Kamelot Posté(e) le 22 juin Share Posté(e) le 22 juin Si BFMTV le dit... https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/avec-le-canon-ascalon-le-char-leclerc-retrouve-une-nouvelle-jeunesse_AV-202406200627.html 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Kamelot Posté(e) le 22 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 juin Le 18/06/2024 à 14:51, FAFA a dit : le meilleur char antichar ne sera-t-il pas celui qui sera doté de canons d'un calibre de 30 à 40 mm (en tout cas pour neutraliser la tourelle ? Il y a bien un engin qui a un canon de 40 mm et un missile AC de bonne portée. L'évoquer risque de m'attirer les foudres des puristes... En Ukraine du 25 mm a été utilisé contre du T-90... Un combat de rencontre dans un contexte particulier avec, apparemment, d'autres effecteurs (?). Tous les chars ont des points faibles, en commençant par le canon et la répétition des coups ont parfois des effets inattendus sur les blindages réactifs qui le deviennent trop. Des explosions par sympatie sont toujours possibles. Les optiques, antennes et capteurs peuvent être neutralisés. Tout dépend où va se situer l'agression, son type et la protection pour la contrer. Le blast n'est pas à sous-estimer. En Libye une Gazelle canon 20 mm a littéralement "dépouillé" un T-62. En Irak un M1 a été incendié par un bidon d'huile stocké dans le panier arrière. Un autre a succombé, suite à l'explosion de la soute à munitions, le volet ad hoc n'étant pas fermé. Un Merkava a été littéralement retourné par un IED, etc... Une lapalissade: la meilleure protection est de ne pas être détecté ou de ne pas être là quand le coup arrive. Ce sont les premières couches de la protection... Au-delà des anecdotes, le char canon 120 mm reste encore un bon "système anti-char" pour sa résilience, la portée pratique et les effets de son arme avec une OFL. Toutefois les combats en Ukraine démontrent que l'artillerie, les missile AC et les drones causent le plus d'attrition. Chaque conflit a ses spécificités liées au contexte et terrain. La problématique de la résilience des tourelles téléopérées est factuelle avec la protection de l'arme principale et de tout ce qui dépasse ou n'est pas protégé. Le choix étant de privilégier la sécurité de l'équipage en reportant les blindages pour créer une cellule de survie, en principe. Il n'y a pas de solution absolue et définitive, tout est destructible. Le glaive et le bouclier... 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 22 juin Share Posté(e) le 22 juin Il y a 3 heures, Kamelot a dit : La problématique de la résilience des tourelles téléopérées est factuelle avec la protection de l'arme principale et de tout ce qui dépasse ou n'est pas protégé. Sur une tourelle habitée qu'est ce qui est vraiment protégé? - Tout ce qui dépasse ne l'est pas. - Le canon ne l'est pas. - La nuque de tourelle ne l'est quasiment pas. - La partie centrale avant, le mantelet, l'est tres peu. - le toit ne l'est pas. Les seules parties protégés vraiment sont les zones habitées. Certes selon l'axe de l'aggression cela peu aussi protéger ce qui se place derriere dans cet axe. Accessoirement rien n'interdit de blinder une tourelle inhabité d'autant qu'il y a beaucoup moins de volume à protéger. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kamelot Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin (modifié) Il y a 9 heures, g4lly a dit : Accessoirement rien n'interdit de blinder une tourelle inhabité d'autant qu'il y a beaucoup moins de volume à protéger. Effectivement, tout en prenant en compte les probabilités d'atteindre les points sensibles ou les plus fragiles qui se généralisent. Mais cela ne va pas vers les allègements souhaités et un meilleur usage du positionnement des blindages, même si un APS peut contrer certains effecteurs. Pour autant, dans un cas comme dans l'autre cela ne règle en rien les effets de l'artillerie, des projectiles très rapides et ceux des rugosités ou pièges du terrain. Bien sûr, il reste les divers renforcements y compris de toiture, les redondances, les blindages amovibles et, in fine, le char "tortue" avec ses dérives techniques et conceptuelles Pas simple! Un équipage sauf sur un engin neutralisé ou immobilisé devra quand même sortir de sa "cellule de survie" à un moment donné. Sa protection devra être assurée par la manoeuvre globale, son peloton ou une phalange de secours/protection qui devra s'exposer. Isolé, il devra compter sur la chance et sa rapidité pour se fondre dans l'environnement pour échapper aux tirs et aux drones. Les images venues d'Ukraine en témoignent. Cruelle la guerre... "Droniser" ou "robotiser" un char de combat peut paraître une solution à terme, sans forcément résoudre la résilience des moyens et dans ce cas: où mettre l'intelligence humaine sur un champs de bataille transparent? Donc, beaucoup de questions sans avoir des réponses toutes faites. Modifié le 23 juin par Kamelot 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin (modifié) 130 XLR pour 2030 + 40 XLR pour 2035. total 170 Modifié le 23 juin par Lordtemplar 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 9 juillet Share Posté(e) le 9 juillet 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kamelot Posté(e) le 11 juillet Share Posté(e) le 11 juillet 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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