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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Tu peut dévelloper STP ?

simple : The economist met en avant la resistance du modèle social français (avec des bémols cela dis mais bien légers par raport au bashing habituel auquel se journal mouvance ultra liberal nous avait habitué) à  la crise et le fait que un certain nombre de pays ultraliberaux  USA en tête s'inspirent de ce modèle pour endiguer leur problème de crise

Or notre cher President n'a de cesse de couler ce modèle (et j'ai suffisemment de camarades ou de connaissances dans les affaires pour savoir qu'un grand nombre de projets drastiques ont été heureusement stoppés par la crise)

et maintenant il sufe sur la vague et joue sur du velours en se gaussant que l'on resiste (comprendre lui par rapport a ses camarades européens) mieux

ca s'appelle retourner sa veste sur ses convictions au moins en parole

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ca s'appelle retourner sa veste sur ses convictions au moins en parole

Je suis pas sur qu'il ait des conviction - a par celle que ce soit lui le meilleur :lol: -. Il ne fait que s'enticher de l'idaologie du plus fort en espérant récuperer les miettes. Le probleme c'est qu'il est toujours en retard d'une décennie :lol:

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http://www.senat.fr/bulletin/20090511/etr.html#toc2

Conséquences de la crise économique et financière en matière de sécurité et de défense - Audition de M. Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement

La commission a procédé à l'audition de M. Laurent Collet-Billon, délégué général pour l'armement, sur les conséquences de la crise économique et financière en matière de sécurité et de défense.

M. Josselin de Rohan, président, a rappelé que la commission des affaires étrangères et de la défense avait entrepris une série d'auditions sur les conséquences de la crise économique et financière en matière de sécurité et de défense, qui lui avait permis déjà d'entendre le ministre des affaires étrangères, M. Bernard Kouchner, et le directeur des affaires stratégiques du ministère de la défense, M. Michel Miraillet.

La commission attendait du délégué général pour l'armement (DGA) une évaluation de l'impact de la crise sur les programmes d'équipement prévus par la loi de programmation militaire et par les budgets successifs.

Il a exprimé la crainte que la crise n'ait déjà modifié sensiblement les perspectives économiques sur lesquelles reposent le budget de l'Etat et la loi de programmation militaire (LPM), et s'est interrogé sur la réalisation des objectifs fixés dans la loi de finances pour 2009 en matière de ressources exceptionnelles liées à des ventes immobilières et à des cessions de fréquences.

Il s'est interrogé sur les conséquences de l'aggravation du déficit et la nécessité, à terme, de repasser sous la barre des 3 % du PIB, qui accentueront la pression sur l'ensemble du budget, dont celui de la défense, et a émis la crainte que la manoeuvre « ressources humaines » soit plus difficile à réaliser dans le contexte actuel, étant rappelé que des réductions de charges de personnel devraient permettre de dégager des financements supplémentaires au bénéfice des équipements.

Il a donc souhaité recueillir le sentiment du DGA sur la capacité à se conformer à la politique de renouvellement des équipements inscrite dans la LPM, à en respecter les contrats opérationnels, tout en rétablissant certaines capacités déficitaires définies par les recommandations et les priorités du Livre blanc.

...

http://www.senat.fr/bulletin/20090511/etr.html#toc2

Et pareil avec H.Morin http://www.senat.fr/bulletin/20090511/etr.html#toc4

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Notre modèle résiste mieux à la crise, car il est plus protecteur socialement, mais avant de l'encenser il faudrait ne pas oublier qu'il était gangréné avant la crise par un chômage supérieur à nos voisins à croissance égale, touchant surtout les jeunes et les seniors, et par un croissance plus molle qu'ailleurs. Donc, il n'y a pas forcément contradiction entre le besoin de réformes pour rendre plus performant notre modèle et le maintien d'une présence de l'Etat à un niveau suffisant pour nos besoins. Ne confondons pas notre situation avec celle des pays fort éloignés de notre culture économique, où l'Etat est sous-dimensionné. Chez nous il est plutôt sur-dimensionné. Notre pays souffre d'effectifs de fonctionnaires trop importants, de dépenses étatiques trop fortes, générant un déficit étatique trop important, et aussi d'un manque de réformes des services de l'Etat : Fonction publique, Université, Recherche publique, Sécurité sociale, Retraites, etc.

Bref notre modèle c'était plus de protection sociale qu'ailleurs mais aussi plus de chômage (surtout chez les jeunes) et plus de déficit public. Pas de quoi pavoiser non plus non?

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Mais pourquoi faire chômer les jeunes ?! Ce ne serait pas plus intéressant de faire partir les vieux plus vite (comme ça ils peuvent travailler moins longtemps en plus) et de mettre des jeunes à la place ? En plus un  jeunes qui quitte l'école à 18 ans et qui chôme jusqu'à 24-25 ans, lorsqu'il trouvera un vrai travail, il ne risque pas de souffrir de sion manque d'expérience du travail en entreprise (organisation, discipline,...) ? Je ne comprend pas cette tactique de l'Etat de laisser les jeunes sur le côté alors qu'en Asie par exemple (Corée du Sud, Chine, Taiwan,...) ils forment une force vive. Quelqu'un peut m'en donner les raisons ?

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c'est pas une tactique de de l'état c'est un problème lié à la bonne vieille mentalité française des "cases" ou "castes"

tu es jeune, tu sors diplomé quelconque (je parle même pas des non diplomés) tu cherches du boulot : les reponses : pas assez d'experience faites donc des stages

ou pas le bon diplome faites donc un reconversion professionnelle

c'est typique de la frilosité des RH français qui n'emploient que la personne qui sur le papier rentre à 100 % dans le profil demandé

Dans les pays anglo-saxons c'est le vouloir et le savoir être (donc l'adaptabilité) qui et valorisé moins que le savoir : tu peux avoir un diplome de philo et si tu en veux, finir manager dans une banque....en France avec un diplome de philo même si tu es brillant que tu es bosseur que tu veux demarrer au bas de l'echelle, le RH regardera la case diplome, la case experience dans le job et comme quand tu es jeune c'est 0.0 tu vas te brosser

d'ou les stages et les reconversions à foison

quant au chomage des vieux c'est aussi un problème quoi que tu n'en pense Kiri : on ejecte les plus anciens parcequ'ils coutent chers mais souvent c'est un savoir faire, un carnet d'adresse et une experience precieuse qui quitte l'entreprise

on rogne par les 2 bouts de la chandelle et ca c'est parceque les RH français ont pas compris que faut arreter de regarder à une marge de 6 mois (à court terme) mais à plus long terme

le plus con c'est que on pourrait se servir des anciens et de leur experience precieuse pour former en interne les plus jeunes qui en veulent

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Kiriyama, Akhilleus a raison, et de plus on ne remplace par un vieux par un jeune, sauf dans les emplois peu qualifiés et encore... Il y a des postes de travail dans l'industrie où des savoirs-faire se perdent faute de tuilage dans le remplacement des générations. Un vrai gâchis. Pour les postes plus qualifiés, c'est encore plus vrai. En plus il faudrait faire travailler les gens jusqu'au delà de 60 ans pour payer les retraites! Sinon les jeunes au travail vont se faire taxer à mort d'ici 5 à 10 ans.

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J'ai aussi d'autres échos de patrons de PME et autres : de plus en plus de jeunes sont infréquentables, on de sales attitudes, ya pas moyen de les faire bosser 10 minutes après cinq heures, sont grossiers avec les collègues et ont une mentalité très "je-suis-efficace-alors-à-17h00-je-suis-parti-point-barre". Ces gars-là appliquent une procédure sans finesse.

le plus con c'est que on pourrait se servir des anciens et de leur experience precieuse pour former en interne les plus jeunes qui en veulent

J'aurais pas dit mieux. Cependant ça peut dégénérer en corporatisme si on fait pas attention.

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J'ai aussi d'autres échos de patrons de PME et autres : de plus en plus de jeunes sont infréquentables, on de sales attitudes, ya pas moyen de les faire bosser 10 minutes après cinq heures, sont grossiers avec les collègues et ont une mentalité très "je-suis-efficace-alors-à-17h00-je-suis-parti-point-barre". Ces gars-là appliquent une procédure sans finesse.

ha mais mon cher berzerker, je parlais des jeunes qui en n'en veulent et à qui on laisse par leur chance par esprit etoit purement franco-français

la classe que tu decris c'est du jeune (et du moins jeune) qui n'en veut pas

cela c'est après remise des points sur les i et les barres sur les t et si cette remise ne fonctionne pas : dehors

une entreprise c'est un savoir, un savoir faire mais aussi et surtout un savoir être

y'a un taff et il doit etre fait (et si faut rester 10 min après l'heure de depart et ben on reste 10 min)

après faut equilibrer mes paroles, y'a quelques patrons de PME qui feraient aussi bien de se regarder dans un miroir et de se rendre compte que leur autoritarisme de chefaillon rend pas les gens enclins à s'investir

et oui c'est comme tout y'a des cons à tout les echelons

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Standard & Poor's menace d'abaisser la note de crédit du Royaume-Uni

[ 21/05/09  - 19H08  - actualisé à 19:08:00  ]

L'agence de notation souligne que la mise sous perspective négative n'engendre pas forcément une dégradation future de la note, a indiqué fonder sa décision sur la crainte de voir la dette publique "approcher 100% du produit intérieur brut en 2013 (...)"

Au Royaume-Uni, un sérieux avertissement a été lancé jeudi au vainqueur de la prochaine élection générale britannique par l'agence de notation Standard & Poor's, qui a menacé d'abaisser la note de crédit "AAA" du pays, la meilleure possible, si des engagements n'étaient pas pris pour restaurer l'état des finances publiques.

S&P, une des trois grandes agences mondiales de notation des dettes souveraines (dettes des pays), a attribué une "perspective négative" à cette note de crédit de long terme, ainsi qu'à la note court terme. Une note de crédit élevée garantit au créancier le remboursement de son prêt, et permet à l'emprunteur d'obtenir des taux d'intérêt moins élevés.

S&P, qui souligne que la mise sous perspective négative n'engendre pas forcément une dégradation future de la note, a indiqué fonder sa décision sur la crainte de voir la dette publique "approcher 100% du produit intérieur brut (PIB) en 2013, et se maintenir autour de ce niveau à moyen terme", "ce qui est incompatible avec un triple A".

Constamment maintenue sous 40% du PIB par les travaillistes depuis 1997, la dette s'est envolée depuis 2008 avec la nationalisation de la banque Northern Rock, suivie par un plan de sauvetage du secteur bancaire particulièrement coûteux à l'automne, comprenant la nationalisation partielle de Royal Bank of Scotland et HBOS.

S&P a estimé jeudi qu'entre 100 milliards à 145 milliards de livres (113 à 163 milliards d'euros) avaient été consacrés aux banques, soit 7 à 10% du PIB estimé pour 2009. Fin avril, la dette était de 53,2% du PIB.

Les conservateurs dénoncent depuis l'automne ce qu'ils estiment être l'imprudence budgétaire du gouvernement travailliste. Fin mars, le ministre de l'Industrie Peter Mandelson n'avait pas formellement exclu un recours du Royaume-Uni à un prêt souple du Fonds monétaire international (FMI), ce qui serait là encore un symbole fort de mauvaise santé du pays.

S&P, évoquant les prochaines élections générales prévues d'ici à la mi-2010, indique que ses notes pourraient être officiellement abaissées "si nous pensons qu'après le scrutin, les projets de consolidation budgétaire du prochain gouvernement ne sont pas en mesure de mettre la dette sur une pente baissière à moyen terme".

L'agence ramènerait en revanche la perspective à stable si "des mesures complètes" était mises en place pour redresser les finances publiques.

Le porte-parole du Premier ministre Gordon Brown a assuré que "la détermination du gouvernement à assurer des finances publiques viables à moyen et long terme était absolue", mais a exclu des mesures drastiques immédiates.

La note de S&P a porté un violent coup aux marchés britanniques. La livre, bien portante récemment, a plongé de quelque trois cents face au dollar à 1,5517 dollar et de deux centimes d'euro à 1,1275 euro. Le Footsie-100, l'indice vedette de la Bourse de Londres, a perdu jusqu'à près de 3%.

Ils sont un peu remontés après que l'agence concurrente, Moody's, ait dit ne pas songer à imiter S&P actuellement.

Bilal Hafeez, de la Deutsche Bank, a estimé que "beaucoup d'autres pays allaient subir des changements de perspectives" cette année, mais que le Royaume-Uni était "le premier grand pays dans ce cas, ce qui était important".

Deux autres "triple A", l'Espagne et l'Irlande, ont déjà vu leur note abaissée par S&P, qui a aussi abaissé les notes de la Grèce, du Portugal, et de l'Islande notamment.

Les "triple A" de S&P sont au nombre de 18 actuellement, avec des profils très variés : Allemagne, Australie, Autriche, Canada, Danemark, Etats-Unis, Finlande, France, Ile de Man, Liechtenstein, Luxembourg, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Royaume-Uni, Singapour, Suède et Suisse.

http://www.lesechos.fr/info/inter/300350772-standard-poor-s-menace-d-abaisser-la-note-de-credit-du-royaume-uni.htm

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L'expérience que j'en ai, si je puis me permettre, c'est que les djeunes ils sont bien.

Faut les briefer au début bien sûr, et puis faut faire le tri, mais ils sont souples et réagissent très bien au réglage. De plus ils sont bosseurs, très bosseurs même quand ça les s'intéresse (si c'est pour les humilier à passer le balais pendent 6 mois: comptez pas dessus!)

Ils ont tellement peu eu l'habitude de la propagande positiviste (faut dire ce qui est: l'éducation nationale c'est uniquement le coup de pieds au cul et les plaintes de profs sur la "nullité crasse de cette classe de demeurés", jamais le dessin d'une perspective positive).

Du coup il suffit de leur dire que tous ensemble on construit des fusées intersidérales pour que très rapidement ils soient prêts à se sacrifier pour la gloire de leur entreprise adorée, qui donne un sens à leur vie et leur montre la voie vers un avenir radieux =)

A contrario les plus casse-couille AMA sont les cinquantenaires. Toujours en train de se plaindre, sceptique sur tout, toujours à pleurnicher.

Ils l'ont connu trop belle avec les 30 glorieuse et ils sont chiants!

A propos, vous avez acheté des actions à 2800 points en avril comme je vous l'avais dit?

Moi je l'ai fait et j'ai déjà pris 20% en 1 mois et demi  =)

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Dernier point vis à vis du gouv' actuel, ça me fait toujours rire quand l'opposition fait de la désinformation, puis vient expliquer que NS a retourné sa veste lorsque la réalité ne correspond pas à leur caricature.

Le néolibéralisme en France c'est un fantasme de gôche et de la désinformation pure et simple.

Un type comme Henri Guaino, chantre de la politique industrielle, n'est pas là depuis hier matin mais depuis la campagne électorale de 2007...

Comme le dit très bien jojo, la différence c'est plus dans la remise en ordre de marche de l'état efficace, amaigris et affuté, ce qui ne veur pas dire "la casse" de ceci ou celà comme les corporations publiques veulent nous le faire croire lorsque ça les touche.

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Comme le dit très bien jojo, la différence c'est plus dans la remise en ordre de marche de l'état efficace, amaigris et affuté, ce qui ne veur pas dire "la casse" de ceci ou celà comme les corporations publiques veulent nous le faire croire lorsque ça les touche.

Tout ce qui n'est plus assuré par la collectivité devrait l'etre par l'individu - au prix fort car négocié version marché privé - ... ce n'est qu'un transfert de charge de l'état vers le quidam ... avec au passage une réduction du rapport prix/prestation pour la majorité - objectif de gain et non plus de service a la communauté - . Interet pour le quidam ... rigoureusement aucun ... interet pour l'état préléver toujours autant d'impot tout en allégeant ses charges au détriment du quidam, résultat pour tous plus de charges au final et moins de service ... moins d'emploi ... et plus de bénéfice pour ceux qui vont toucher le jackpot des SU et autres ...

Je passe sur le cout de la mise en oeuvre et le demontage de toute cette usine a gaz ... sur le coute de la renationalisation ou liquidation qui suit a terme la privatisation et sur les emmerdements lié. Quant la ville de londres a été obligée contrainte forcée de claquer une fortune pour continuer a exploiter tant bien que mal le metro ... que la société a qui elle en avait laissé la charge a abandonné, je me suis fait pipi dessus de rire :) Le contribuable s'est juste fait mettre comme jamais les profit ont attéri dans la poche de l'actionnaire ... et les charges dans celle de la mairie :) inutile d'expliquer que l'outil de travail n'a été entretenu a minima et des que c'était un tout petit trop cher ... stop plus rentable on arrete de forunir le service :lol: On a les meme exemple a foison dans l'énergie, le transport, et tout un tas de service postaux, meme les américains on du les renationnaliser pour conserver un service acceptable, et la santé - le parlement européen a voté la possibilité de se faire soigner n'importe ou dans l'UE a la charge de sont pays d'origine ... les anglais se sont mis en panique grave ... il ont fait leur compte et se sont apercu que ca allait juste les mettre en faillite ... ils ont tout bloqué au conseil :lol: -

C'est toujours amusant de voir les autres s'etre jeté dans le mur ... et de voir que nos ... 20 ans plus tard on fonce dans le meme mur inéluctablement.

Les facteurs limitant de croissance en france sont plus du fait de sa legislation ultra touffu ... et du manque de financement, l'epargne des menage atterissant dans le finacement de la dette de l'etat plutot que dans le financement des projet industriel.

Le second facteur limitant c'est la qualité de sa consommation ... et son incapacité a exporter. Consommation de produit courant produit au bout du monde ... plutot que de produit et service a haute valeur ou localisé en France. La taille trop petite de ses entreprises leurs interdits d'avoir des service commerciaux/marketing décent a l'international, elle sont containte de service sous traitant au quelques gros locaux qui sont de moins en moins locaux.

Apres y un probleme culturel ... on est un pays de "vieux cons" - meme les jeune a 20 ans on des mentalité des année 40 souvent c'est terrifiant -  ... allergique au moindre changement et a la moindre innovation ... résultat on ne consomme meme pas nous meme nos produit innovant et a forte valeur ... faut pas espérer que les autres les consomme pour nous apres ca !!!

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la remise en ordre de marche de l'état efficace, amaigris et affuté, ce qui ne veur pas dire "la casse" de ceci ou celà comme les corporations publiques veulent nous le faire croire lorsque ça les touche.

tu y crois encore ??  :lol: :lol:

et pourtant c'est bien le cas

listing : tout les services non chiffrables en terme de rentabilité immédiate car ils constituent un service rendu à la nation

comment chiffrer methodiquement la balance positif/negatif d'un hopital : on sait combien peut couter un traitement, une journée d'hospitalisation etc

mais personne n'a pris la peine de savoir combien cela permettait d'economiser à la société en diminuant la mortalité et morbidité de personnes qui produisent de la valeur par leur travail et activité journalière

je pourrais faire la même avec l'EN : combien coute une année d'enseignement supérieur par étudiant ca on sait, combien à terme cet etudiant et ses copains rapportent en valeur ajoutée sur leur 40 ans de boulot et combien aurait il rapporté dans un autre système, personne n'a pris la peine de faire les comptes

d'un coté on reflechi en cout individuel x par le nombre d'individu concerné et on voit que cela coute à l'etat (ce qui est vrai c'est pas gtratuit ca on est d'accord)

de l'autre on n'a jamais le ratio de combien cet individu rapporte et combien en moins il aurait rapporté si l'etat ne s'en etait pas occupé en terme de soin, education, transport, securité

quant à la casse elle etait sur de bons rails .... simplement la crise est passée par là et a freiné les ardeurs de certains tenants du boulier economique

et c'est pas que du gauchiste qui le dis (si je te dis que l'audit de privatisation de la secu fait par Natixis  :lol: etait pret à etre transformé en texte de loi avant la crise, source  parlementaire MEDEF, ca te montre ou on en est .....)

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bah foncièrement on tomberas jamais d'accord mon cher cseven sauf après expérimentation (mais là il sera trop tard)

de toute façon aucun d'entre nous ne decide donc on peut toujours discuter non ?

m'enfin j'attends juste de t'entendre raler quand tu devra payer des medocs à leur cout réel et non au cout négocié par la sécu (coût le plus bas d'Europe en raison des volumes)

quand ce sera le cas (si ca passe) je pourrais au moins rigoler à tes dépends gentillement histoire de me remonter le moral  ;)

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Le principe de la sécurité social repose sur une participation collective de la population. Si les médoc coutent moins cher ici qu'en Afrique ou aux USA c'est parce qu'un collectif géré par l'Etat paye la différence aux entreprises de pharma. Donc le prix du médicament est négocié par l'Etat. Si la sécu est privatisée tu vas quotiser auprès d'une entreprise privée, prestataire de service (et donc son objectif est le profit, c'est fait pour ça une société, le gros fric !), qui te les fera payer plus cher tes médocs et si t'as pas les moyens de casquer tant pis pour toi.

Tout cela serait bien beau si et seulement si les gens ne cédaient pas aux sirènes de la conso facile (si on est majoritairement payé à la semaine aux USA c'est en partie parce que quand t'es payé à la semaine tu as tendance à consommer plus vite qu'au moins, t'attrapes la vue basse...), épargnaient tout seul leur pognon et si les impôts baissaient en conséquence mais ce qui risque d'arriver c'est de voir les impôts au même niveau car ce qu'on cherche à faire c'est réduire les dépenses de l'Etat tout court, pas réduire les dépenses de l'Etat et ses rentrées proportionnellement...

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:rolleyes:, tu peux détailler cette histoire de prix négociés?

En France en pratique c'est la sécu qui paye les medoc de la plupart des gens.

Comme client la secu négocie avec les producteurs de medoc des prix ... prix négocié au volume acheté par la sécu.

Ainsi tout les médicament qui ont obtenu l'accord, sont au tarif sécu ... avec l'étiquette dessus, et donc ne sont pas au prix du marché, mais a prix négocié spécial sécu. Ce prix est le meme par convention que l'acheteur en France soit affilier ou pas a la sécu.

La sécu est de loin dans le monde le plus gros client unique des labos pharmaceutique et a ce titre il négocie des tarif infiniment inférieurs au tarif marché. Quand les labos n'arrive pas a se mettre d'accord avec la sécu ... sur le prix mais que la sécu estime le médicament efficace ... il y a un statut dérogatoire avec qui requiert une "demande préalable de prise en charge" de la part du patient, si le dossier est sérieux ... la sécu payera le traitement a un prix plus élev mais supposé raisonnable qd au bénéfice du traitement.

Résultat en France les médicament avec l'étiquette sécu sont 2 a 10 fois moins cher que les meme au USA. Et cela tout le monde en profite puisque que ce prix de vente est le prix public en France...

Sans la sécu qui négocie en tres gros avec des argument en acier trempé ... on aurait rapidement des médicament au tarfi proche US.

Ainsi les médicaments non remboursable ou plus remboursable ne font plus l'objet du tarif négocié et voient leur tarif doubler immédiatement :)

On retrouve le meme systeme au USA avec l'état du Maine qui négocie en gros les medoc pour ses résident ... au du moins pour une partie des résident qui bénéficie du service de santé du Maine ... Sauf que la bas pour bénéficier du tarif il faut dégainer sa carte du service de santé ... alors on y achete les medoc 2 a 4 fois moins cher qu'ailleurs au USA - les personnes agés prises en charges voit tout ou partie des traitements réglé par tiers payant etc. -

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c'est simple : vu le volume annuel de médicaments utilisés par un seul organisme (donc en monopole d'achat) les médicaments achetés  l'APHP pour son usage en hopital ou par la sécu pour être distribué en pharmacie de ville par exemple coutent à la base moins chers que si tu devais t'approvisionner  dans ta pharmacie avec des médicaments achetés au détail au cas par cas  par ton pharmacien sans passer par ces gros fournisseurs

en fait on paie sur une base de prix de gros pas sur une base de prix au detail

sans compter que les médicaments remboursés sont controlés par la sécu (pas de marge extravagante) et notamment tirés vers un prix plancher grâce à cette histoire de prix de gros

après vient la marge de remboursement en plus

pour te donner un exemple

la flucitasone (un antiinflammatoire local en crème, j'ai pris le premier truc qui passais dans ma pharamcie) : en France 4,04 euros remboursé à 65%

sur internet (prix inferieurs aux prix aux USA et Canada dans les pharamacies) :  ca s'echelonne de 20 $ - 37 $ - 64 $ remboursés 0 soit entre 4x et 10x qu'en France

Edit : grillé par G4lly

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hmm, ok à creuser, je croyais que la sécu ne définissait ques des plafonds de remboursement et que les producteurs alignaient un prix de marché en fonction. Je ne savais pas qu'elle négociait avec les fabricants, mais les pharmaciens achètent pas à la sécu ils achètent aux fabricants, non?, donc ils achétent sur des bases de prix et de volume définis en amont par la sécu, c'est étonnant.

J'en sais rien, parce que des médocs j'en prends pas les toubibs je les fréquente pas, parce c'est comme ca, problème d'éducation et que par chance je tombe pas souvent malade. Désolé pour les questions idiotes.

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hmm, ok à creuser, je croyais que la sécu ne définissait ques des plafonds de remboursement et que les producteurs alignaient un prix de marché en fonction. Je ne savais pas qu'elle négociait avec les fabricants, mais les pharmaciens achètent pas à la sécu ils achètent aux fabricants, non?, donc ils achétent sur des bases de prix et de volume définis en amont par la sécu, c'est étonnant.

J'en sais rien, parce que des médocs j'en prends pas les toubibs je les fréquente pas, parce c'est comme ca, problème d'éducation et que par chance je tombe pas souvent malade. Désolé pour les questions idiotes.

http://www.ameli.fr/assures/soins-et-remboursements/combien-serez-vous-rembourse/medicaments-et-vaccins/remboursement-des-medicaments-et-tiers-payant/quels-remboursements-pour-vos-medicaments_charente.php?&page=1

Sinon c'est pas parce que tu ne te sens pas malade qu'il faut éviter le toubib ... selon l'age et les activité une visite de contrôle annuelle est préférable ... pour peu que tu ai de l'activité physique ou sportive un petit ECG ou un test d'effort peu aussi être une bonne idée passé 30 ans etc.

La prévention est encore la meilleur source d'économie.

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y'a pas de questions idiotes (sauf celles qu'on pose pas  ;))

les pharmaciens achètent à des centrales de repartitions qui sont fournies sur une base de prix  d'appels d'offre en amont, appels d'offre national pour la France puisque mené par la sécu

mais cela ne concerne que les medicaments à remboursement

pour les autres, la négociation se fait par le pharmacien soit auprès de la centrale de repartition si il a un gros volume ou est dans une association ou un groupement d'achat de plusieurs pharmacie, garantissant ainsi un gros volume d'echange et donc des prix plus bas que un achat par faible volume

soit il negocie directement avec les commerciaux des labos (notamment pour tout ce qui est para/cosmétique)

ceci explique que pour un medicament non remboursé (outre les marges du pharmacien qui peuvent fortement osciller) un médicament que vous commanderez à une petite pharmacie de village qui n'a pas l'habitude d'acheter ce type de produit sera plus cher que ce même médoc vendu par bottes de 12 dans une "officine-usine"

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