisent sur le court terme.

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C'est marrant, ils ne parlent pas des banques Espagnoles. Elle sont pourtant très mal en point et il faudra les renflouer.

Dans cette phrase ... mais il parait qu'ailleurs - USA par exemple - c'est pire alors ce n'est pas vraiment un probleme :lol:

D'une part, je pense que les investisseurs attendent que tous les cadavres soient sortis des placards - notamment dans le système bancaire - et qu'il y ait, par conséquent, d'autres pertes qui impacteraient les comptes de l'Etat.

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j'y avais aussi songé mais des M 113 ça commence pas à devenir assez lourd non ?

Surtout qu'avec une armée fondamentalement de conscrits ça risque pas de se retourner contre le pouvoir ? L'armée pro a beau être pléthorique en cas d'insurrection appelant le renfort de l'armée à ce point là ça risque de tout simplement ne pas être suffisant.

Et la Grèce ne se résume pas à quelques grandes villes.

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Humvee, M113, des chars, histoire de faire un peu de maintient de l'ordre si çà dérape dans la rue

:rolleyes:

Bof, quand même c'est limite théorie du complot.

En plus ils en ont déjà pas mal de gros matos non? ou alors c'est du matos pour réprimer la rue, le reste on le garde pour faire face aux turcs, une recouche de parano.

Les révolutions arabes ont plutôt montré que ce qui est essentiel en cas de pression dans la rue, ce sont des forces de l'ordre bien entraînées et coordonnées avec de l'équipement non-lethal adapté, ça peut permettre de contenir les dérapages, plus que des M1 et des M113.

Non il doit y avoir un truc géopolitique plus subtile qui m'échappe.

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« Tous les ingrédients de la prochaine crise sont réunis »

Ils avaient annoncé la crise en 2008. Aujourd'hui, Morad El Hattab et Philippe Jumel expliquent pourquoi nous sommes loin d'en être sortis. Pire, elle réapparaîtra très prochainement. Notre blogueur associé Laurent Pinsolle fait la synthèse de leur dernier ouvrage, « Kriz : d'une crise à l'autre ».

Dans La vérité sur la crise, Morad El Hattab nous avait offert une somme résumant les aspects de la crise, parlant des excès de la finance, revenant sur l’histoire des crises, et décrivant l’impasse de l’Europe. Dans Kriz, il revient sur les développements des deux dernières années.

Une crise dont nous ne sommes pas sortis

Si nous sommes sortis du gros de la première phase de la crise, fin 2008 - début 2009, Morad El Hattab et Philippe Jumel expliquent que nous sommes dans une phase intermédiaire, qui nous mènera inexorablement à une nouvelle phase. Ils citent l’ancien PDG de Citigroup pour qui « si vous restez assis devant une bulle que vous voyez trop risquée, vos clients sont furieux du manque à gagner et s’en vont », une autre version des esprits animaux de Keynes.

Ils démontent l’argument selon lequel nous traverserions une crise des dettes souveraines. Si cela vaut pour la Grèce, ils soulignent la responsabilité des marchés qui lui prêtaient de manière laxiste. Ils rappellent que cela n’est pas le cas pour l’Espagne à l’origine et que l’Italie avait déjà l’excédent primaire le plus élevé d’Europe et que ses ménages sont « des fourmis peu endettées ». Pour eux, « cette crise provient des grandes déréglementations des années 1980 ».

Ils expliquent très clairement le rôle des ratios prudentiels et des agences de notation, soulignant que les 8% théoriques de fonds propres variaient en réalité entre 1,6 et 12% en fonction de la note de l’actif concerné. Avant la crise, un actif grec ne nécessitait que 1,6% de fond propre selon les normes bancaires internationales… Ils évoquent l’étude de la Banque d’Angleterre de David Miles, pour qui il faudrait passer entre 16 et 20%, soit les chiffres d’il y a un siècle !

Ils soulignent justement le rôle des innovations financières dans la crise, et notamment les couvertures de défaillance (CDS), dont ils dénoncent le caractère auto réalisateur, le tout dans un système ayant consacré l’aléa moral de la finance, qui dispose d’une garantie implicite des Etats. Pour eux, les bulles sont consubstantielles à la libéralisation de l’économie, comme l’a démontré Clément Juglar. Et malheureusement, tous les ingrédients de la prochaine crise sont déjà réunis.

Les auteurs voient plusieurs solutions pour la sortie de la crise : le retour aux monnaies nationales, la séparation des banques entre dépôt / crédit et affaires, le strict contrôle du shadow banking et de l’effet de levier, l’interdiction des financements d'acquisitions par emprunt (LBO - qui permettent aux fonds de faire financer par l’entreprise qu’ils rachètent le coût du rachat), l’interdiction des CDS et le contrôle très strict des dérivés. Ils en appellent à un « protectionnisme financier » pour se protéger.

L’Europe dans une impasse

Les auteurs ont le courage de défendre des idées minoritaires. Pour eux, « il est tout à fait compréhensible que les Allemands exigent les verrous institutionnels ». Ils affirment également que les investisseurs « ont pour mandat de fuir les risques, tous les risques, c’est-à-dire, par exemple, les Etats de l’Europe du sud ou les banques européennes ». Ils incriminent donc le château de cartes économique et financier européen plutôt que le comportement des marchés.

Ils détaillent également l’incroyable bulle financière et immobilière irlandaise, la pyramide de dette (près de 300% du PIB pour tous les acteurs), les incroyables garanties apportées par l’Etat (trois fois le PIB !), l’engagement de la Banque centrale européenne (BCE) à hauteur de 110% du PIB du pays. Ils sont le signe d’un système financier hypertrophié, dont les actifs ont représenté dix fois le PIB, attiré par le faible taux d’imposition et parvenant à attirer 7% des hedge funds mondiaux !

Les auteurs ont une lecture lumineuse de la crise de la zone euro. Pour eux, les pays du sud en sont là, « parce qu’ils ne peuvent plus emprunter dans leur monnaie nationale », comme les pays asiatiques il y a quinze ans. Cela explique la meilleure situation de la Grande-Bretagne, qui emprunte nettement moins cher que la France malgré un  déficit largement supérieur, grâce à la monétisation menée par la Banque centrale du pays (275 milliards de livres, 15% du PIB).

Leur critique des mécanismes européens est sévère : pour eux, le Fond européen de stabilité financière (FESF) est « une sorte de CDO, innovation financière des sorciers de Wall Street ». Ils soulignent que l’Allemagne dicte son agenda à l’Europe mais fait passer la pilule en laissant présenter ses idées comme franco-allemandes. Ils analysent la différence de comportement entre la Fed, pragmatique et soucieuse de l’économie réelle et la BCE, dogmatique et indifférente à l’égard de l’économie productive.

Plus accessible que son précédent ouvrage, ce nouveau livre de Morad El Hattab est une excellente synthèse de la crise actuelle que je vous recommande. A noter qu’elle vient d’un économiste qui nous avait averti en 2008 que tout allait exploser…

Kriz : d’une crise à l’autre, Morad El Hattab et Philippe Jumel, éditions Léo Scheer, mars 2012.

Marianne2.fr

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La plaie du cout du logement frappe de plein fouet la croissance des entrerpises.

http://www.france24.com/fr/20120412-40-entreprises-affectees-problemes-logement-salaries

40% des entreprises affectées par des problèmes de logement des salariés

La hausse des prix de l'immobilier a un impact direct sur les entreprises, 40% d'entre elles se disant affectées par les difficultés de logement que connaissent leurs salariés, selon une étude du Crédoc réalisée pour le Medef.

AFP - La hausse des prix de l'immobilier a un impact direct sur les entreprises, 40% d'entre elles se disant affectées par les difficultés de logement que connaissent leurs salariés, selon une étude du Crédoc réalisée pour le Medef.

Selon l'enquête publiée cette semaine, quatre établissements sur dix sont affectés d'une manière ou d'une autre par ces problèmes de logement, 23% des entreprises estimant qu'ils compliquent le recrutement, la mobilité interne (19%), ou encore nuisent à la productivité (18%).

En outre, plus d'une entreprise sur quatre (27%) estime que les salariés habitent trop loin de leur lieu de travail, note le Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie.

Les grands établissements et les entreprises situées en région parisienne et en Paca, où les prix de l'immobilier sont particulièrement tendus, sont les plus touchés.

Parmi les entreprises qui évoquent des problèmes de logement pour leurs employés, 69% considèrent que ces difficultés ont empiré ces dernières années, relève le Crédoc, qui note que, "depuis 1995, l'évolution des revenus des ménages ne suit plus le rythme de la hausse des prix de l'immobilier".

Même si 97% des établissements disent ainsi n'avoir jamais envisagé de changer de localisation pour faciliter le logement de leurs employés, le Crédoc affirme que les entreprises "commencent à prendre en compte ces difficultés".

Dans les faits, 25% des groupes recourent aux dispositifs proposés par Action logement (ex 1% logement) et 35% indiquent mettre en place des actions spécifiques.

Parmi ces actions, 21% d'entreprises se contentent de mettre à la disposition du personnel des documents d'information, 10% disent fournir des aides financières et 6% proposent des logements dont l'entreprise est propriétaire.

Dans les entreprises de plus de 200 salariés, la situation est nettement plus favorable que dans les petites structures, 82% des dirigeants disant par exemple recourir à Action logement, contre 20% dans les très petites entreprises (TPE), de moins de dix salariés.

L'enquête a été réalisée par téléphone en décembre 2011 auprès d'un échantillon représentatif de 1.516 responsables d'entreprises.

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En part en HS, mais les M1 vont permettre de mettre à la casse les centaines de M48 (515 en 2008) et de Léo 1 (509 en 2009) qui sont en encore en réserve, et on ne refuse 500 chars lourds en cadeau, qui vont s'ajouter aux 353 Léo II acheté aux Germains.

Quand au 700 M113, ils compléteront ou remplaceront les plus anciens des 1 509 M113 en parc en 2005.

Pour les HUMMERS, on fait état de seulement 8 exemplaires en service en Grèce en 2005.

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Page précédente on parle des cadeaux militaires des USA à la Grèce avec des blindés gratuits par centaines.... Cadeaux qui torpille les ventes d'armes possibles par les européens et qui va permettre à la Grèce de faire des économies substantielles.

La question est de savoir ce que les USA attendent en échange en dehors d'un marché captif pour le MCO.

Par ailleurs, si les américains craignaient un effondrement économique de la Grèce, leur feraient-ils cadeau d'armes ?    :rolleyes:

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//Mode complot on:

C'est le genre de cadeau qu'on pourrait faire aux generaux de l'armee pour leur donner des idees de grandeur et de retour au pouvoir, dans le respect de la tradition grecque bien sur.

Un pretexte de premiere bourre pour gicler la Grece hors de la zone euro.

Ils voudraient pas qq mirages supplementaires non plus? on pourrait en avoir qq uns a leur refourguer incessament sous peu, histoire qu'ils trouvent un bon moyen de se debarasser des qq euros qui trainent encore dans leurs banques avant de revenir au drachme  :lol:

Mode complot off//

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